Pour ma part, je pourrais en citer plein, quasiment toute la série ou tout du moins, des scènes multiples dans chacun des 39 épisodes. Que ce soit le premier vol du condor, les scènes avec le solaris, la première traversée (avec l'espéranza) en début de série, le rêve d'Esteban, les scènes avec Papacamayo, l'attaque du fort de l'aigle noir, celles avec les amazones (notamment l'arrivée impromptue du soleil lorsque nos amis sont condamnés) et tant d'autres encore, avec les olmèques, au Machu Pichu, ou simplement des scènes de contemplation de paysages, tantôt une montagne, tantôt une cité observée dans le crépuscule telle une parure dorée le tout sous l'une de ces musiques fascinantes qui parcourent la série.
J'ai toujours beaucoup aimé certains moments contemplatifs, certains de ces moments où la série semble opérer une symbiose parfaite entre la musique, les images, l'ambiance, comme si le temps s'arrête devant un spectacle fascinant (mi réaliste mi magique)
Exemple de ce genre de scène que j'adore pendant la traversée de l'Esperanza (épisode 2) : les papillons d'or !