Pour Ségolène, on a clairement du spécimen d'islamo-gauchiste dans toute sa splendeur, un virus particulièrement redoutable qui tire bien comme il faut la France vers les abysses
.
Sinon pour la légitimation du manga en France, y a encore du progrès à faire vis à vis de la réception que peuvent en avoir certains mais on a connu bien de l'évolution tout de même et que ça perce bien pour le manga intimiste si on ne dit pas d'auteur comme pour le cinéma d'auteur qui semble du terme très français. Jiro Taniguchi en est un excellent représentant, maintenant bien sur il peut y avoir du moins bon, après ça dépend de la perception de chacun aussi. Maintenant pour le manga, c'est comme avec tout, on voit surtout les blockbusters sur le devant de la scène, et moins la production qui n'est pas à bourriner aux portes et tout défoncer sur son passage
. Là dessus il faut gratter un peu pour la mise en valeur des pépites qui mériteraient d'être bien plus connues.
Autrement il évoque une réflexion qui avait été fait en 2001 avec l'idée de parler de la manga pour faire de la distinction et que ça ait une résonance comme pour la peinture, en tout cas que ça permettre de faire bouger les lignes pour la réception. On voit que ça n'aura pas spécialement été adopté de dire comme ça pour aller vers une distinction et faut avouer que ça fait bizarre de dire la manga plus que les mangas. En fait niveau terme qu'il faudrait plus adopter pour une distinction, signifier qu'on est clairement dans un autre registre, c'est tout simplement Gekiga. Là de suite tu fais bien une scission.