Les trucs kawaii !! (mignons)

[Aeriale]

C'est sûr, après moi je dis ça mais je suis assez incapable de reproduire un modèle à l'identique, au bout de 2 minutes ça m'ennuie et je commence à tout reprendre à ma sauce

[Aries Phoenix]

Ouais, après, il y a les "ratés". C'est pour ça que je conseille de commencer avec de la toile de jute et pas de la fourrure artificielle très chère. La toile de jute se comporte un peu de la même façon et permet de s'entraîner. Après, rien n'empêche d'improviser, mais attention au résultat

[Likaom]

Une fois que tu t'es bien entrainé en recopiant, c'est là que tu te lances tout seul ; c'est comme ça que j'ai appris à dessiner, et c'est pareil dans de nombreux domaines.

[Aries Phoenix]

C'est ça ou passer par la théorie... Ou les deux. En fait, ça dépend fortement de la tournure d'esprit, intellectuel ou pragmatique.
Le dessin, j'ai appris comme Likaom en recopiant des choses au début. Puis, j'ai quand-même fait un peu de théorie pour apprendre certaines ficelles qu'il est très difficile de sucer de son pouce, même en recopiant. Car connaître le pourquoi des choses peut grandement aider à aboutir au comment pour certains aspects.
Après, pour les peluches, je crois que la théorie n'est pas forcément un passage obligé, qu'on peut la déduire de l'exemple.

[Likaom]

En fait, moi, pour le dessin, j'ai appris tout d'abord en dessinant (lol), comme tous depuis la maternelle, des bonshommes, des maisons (j'adorais dessiner les maisons étant petit ) et puis j'ai grandis, et j'ai appris à observer les détails, les pignons des maisons, les poignées de porte, le col des habits des bonshommes... Bref après je suis passé à un autre stade : recopier des images fidèlement ; je crois que c'est parti le jour où j'ai voulu dessiner la baleine sur mon dictionnaire (et après, je n'arrêtais pas de faire des baleines dès que j'avais un crayon à papier et du papier, sur mes cours par exemples). Et puis après, en regardant ma mère me faire un dessin sur T-shirt, j'ai commencé à dessiner... des dragons. Enfin commencer n'est pas juste : j'adorais déjà dessiner ma créature préféré, mais c'était plus une espèce de stégosaure ailé. Stylé, mais pas très "dragon". J'ai donc vu et appris le nouveau "modèle". Et je n'ai fait quasiment que ça pendant... très, presque trop longtemps. J'adorais ça, j'ai toujours adoré ça. Et puis on peut voir mon évolution dans ce qui à été mon fil conducteur de l'apprentissage du dessin : au début, mes dragons étaient un peu plat sur limage, ne sachant pas comment leur donner du volume ; peu de perspective ; des pattes mises un peu au hasard, là où sa me semblait convenir... Et au fil du temps, j'ai fait une véritable recherche anatomique, comparant à mon propre corps, des images, comment placer tel ou tel bras, aile, quel angle pour l'ouverture de la bouche quand il crache du feu, le placement des pattes arrières en fonction de la queue, la taille et la forme des yeux, les griffes, etc... Tout cela me sert à présent, mais pas que pour les dragons : cette connaissance est applicable à tout.
Et finalement, après avoir tout appris du dessin du dragon, j'ai regardé la réalité,et je l'ai reproduite. Dessiner des arbres, dessiner ma chambre, dessiner mes amis, il y a tant de modèles à exploiter...

Voilà, mes amis, comment j'ai appris à dessiner. En suivant l'enseignement du dragon.

[Aries Phoenix]

Voilà, mes amis, comment j'ai appris à dessiner. En suivant l'enseignement du dragon.

Je ne ris pas de toi, mais de ta vanne

Oui, je comprends. j'ai un peu procédé de la même façon en fait, mais après avoir dessiné des reptiles (sans ailes )pendant des années, je suis directement passé au corps humain. J'ai aussi étudié mon anatomie, mes articulations, ma musculature, puis des squelettes pour arriver à une justesse dans le rendu.
Mais certaines choses, je les aies apprises par la théorie. La perspective par exemple, eh bien on peut la "sentir", mai franchement avoir quelques bases de géométrie projectives ça simplifie grandement l'apprentissage ultérieur. Pareil pour la lumière. C'est un sujet qui touche directement aux fondements du dessin puisqu'une image n'est jamais que la perception par l’œil d'une projection 3D vers 2D d'objets éclairés, voire de sources directes de lumière. En dessin, tout n'est qu'affaire d'illusion. Il est par exemple impossible de rendre à l'exacte une lumière directe, vu qu'il n'y a pas plus brillant que le blanc du papier, et que le papier n'émet pas de lumière. Donc, il faut des astuces, des tricheries, pour arriver à donner le change. J'ai notamment étudié ça à l'université en cours d'illusions d'optique en rendu par logiciel 3D. Et crois-moi, cet enseignement m'a bien fait tilter sur pas mal de choses pas du tout intuitives.
Il y a aussi la maîtrise des outils de dessin qui influe. Comment utiliser correctement ne serait-ce qu'un crayon ordinaire ? Eh bien j'ai un livre de 500 pages rien que sur ce sujet ! C'est comme ça que je suis arrivé à développer une technique de mise en ombrage parfaitement lisse, des dégradés non-linéaires, ou au contraire des rendus plus granuleux, plus rêches. J'ai aussi appris l'art du contraste, l'art du net et du flou, tout ça à la base théoriquement.
Ce n'est qu'après (et pendant pour pratiquer) que j'ai réussi à transposer l'observation du réel en image papier.

Pour en revenir au "Kawaï", j'ai fait mes premiers pas en recopiant des images. C'est devenu facile à l'heure actuelle, ça court le net. Puis, j'ai mixé les techniques d'ombrage que j'observais avec mes propres techniques, mais sans cette pratique, ma théorie aurait évidemment été relativement inutile.

[alinéa]

[Likaom]

Pour en revenir au "Kawaï", j'ai fait mes premiers pas en recopiant des images. C'est devenu facile à l'heure actuelle, ça court le net. Puis, j'ai mixé les techniques d'ombrage que j'observais avec mes propres techniques, mais sans cette pratique, ma théorie aurait évidemment été relativement inutile.

Idem, pour mon premier vrai chibi, celui que tu m'as remanié en avatar, j'avais un modèle en tête mais pour le transcrire sur ma feuille, je me suis inspiré d'internet, pour les échelles étranges par exemple ^^

[alinéa]

vraiment j'aimerais savoir bien dessiné mais c'est pas un talent que j'ai

[Likaom]

Tu as peut-être du talent, mais pas la technique ; j'ai un amis dans ce cas, et je le coach quand je le vois ; il fait de bons progrès. Si tu veux j'ai une méthode de manga en numérique PDF ; je peux te l'envoyer par mail si ça t'intéresse.

[alinéa]

Ca peut être intéressant parce que sincèrement les seules fois ou j'ai dessiner ca ressemble à rien et je me trouve nulle

[Likaom]

Bon bah si tu me donne ton mail en MP je t'envoie ça.

[alinéa]

ok je vais tenvoyer ca en mp

[Likaom]

Reçu !

[alinéa]

merci merci merci

[Likaom]

Tu as reçu le premier ? Parce que moi ça me fait des bugs... C'est bizarre.

[alinéa]

je vais aller voir

[Likaom]

Nan mais les fichiers sont trop lourds... Je vais les compresser.

[alinéa]

fais ce que tu peux je suis pas presser tu peux prendre ton temps

[Likaom]

Je vais tenter avec le truc compressé.

[alinéa]

OK

[Likaom]

Tu as reçu ?

[alinéa]

je vais aller voir ca

[phoenlx]

Un petit article sympa du site http://www.hoshinoresorts-magazine.com à propos du kawaii ! ^^


Tellement mignon : tout savoir sur la culture kawaii au Japon

La fascination du Japon pour tout ce qui est “mignon” s’est érigée au rang de tendance mondiale. Mais au fait, qu’est-ce que le kawaii exactement ? Et quelles sont les façons les plus folles d’être kawaii ?




Souvent traduit par “mignon”, le concept japonais de kawaii a été adopté par le monde entier. Il s’est même invité au dictionnaire anglais d’Oxford.

Adorable, innocent et enfantin : tels sont les trois maîtres mots du concept. Nombreux sont ceux qui retracent les origines de la culture kawaii aux années 70 avec la création d’une nouvelle forme d’écriture par des adolescentes. Une écriture verticale, caractérisée par l’ajout de lettres occidentales ainsi que d’images mignonnes de cœurs et d’étoiles aux symboles japonais traditionnels.



Aujourd’hui, la culture kawaii est bien plus vaste. Elle va de la mode à l’alimentation en passant par les BD et les cafés. Envie de vous habiller kawaii ? Essayez le look Lolita en alliant fronces victoriennes, jupons à volants et de grands rubans. Une petite faim kawaii ?



Offrez-vous une lunchbox kyaraben, où les ingrédients sont disposés de sorte à ressembler à un animal ou à un personnage de dessin animé mignon. Vous vous rendez dans une nouvelle ville ?



Vous croiserez certainement des yuru-chura, ces mascottes mignonnes qui servent à la promotion de villes et de régions, mais aussi d’entreprises et d’événements.

Le kawaii se décline d’ailleurs dans toute une variété de genres. Il y a le guro-kawaii (kawaii grotesque) pour une touche troublante, l’ero-kawaii (kawaii érotique) dans un genre plus sexy, et même le busu-kawaii (kawaii moche), ou quand la mignonnerie flirte avec le pathétique.



L’un des meilleurs endroits pour goûter à la culture kawaii est le quartier d’Harujuku à Tokyo, à quelques stations de métro de HOSHINOYA Tokyo.



À vous le look Lolita, les séances photos dans les purikura, ou les souvenirs kawaii.



Comme vous le verrez, le kawaii, c’est bien plus que Pokémon et Hello Kitty !

Crédits photo :

Haruko Kishi / CC BY-NC-ND
HAMACHI! / CC BY-NC-ND
yojolene / CC BY-NC
luckysundae / CC BY-SA

(source de l'article : http://www.hoshinoresorts-magazine.com/ ... aii-japon/ )

[alinéa]

les photos sont vraiment mignonnes

[Likaom]

Intéressant...

[phoenlx]

les photos sont vraiment mignonnes

c'est normal c'est du kawaii

[Scarabéaware]

Tiens, j'aurais pas cru qu'il pouvait carrément y avoir un quartier spécialisé dans le kawaii, mais en même temps avec les japonais c'est pas très surprenant . Bon petit article, au passage je connaissais pas encore l'ero-kawaii

[phoenlx]

ba si c'est le fameux quartier où il y a pas mal de cosplayeurs qui se balladent,
et qui inspire le nom d'une célèbre petite convention parisienne en septembre au passage ^^ c'est très connu harajuku

[Scarabéaware]

Ah ben oui c'est vrai que c'est justement ce quartier là aussi
Pis oui, pour Paris, c'est la petite convention en plein air