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Assasin's Creed Revelations (2011) (PS3/4, Android, Xbox 360/One, Switch, PC)

Tout l'univers d'Assassin's Creed, une série de jeux vidéo historique d'action-aventure et d'infiltration, développée et éditée par le studio français Ubisoft.
Maedhros
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Assasin's Creed Revelations (2011) (PS3/4, Android, Xbox 360/One, Switch, PC)

Messagepar Maedhros » ven. févr. 25, 2022 3:38 pm

Assassin's Creed Revalations est un jeu d'action-aventure sortis en 2011 sur PlayStation 3, Xbox 360 puis Windows, Androis et mobile, développé et édité par Ubisoft. Il s'agit du quatrième jeu de la série principal d'Assassin's Creed.



Comme les autres jeux de la série, Assasin's Creed Revalations se déroule dans un monde ouvert, représentant la ville de Constantinople. Il s'agit d'une jeu à la troisième personne dont le but est d'éliminer des cibles et explorer son environnement en utilisant les habiletés et talents des différents personnage dans une quête principale et une multitude de quête annexe. Le jeu propose également un mode multijoueur en ligne, le joueur, seul ou en équipe, a pour objectif d'assasiner une ou plusieurs cibles ou d'échapper à ses poursuivants.

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La partie multijoueur du jeu à sa propre intrigue, axé sur les Templiers. Dans les locaux d'Abstergo Industries, Warren Vidic sélectionne les employées qui ont réalisé les meilleures performances dans l'Animus et leur dévoile le secrêt de l'existance des Templiers. L'un des sujets se détachent du lot et continue sa formation dans l'Animus pour pouvoir bénéficier de l'effet de transfert, permettant d'acquérir les compétences de ses ancêtres Le sujet devient un membre à part entière de l'Ordre des Templiers et accède à des informations confidentielles au sujet des Assassins, de la Première Civilisation et des agents doubles travaillant contre leur volonté pour Abstergo, les Dormeurs. L'un de ces Dormeurs, Daniel Cross, ancien sujet 4, lui administre une substance permettant de suivre ses déplacements. Laetitia England, chef de la Division des opérations d'Abstergo, et Vidic lui confient alors sa première mission : la capture du mentor de l'ordre des Assassins, William Miles, qu'ils viennent de localiser.

La vision d'aigle d'Ezio a évolué, elle permet maintenant d'avoir une vision étendue du comportement, par exemple faire apparaître la ronde des gardes, ce qui permet de prévoir certains mouvements, ou repérer un traitre dans la foule. Les différentes innovation apparuent dans Assasin's Creed Brotherhood, comme la gestion des alliés ou les bombes sont améliorer. Ainsi, les bombes sont maintenant conçut en rassemblant plusieurs ingrédients récolté à travers la ville, ce qui permet de créer plusieurs type de bombes, selon les ingrédients utilisé. Les différents assassins ont maintenant des classes, en fonction de leur armes, et certaines missions sont exclusive à certaines classes.

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L'on dispose d'un nouvel outil, le crochet, qui permet de s'accrocher au cordes, et les utilisers comme des tyroliennes. Il est aussi possible de faire une esquive avec le croche, Ezio va alors culbuter au dessus de l'ennemi pour se retrouver dans son dos.

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Le mode multijoueur, initié dans Assassin's Creed Brotherhood est également présent et améliorer avec l'ajout de la personalisation des personnages, d'un système de guilde, de nouvelles cartes et modes de jeux sont disponiblem nottament l'île de Rhodes. Le joeur peut y gagner y gagner des informations sur Abstergo à mesure qu'il gagne des points. Dans sa version finale, le jeu possède vingt personnage jouable dans son mode multijoueur.

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Durant la phase de promotion, Ubisoft va lancer des informations sur le jeu au compte-goutte pour augmenter l'attente. Ainsi, le 5 mai 2011, le magazine GameInformer révèle que les trois personnages principaux de la série, à savoir Desmond Miles, Altaïr et Ezio seront tous jouable dans le jeu. Le magazine révèle aussi que l'intrigue d'Ezio prendra plus à Constantinople alors que l'Empire ottoman est à son apogée. Un communiquer de presse d'Ubisoft fait ensuite état d'une nouvelle faculté révolutionnaire, permettant de manipuler les souvenirs de Desmond via l'Animus, afin de décrypter son passé et d'influencer son futur. La compagnie annonce aussi l'existance de nouveaux modes multijoueurs.

Le jeu est le troisième et dernier titre centré sur le personnage d'Ezio Auditore et fait suite à Assasin's Creed Brotherhood. La pomme d'Eden a prit le contrôle du corps de l'assasin Desmond Miles et tu l'assasin Lucy Stillman. Desmond tombe dans le comas, au bord de la mort, son esprit en train de frasquer entre les multitudes existances de ses ancêtres qui se chevauchent en lui. Pour le sauver, les assasins Rebecca, Shaun et un certain William le remettent dans l'Animus, un engin capable de recréer la mémoire génétique de la personne à l'intérieur, mais le mettent dans la Black Room, un programme de l'animus où la physique était tester sans recréation de mémoire. . Il y rencontre les restes de consciences du Sujet 16, le sujet précédent ayant été mit dans l'Animus jusqu'à sa mort. Celui-ci lui explique que pour pouvoir survivre, il doit pursuivre les histoires d'Ezio et d'Altaïr jusqu'à ce qu'ils n'est plus rien à lui expliquer. Desmond rentre alors dans un nexus de synchronisation pour pouvoir revivre les histoires d'Ezio et d'Altaïr.

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Le jeune américain se retrouve alors dans la peau du Mentor des assasins, Ezio Auditore qui se retrouve à Massiaf, l'antique citadelle des assasins, maintenant abandonné. Ezio y recherche les secrets du légendaire Mentor Altaïr Ibn La-Ahad, mais la forteresse est maintenant occupé par des Templiers, les ennemis héréditaires des Assasins qui sont à la recherche d'un moyen de pénétrer dans la bibliothèque d'Altaïr où les secrêt de l'ancien assasin s'y trouverait. Capturés, le florentin réussit toutefois à s'échapper et à apprendre que les clées de la bibliothèque se trouvent à Constantinople, caché par l'assasin Niccolò Polo. Les Templiers se trouvent être en possesion d'une première clées sur les cinq existance. Commence alors une course contre la montre entre Ezio, soutenus par les assasins ottomans, ainsi que les Templiers pour retrouvers toutes les clées. En même temps, les Templiers, dissimuler sous le nom de Gardes Byzantin tenten de renverser l'Empire ottoman et reconstituer l'ancien Empire romain d'Orient. Ezio découvre que chaque clée de Massiaf sont des artefacts permettant de vivre un ancien souvenir du Mentor Altaïr chosit par lui.

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Le 11 nobembre 2011, Yves Guillemot, PDG d'Ubisoft a annoncé peu avant la sortie du jeu que les pré-commandes du jeu avait dépasser celle de l'opus précédentes: Assassin's Creed Brotherhood. Assasin's Creed Revelation a été le quatrième jeu le plus vendu aux États-Unis en novembre 2011. Après la sortie du jeu, Ubisoft a rapidement annoncé une hausse des ventes de 10% par rapport à Assasin's Creed Brotherhood pour la même périod, soit un total de 1,26 millions d'exemplaires pour le premier mois. Au Royaume-Unis, Assassin's Creed Revelation devient le second jeu le plus vendu pour sa première semaine de sortie et 61 % des ventes ont eu lieu pendant les 24 premières heures. Au final, le jeu s'est vendu à plus de 7 millions d'exemplaires à travers le monde et obtint un accueil public et critique positif.

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Après le lancement du jeu, Ubisoft lance un DLC nommé Les Ancêtres qui rajoute quatre personnages supplémentaire au mode multijoueur, l'Écumeur, la Corsaire, le Brigand et le Gladiateur. Chaque personnage est personnalisé avec des tenus uniques, des armes et des attaques ennemis. Un deuxième DLC, Voyageur Méditerranéen rajoute trois nouvelles cartes au mode multijoueur, Jérusalem, Constantinople et Dyers, ainsi que trois anciennes cartes porvenant d'Assasin's Creed Brotherhood soit Florence, San Donato et Sienne.

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Un DLC pour le mode solo, L'Archive perdue sort le 28 février 2012. L'histoire se porte sur le Sujet 16 et son expérience chez Abstergo. Le Sujet 16, de son véritable nom Clay Kaczmarek qui a grandit sous un père tyrannique le destinant au métier d'ingénieur. Sa mère et lui quittent finalement le domicile famillial. Clay commence alors une thérapie pour vivre avec son enfance traumatisante. Mais son état s'améliore réellement quand il se lit d'amitier avec l'assasin William Miles. Rapidement, il intègre rapidement la Confrérie des Assasins, sa première mission fut d'infiltrer les locaux d'Abstergo où il découvre l'existance du projet Animus. Rapidement, un plan est décider, Clay doit s'inflitrer chez Abstergo pour découvrir l'objectif des Templiers puis de s'enfuir avec l'aide de Lucy Stillman, une assasin infiltrée chez Abstergo depuis ses 17 ans. Il se présente donc à Warren Vidic comme un candidat volontaire au projet Animus, que Vidic accepte immédiatement. Toutefois, le projet des assasins devient rapidement hors de contrôle et Clay commencera à vivre un enfer chez Abstergo.

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Il est suivit en 2012 par Assassin's Creed III qui introduit un nouveau personnage, Connor, dans le contexte de la révolution américaine au XVIIIe siècle.
Si vous voulez le contacter, veiller le faire par courriel.

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Re: Assasin's Creed Revelations (2011) (Windows, PS3, Xbox 360, Android, mobile)

Messagepar Maedhros » ven. mars 04, 2022 3:24 pm

Bon j'ai fini le jeu. ssassin's Creed II et Assassin's Creed Brotherhood sont tous les deux considéré comme les meilleurs épisodes de la saga, mais pas Assassin's Creed Revelation et si je ne pourrai pas parler parler d'Assassin's Creed Brotherhood car je n'y ait pas jouer, je parlerai par contre d'Assassin's Creed II pour le comparer à celui-ci.

Assassin's Creed Revelation est très semblabe à Assassin's Creed II dans ses mécaniques, mais avec moins de budget. Ce qui est plustôt normal puisque l'on continue de jouer le même personnage Exio. Ainsi, plustôt qu'avoir trois villes nous n'en avons qu'une Constantinople. Une Constantinople étonnament presque aussi petite que genre Florence, ce qui est étonnant pour la seconde Rome. Mais ce n'est pas très important, car la ville est très bien faites et tout tourne autour. Non là où Assassin's Creed revelation pêche comparé à son ainée c'est déjà sur la narration. La narration d'Assassin's Creed II était très bonne et même si la quête ne nous faisait pas vraiment sentir assassin elle était bien cousue. Là...le scénario est encore plus prétexte qu'une quête de vengeance, puisqu'il faut trouver cinq clée permettant d'ouvrir la bibliothèque d'Altaïr contenant moulte secrêt. Les Templiers ont déjà trouver une clée, il vous faut trouver les uatre autre clées avant les templiers. Le problème n'est pas le scénario en sois, celui d'Assassin's Creed II n'était pas franchement mieux, mais que celui-ci semble être assis le cul entre deux ou même trois chaises. En effet, en parallèle le jeu nous raconte différents complots de Constantinople avec en trame de fond la tentative des Templiers, sous le nom de gardes Byzantines, de renverser des Osmanoglus. Et le problème c'est qu'à part à la toute fin du jeu les deux quêtes ne se recoupent pas, on fait l'une et l'autre en alternance sans véritablement de lien entre elle. La narration est totalement décousue, mais le pire reste que cela fait en sorte que la quête des cinq clées d'Altaïr reste littéralement à trouver cinq clées, assez répétif puisque le schéma est toujours le même: aller voir Sofya qui nous donnera l'emplacement d'un livre de Marco Polo, trouver le lire de Marco Polo, regarder aux aleantours avec le sens d'aigle, trouver l'entré du lieu menant à la clée, phase de plate-forme, trouver la clée. Si j'apprécie l'idée d'intégrer les tombeaux des assassins dans la quête principal, celle-ci est quand même pas mal répétitive et c'est du côté des complots des Ottomans, bien plus intéressant scénaristiquement parlant et faisant bien varier les situation dans le jeu. Quand à l'histoire avec Altaîr n'en parlons pas, celui obtient certes une véritable personnalité conmparé au premier opus, mais il reste que ses passages sont globalement anecdotique.

Il reste toutefois que le jeu est plus nuancer qu'Assassin's Creed II, Manuel Palaiologos pense sincèrement que les Templiers ont raisons et que la paix vient uniquement avec le pouvoir, mais pas l'inverse et c'est réellement la raison pour laquel il veut reprendre Constantinople et arrêter les luttes succeraural continuels chez les ottomans. On est loin d'un Alexandre VI et bien plus proche de Robert de Sablé, j'ai même pas mal de sympathie pour Manuel. Surtout vers le fin, quand l'on a déclencher un incendie dans sa cité et qu'il tente se raisonner son peuple, de l'organiser pour lutter contre l'incendie, bref ce qu'une personne avec un minimum de leadership fait, il ne tente pas de fuir devant l'incendie que l'on déclenche. Bon par contre, oui il fuit quand on tente de l'assassiner avant de se battre. Et mourir comme une merde, je l'ai juste projeter dans l'eau, lol.

Le jeu a aussi quelque tord dans son interface, principalement la carte du jeu est très peu lisible, à tel point que cela m'à obliger à prendre la mini-map que je n'aime pas beaucoups. De plus, le problème de l'escalade est accentué comparé au précédent opus. C'est peut-être dû au crochet, mais je dirais plustôt à la texture des tours. On a plusieurs fois l'impression, que oui, on peut s'aggriper ici, mais finalement non et on se balance dans le vide, bien plus souvent que le précédent opus. Fort regrettable. Une chose qui m'à interpeler est des problèmes dans le saut de l'aigle en tant que tel, quelque fois le personnage saute, mais ne fait pas de saut de l'aigle et meurt. M'enfin le pire restant que plusieurs tours n'ont pas la possibilité de faire de sauts de l'aigles et ce faisant, nous oblige à redescendre, ce qui est totalement con.

Toutefois, gros points forts du jeu est que l'on se sent à nouveau un assassin, faire partie d'une secte secrète. Que ce soit par les liens bien plus prononcé qu'Altaïr a avec les autres assassin's mais surtout par toutes la partie annexe du jeu. Déjà la possibilité de recruter des assassins, de les former et de les appeller pendant les combats est intéressante et permet d'assassiner sans se faire repére, on ne se sent pas qu'assassin, mais bien comme étant le Mentor des Assassin's, leur chef. Même chose pour la possibilité de pouvoir les envoyer dans des missions dans toutes les grandes villes de la Méditérannée pour s'assurer le contrôle de celle-ci. Si cela n'apporte au final pas grand chose en terme de gameplay, sauf la possibilité d'avoir des revenus en plus, cette possibilité, avec les descriptions des missions permet de mieux comprendre la guerre de l'ombre entre les templiers et les assassin's. Il reste que c'est vraiment inutile. La dernière partie annexe, et la plus importante est la lutte urbaine pour le contrôle de Constantinople. La Cité des cité est disputer entre assassin's et templiers qui contrôlent certains quartier. Une des missions annexe est donc d'assassiner les chefs templiers de chaque quartier, qui ont différents conportement entre la fuite et le combat, puis de grimper en haut d'une tour pour prendre le quartier. La prise du quartier augmente les revenues et permet d'ouvrir les magasins présent dans le quartier. Toutefois, quand l'on prend un quartier, la vigilence des templiers augmente et il y a de fort risque qu'ils attaquent un de nos quartier. À ce moment là, une séquence de tower-défense se déclenche où il faudra repousser l'attaque des byzantins. Un peu mal fichu sur les bord, je n'ai jamais comprit comment vaincre le lance flamme des templiers. Tous ce système est vraiment la grosse nouveauté du jeu, et est pour moi bien plus intéressante que le scénario principal. Même si ceci transforme l'éternel conflit entre templers et assassin's comme une simple guerre des gangs.

Autre chose intéressante est l'augmentation de la difficulté comparé à Assassin's Creed II, les gardes sont bien plus vigilent et réagisent plus vite à vos actions. J'ai cette fois-ci pas l'impressio qu'il y est une barrière entre inconnue et connue, mais bien une vigilence croissante des gardes. Il n' ya plus les débileté tel que pouvoir assassiner les archers sans que cela n'augmente la vilgilence, ici il faut que le soldat ne vous est pas remarquer et qu'il n'y est pas de témoins pour ne pas augmenter la vigilence. Les manières de diminuer la vigilence sont plus réduite, il n'y a plus d'affiche placarder à arracher, mais seulement la possibilité de soudoyer des crieur public ou d'assasiner des témoins. J'apprécie d'ailleurs plus le soudoiement des crieurs, puisque à chaque fois un type dans la foule se met à rire jaune à ce sujet. De plus, le soudoiement de crier fait diminuer la vigilence de seulement 25% et non plus 50%. J'apprécie aussi les conséquences du statut connue, puisque en plus d'une plus grande vigilence des gardes, les templiers vont attaquer un de nos quartiers. Cela ammène une véritable conséquence à ce statut. Palant des templiers, leur quartier sont aussi difficile à infiltré, puisque les gardes vous spouçonnent qu'importe votre statue. Le combats est bien plus difficile que dans le premier, principalement due au nombre abberrant d'harlebardier comparé au épéiste, ainsi que les fusilliers qui font vraiment mal. Il reste toutefois que là où dans le second jeu précédent on avait rapidement trop d'argent, ici on en a pas assez. Un équillibre serait bien un jour...

J'appréciait aussi plus le système d'amélioration du précédent jeu. Dans Assassin's Creed Revelation, on a seulement à acheter des magasins et des lieux déssafecter, mais pas à les améliorer rien, ce qui fait en sorte que l'impact sur l'apparence de la ville est bien moisn grande. Un quartier principal où il aurait été possible de faite comme à Montenegro aurait été intéressant. On peut aussi regretter l'absence de quête d'assassinat ou de lettre présente dans le second opus.

L'histoire moderne est encore moins présente que dans le précédent jeu, c'est presque devenu une blague puisque nous somme littéralement prisonnier de l'animus...

On pourra regretter la disparation des couritsanes, remplacer par des gitans. C'est dommage car cela ammenait une partie humoristique au jeu, les dialgues entre les soldats et les prostituées étaient justes énorme. Ubisoft a tenté de faire revenir les mendiantes du premier opus, mais ça marche moins, principalement à cause du doubalge qui en fait trop.

Bref Assassin's Creed Revelation est un excellent jeu, mais dont on commence à sentir un essouflement de la formule donnée par Assassin's Creed II, sans doute dûe au rythme éffrenée de sortie. Le jeu tente des trucs, mais ne réussit pas à sortir de l'ombre de son précédesseur et brille surtout grâce à son set up: Constantinople, la seconde Rome, la Cité des cités, les Carrefour du monde!
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Messagepar Bombur » ven. mars 04, 2022 3:39 pm

Pourquoi avoir fait Revelations avant Brotherhood :penseur: ?

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Messagepar Maedhros » ven. mars 04, 2022 3:53 pm

Bombur a écrit :Pourquoi avoir fait Revelations avant Brotherhood :penseur: ?


Parce que j'ai pas Brotherhood
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Messagepar Bombur » ven. mars 04, 2022 3:54 pm

Mais ces autres opus, tu les avais tous chez toi sans les avoir jamais faits ou quoi :penseur: ?

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Messagepar Maedhros » ven. mars 04, 2022 3:56 pm

Bombur a écrit :Mais ces autres opus, tu les avais tous chez toi sans les avoir jamais faits ou quoi :penseur: ?


C'est pas mal ça, j'ai plus de 150 jeux chez moi et je ne les est clairement pas tous jouer.
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Messagepar Bombur » ven. mars 04, 2022 4:03 pm

Ah d'accord, je croyais que tu avais décidé de te faire la série des AC et que tu les achetais au fur et à mesure :lol: . Mais c'est un peu bête, du coup, parce que Brotherhood est effectivement excellent :tire-langue: .

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Re: Assasin's Creed Revelations (2011) (Windows, PS3, Xbox 360, Android, mobile)

Messagepar Maedhros » ven. mars 04, 2022 4:17 pm

Bombur a écrit :Ah d'accord, je croyais que tu avais décidé de te faire la série des AC et que tu les achetais au fur et à mesure :lol: . Mais c'est un peu bête, du coup, parce que Brotherhood est effectivement excellent :tire-langue: .


Non, un ami de ma famille m'à donner toute sa collection de jeux Xbox 360 (et sa Xbox 360) dont les Assassin's Creed. Même raison pourquoi j'ai Mass Effect 3 avant le 1 et le 2 :lol:
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