Adieu les cons est le septième long-métrage d'Albert Dupontel, sorti une première fois le 21 octobre 2020, avant d'être retiré à cause de la pandémie de Covid et la fermeture des salles. Il ressort à la réouverture le 19 mai 2021. Il remporte également sept césars lors de la cérémonie des césars de 2021.
Il raconte l'histoire de Suze Trappet, mourante, qui part à la recherche de son fils que ses parents l'ont forcé à abandonner lors de son accouchement à quinze ans. Elle va alors tomber sur Jean-Baptiste Cuchas, un informaticien extrêmement doué qui, sur le point de se suicider, explose par accident le bras de son voisin. Recherché par la police qui croit avoir affaire à un psychopathe, il va alors aider Suze à retrouver son fils. Ils croiseront alors la route de Serge Blin, un aveugle archiviste qui a une peur bleu de la police depuis que cette dernière l'a rendu aveugle suite à une méprise.
Qu'est-ce qu'il est bien ce film. Il est super bien tourné en plus, il y a des chouettes idées notamment le fait de superposer les images des immeubles en construction quand l'aveugle croit décrire la rue. Super perso que Brin en plus, mon préféré du film, joué par un acteur que j'aime beaucoup d'ailleurs (et dont l'humour un peu burlesque marche super bien -d'ailleurs Nicolas Marié a eu le césar du meilleur acteur pour ce rôle). Virginie Effira pour moi cette femme s'améliore de films en films. Déjà elle a un charme de fou, et elle joue vraiment de mieux en mieux. En revanche j'ai un peu plus tiqué sur le jeu de Dupontel. Je dis pas qu'il joue mal loin de là mais je sais pas, il y a des petites réactions, une manière de sortir une réplique qui sonne bizarrement. Mais je chipote là.
Enfin bref, un très beau film, qui nous fait marrer mais qui nous émeut également. Et puis le caméo de Terry Gilliam vaut le coup.
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. Il pointe du doigt le côté déshumanisant et productiviste du système, les transports en commun en eux-mêmes ne sont absolument pas visés par cette phrase 
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