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Vos critiques et top des jeux auxquels vous avez joués
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Somewhere
- Tol Galen
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Re: Vos critiques des jeux auxquels vous avez joués
Faut que je vérifie les stats mais il me semble que c'est 5 jours, donc 120 heures, mais j'ai pas l'impression d'y avoir joué autant.
"La responsabilité d'un auteur est-elle de raconter des histoires moralement justes ? De faire plaisir aux fans ? Rien de tout ça. L'auteur n'a qu'une seule responsabilité : raconter des histoires qui lui ressemblent et auxquelles il croit." Story, Robert McKee
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Meleor
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Re: Vos critiques des jeux auxquels vous avez joués
Bon aller je fait comme Somewhere à mettre mon top en petits bouts!
1. Civilization 1 20-20
Le jeu de mes débuts vidéoludiques quand j'allais chez mes cousins.
1. Civilization 1 20-20
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Ahlek
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Re: Vos critiques des jeux auxquels vous avez joués
Ce n'est pas vraiment une critique mais plus une présentation du jeu.
Mario & Luigi Superstar Saga est un rpg sorti sur gameboy advance en 2003. On y contrôle Mario et Luigi chacun assigné à un bouton (donc : A et B ).
Au début du jeu, la princesse peach se fait voler sa voix par une sorcière qui s'enfui dans le royaume de Vegesia (voisin du royaume champignon) pour utiliser la voix sur un artefact magique générique. Ce qui est censé lui donner (roulement de tambour) un pouvoir permettant de dominer le monde ! (En fait je n'ai même pas retenu son objectif tellement c'est anecdotique).
Donc Mario et Luigi se font emmener au royaume de Végésia par... Bowser ? Et ils doivent vaincre la sorcière. Je précise que toute l'aventure se passe dans ce royaume.D'ailleurs, ils n'y a pas d’hôtel dans le jeu alors il faut employer des objets (mais on s'en fiche : on a de l'oseille à ne plus savoir quoi faire ).
Comme dit précédemment nos héros sont chacun assigné à un bouton, à l’extérieur des combat cet ordre peut changer en appuyant sur start et ils peuvent apprendre de nouvelles capacités (saut, marteau etc) que l'on change en appuyant sur L ou R (en fonction de l'ordre ). Ils peuvent aussi combiner leurs capacités pour atteindre de nouveaux endroits.
Les combats recèlent une particularité : Mario et Luigi sont capables d'éviter TOUTES les attaques ennemies. Evidemment, c'est à vous d'appuyer sur le (ou les) bouton au bon moment, de prévoir les attaques ennemies et le jeu vous indique quelle capacité vous devez utiliser. Pour attaquer, vous pouvez vous servir d'une attaque simple ou une attaque combinée (les secondes utilisent des PF). Si les premières formes d'attaques combinées ressemblent à des QTE, vous pouvez choisir de les accélérer, ce qui use moins de PF. A force d'en employer, vous débloquez les attaques avancées ( Bonne chance pour trouver comment ça marche )
qui se déclenchent en poussant un nouveau bouton et amènent un nouvel enchaînement.
J'adore ce jeu
Alors pour finir : je vous conseille de prendre le jeu sur emulateur et d'y jouer, c'est tout.
Mario & Luigi Superstar Saga est un rpg sorti sur gameboy advance en 2003. On y contrôle Mario et Luigi chacun assigné à un bouton (donc : A et B ).
Au début du jeu, la princesse peach se fait voler sa voix par une sorcière qui s'enfui dans le royaume de Vegesia (voisin du royaume champignon) pour utiliser la voix sur un artefact magique générique. Ce qui est censé lui donner (roulement de tambour) un pouvoir permettant de dominer le monde ! (En fait je n'ai même pas retenu son objectif tellement c'est anecdotique).
Donc Mario et Luigi se font emmener au royaume de Végésia par... Bowser ? Et ils doivent vaincre la sorcière. Je précise que toute l'aventure se passe dans ce royaume.D'ailleurs, ils n'y a pas d’hôtel dans le jeu alors il faut employer des objets (mais on s'en fiche : on a de l'oseille à ne plus savoir quoi faire ).
Comme dit précédemment nos héros sont chacun assigné à un bouton, à l’extérieur des combat cet ordre peut changer en appuyant sur start et ils peuvent apprendre de nouvelles capacités (saut, marteau etc) que l'on change en appuyant sur L ou R (en fonction de l'ordre ). Ils peuvent aussi combiner leurs capacités pour atteindre de nouveaux endroits.
Les combats recèlent une particularité : Mario et Luigi sont capables d'éviter TOUTES les attaques ennemies. Evidemment, c'est à vous d'appuyer sur le (ou les) bouton au bon moment, de prévoir les attaques ennemies et le jeu vous indique quelle capacité vous devez utiliser. Pour attaquer, vous pouvez vous servir d'une attaque simple ou une attaque combinée (les secondes utilisent des PF). Si les premières formes d'attaques combinées ressemblent à des QTE, vous pouvez choisir de les accélérer, ce qui use moins de PF. A force d'en employer, vous débloquez les attaques avancées ( Bonne chance pour trouver comment ça marche )
qui se déclenchent en poussant un nouveau bouton et amènent un nouvel enchaînement.
J'adore ce jeu
Alors pour finir : je vous conseille de prendre le jeu sur emulateur et d'y jouer, c'est tout.
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Maedhros
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Re: Vos critiques des jeux auxquels vous avez joués
Si tu veux présenté un jeu, la prochaine fois Ahlkek, crée un nouveau topic.
Si vous voulez le contacter, veiller le faire par courriel.
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Ahlek
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Re: Vos critiques des jeux auxquels vous avez joués
C'est vrai maintenant que j'y pense... Je reprend ça et je le fait ?
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phoenlx
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Re: Vos critiques des jeux auxquels vous avez joués
oui n'hésite pas à créer un topic Ahlek quand tu veux présenter un jeu précis en détail
Qu'importe la destination c'est le voyage qui compte
Notre histoire deviendra légende
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Ahlek
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Re: Vos critiques des jeux auxquels vous avez joués
Ouais mais bon... j'ai rien a dire de plus.
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Maedhros
- La ruine d'Osgiliath
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Re: Vos critiques des jeux auxquels vous avez joués
Et bien le prochain jeu souvient toi s'en.
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Aries Phoenix
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Re: Vos critiques des jeux auxquels vous avez joués
Ben dernièrement, j'ai joué à Super Smash Bros Brawl, sur Wii, et que dire d'autre que du positif ?
Les combats étaient bien amenés, avec des chances de gagner très variantes des autres jeux, bref, j'ai adoré.
Le mode monojoueur était très agréable, ni trop dur, ni trop facile, de quoi ravir un gameur.
Et sans oublier le concours de lancer de sac de sable, épique, qui ouvrait des voies vers des possibilités de jeu incroyables. J'ai bien pris mon pied en regardant sur le net comment tabasser le sac de façon à l'envoyer valdinguer à des kilomètres
Bref, un jeu épique,plein de surprises et de défis, un pur Made in Nintendo.
Les combats étaient bien amenés, avec des chances de gagner très variantes des autres jeux, bref, j'ai adoré.
Le mode monojoueur était très agréable, ni trop dur, ni trop facile, de quoi ravir un gameur.
Et sans oublier le concours de lancer de sac de sable, épique, qui ouvrait des voies vers des possibilités de jeu incroyables. J'ai bien pris mon pied en regardant sur le net comment tabasser le sac de façon à l'envoyer valdinguer à des kilomètres
Bref, un jeu épique,plein de surprises et de défis, un pur Made in Nintendo.
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Maedhros
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Re: Vos critiques des jeux auxquels vous avez joués
J'y est jouer, mon seul point négatif est la manette wii, elle dévore littéralement des batteries.
Si vous voulez le contacter, veiller le faire par courriel.
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Aries Phoenix
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Re: Vos critiques des jeux auxquels vous avez joués
Ouais... Enfin ça va encore, il faut juste quatre piles rechargeables et un bon roulement. Ça ne m'a jamais dérangé...
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Maedhros
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Re: Vos critiques des jeux auxquels vous avez joués
Les miennes commencent à être vielle, c'est sans doute pour cela
Si vous voulez le contacter, veiller le faire par courriel.
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Ahlek
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Re: Vos critiques des jeux auxquels vous avez joués
The world ends with you
Le premier jeu DS de SquareEnix en 2007 ( au japon )
Un RPG dans lequel on se retrouve dans la peau de Neku qui est enfermé dans Shibuya au cours d'un "jeu" dont seuls les gagnants peuvent sortir.
Pour combattre les montres il est obligé de faire un pacte avec une jeune fille, et c'est là qu'intervient la particularité de gameplay dans ce jeu :
Les combats se déroulent en même temps sur deux écrans, on controle l'écran du bas avec le stylet et celui du haut avec A,B,X,Y ou +.
Le scénario est riche en rebondissements.
Le bémol c'est que le jeu n'est disponible qu'en anglais ou en japonais.
Pour moi c'est 8/10.
Le premier jeu DS de SquareEnix en 2007 ( au japon )
Un RPG dans lequel on se retrouve dans la peau de Neku qui est enfermé dans Shibuya au cours d'un "jeu" dont seuls les gagnants peuvent sortir.
Pour combattre les montres il est obligé de faire un pacte avec une jeune fille, et c'est là qu'intervient la particularité de gameplay dans ce jeu :
Les combats se déroulent en même temps sur deux écrans, on controle l'écran du bas avec le stylet et celui du haut avec A,B,X,Y ou +.
Le scénario est riche en rebondissements.
Le bémol c'est que le jeu n'est disponible qu'en anglais ou en japonais.
Pour moi c'est 8/10.
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Somewhere
- Tol Galen
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Re: Vos critiques des jeux auxquels vous avez joués
The Legend of Zelda : Breath of the Wild, bon je ne vais pas y aller par quatre chemins, ce sera la note maximale, le jeu n'est pas parfait, notamment une intrigue très très sommaire, mais quelle expérience de jeu inoubliable, jamais je n'avais eu un tel sentiment de liberté totale, une fois la manette en main, faut le vouloir pour s'arrêter de jouer, y a toujours quelque chose à faire, le personnage est très agréable à faire mouvoir, et que dire de ces instants où l'on plane au-dessus des plaines avec le para-vent... Ajouter à celà des paysages magnifiques, une map gigantesque où il faudra sans doute des centaines et des centaines d'heures pour explorer chaque recoin tellement ce jeu est riche en détail, le tout est absolument monstrueux et nul doute que ce jeu sera très longtemps une référence du genre tant il atteint des sommets. Quel coup pour Nintendo qui en un seul jeu s'est totalement relancé après l'échec de la Wii U.
20/20
Top all-time :
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Maedhros
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Re: Vos critiques des jeux auxquels vous avez joués
Je vais ici faire une petite critique de Skyward Sword. J'aime bien ce Zelda et ce bien qu'il à été sous-estimé et c'est vraiment dommage car quand je vois des gens qui disent que c'est le pire jeu du monde. Je vous avoue que je trouve cela un petit peu exagérer, car aucun opus Zelda est mauvais à pars les Zelda CD-I, mais ça c'est une autre histoire. Même les deux Zelda sortis sur la DS reste vraiment sympathique, limité certes, mais vraiment amusant. Tous les Zeldas pour moi sont des très bon jeux. Bien sûr que même si Skyward Sword qui n'est pas un de mes Zelda préféré à des qualité je ne vais nier ses défauts gênants, bien sûr je vais rester sévère par rapport à ses soucis qui sont un peu plus gênant que ceux de Twillight Princess pour vous dire.
Commençons pars le scénario de Skyward Sword. Celui-ci m'a emporté, il m,a intéressé et j'ai vraiment adoré surtout que l'histoire dure assez longtemps. Lesp personnages comme par exemple Hergo m'on beaucoup marqué. Alors oui, tous n'est pas parfait au niveau des personnages comme par exemple Fay qui n'arrête pas de nous harceler tous les deux secondes si je peux dire cela comme ça ou encore Ghirahim, Nintendo aurait put développer mieux le personnage le rendre encore plus fou ou plus froid parce qu'il est un peu entre les deux entre le Joker et Ganondorf et comme Xanto je le regrette, mais bon à la fin sa c'est amélioré, mais pour le reste j'ai vraiment adoré avec les dragons, avec Zelda qui à sa propre quête, les rebondissements et même la fin aussi. Quand on va dans certains lieux comme par exemple le temple du sceau, Célesbourg, le Ciel, Narisha, la mer de sable, la tour des cieux j'ai vraiment adoré ces environnements. Après pour les quêtes annexes il y a du bon comme par exemple avec ???, mais il y a aussi du moins bon, mais globalement j'ai adoré le scénario, les personnages et les environnements. Pour moi l'aventure de ce Skyward Sword est très riche, même si c'est vrai que malheureusement ce n'est pas non plus le scénario le plus complexe du monde je trouve que Nintendo à fait beaucoup d’effort par rapport aux personnages, par rapport aussi aux rebondissements et on arrive à mieux s'y intéressé en fait et c'est pour cela que Skyward Sword à vraiment un scénario qui m'a beaucoup plus.
Qui dit scénario dit forcément ambiance et je peux vous dire que l'ambiance ma énormément plus. Que ce soit dans les zones comme la forêt de Firone, le volcan d'Ordinn et le désert de Lanelle et bien j'ai réussit à ressentir l.ambiance et à me plonger là dedans. Même dans certains donjons comme par exemple le Grand Sanctuaire Ancien ou encore le temple de la terre. J'ai réussit à m'intéresser à ce genre de lieu. Pour moi avec ce Zelda ce qui est vraiment excellent c,est que j'ai réussit à ressentir le voyage grâce à son ambiance donc sa c,est un point qui m,a énormément plus et bien sûr n'oublions pas l'ambiance stressante dans les phases de psychalis qui sont bien meilleur pour cela que les phases du Crépuscule, mais bon il n'y a pas que cela aussi. Il y a également la bande-son qui est sublime. Bon après il n'y a pas toutes les pistes qui sont excellente, mais il y a certaines qui sont magnifique par exemple le thème principal, le thème de Fay, le thème de Célesbourg.
Il y aussi le gameplay que j'ai bien apprécié, personellement je n,ai pas eut trop de problème avec, mais je peux comprendre que ce soit un point négatif pour le jeu.
L'un des trucs que je déteste le plus c'est le combat avec le Banni. On l'affronte trois fois, on affronte trois fois un même boss qui deviens de plus en plus difficile, mais surtout de plus en plus chiant, surtout la troisième fois. Le plus énervant c'est quand vous tomber d'une falaise et que vous êtes obliger de remonter pour lui donner un coup tout simplement parce qu'il est tellement grand que vous n'arrivez pas à passer, ça c'est vraiment chiant et pour moi c'est vraiment cauchemardesque. Alors oui c'est stressant car on dois se dépêcher parce que en quelque part le temps est compté, mais le soucis c,est que c'est très mal fait et finalement on perd bêtement parce que on a pas put être rapide à cause des passages étroits.
Alors oui, même si j'aime beaucoup le concept de voler dans le ciel, il y a quand même des soucis qui m'on dérangé comme par exemple le gameplay avec le célestrier qui n,est pas très exploité et le ciel qui n,est pas si beau que ça, mais bien sûr ce qui me dérange le c,est que nous n'avons plus le cycle jour-nuit et ça c'est le point que je regrette le plus. Vous vous imaginez de voler sous un ciel noctume, étoilé ou sous un couché de soleil? Ce aurait put être magnifique et agréable, mais non, on peut uniquement volé dans la journée et pour déclencher la nuit il faut tout simplement ce rendre à Célesbourg et même sur une île et faire dodo quelque part et la nuit est déclenché et ça franchement c'est ce qui m'a le plus dérangé. Je n'arrive pas à comprendre la décision de Nintendo à ce moment là. Ce aurait put être superbe de volé avec le célestrier justement sous un ciel étoilé et bah non l'idée n'a pas été maintenue et ça c'est vraiment dommage.
Le plus gros point faible de Skyward Sword reste bel et bien l'absence d'un monde ouvert. Entre les trois zones on a aucune plaine à parcourir et ça c'est vraiment dommage et justement c'est ça qui est problématique. Un zelda c'est fait pour parcourir et explorer un monde comme dans Ocarina of Time ou même Wind Waker, mais dans Skyward Sword on a aucun monde ouvert quand on est sur la terre ferme et ¸ça c'est frustrant, car on se sent enfermé dans une zone, le sentiment d'explorer dans ce jeu est vraiment très limité et ça c'est regrettable. C'est carrément une régression par rapport aux opus précédent dans la série et ça pour moi c'est clairement le plus gros point faible.
Malgré ses défauts génant Skyward Sword reste un Zelda amusant.
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Re: Vos critiques des jeux auxquels vous avez joués
Maedhros a écrit :car quand je vois des gens qui disent que c'est le pire jeu du monde
Non mais ça c'est des frustrés, ils ne méritent même pas qu'on leur porte une quelconque attention.
Le jeu pose quand même les bases de l'univers de Zelda, même si paradoxalement il s'éloigne de l'univers que l'on connait et que le jeu manque de variété.
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Aries Phoenix
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Re: Vos critiques des jeux auxquels vous avez joués
Une petite critique de Super Smash Bros Brawl.
Support : toutes les consoles Nintendo ne datant pas de la préhistoire
Editeur : Nintendo
Fun : Assuré
Que dire de cette série ? c'est juste le meilleur jeu de baston de tous les temps !
Déjà, le concept de "mort" est révolutionnaire. En effet, pour perdre une vie, il ne faut pas descendre à zéro points, mais se faire éjecter de l'aire de jeu.
Et pour ce faire, plus on ramasse, plus on gagne de "pourcents". A partir de 100%, il suffit d'un smash et on sort (à peu près...)
Mais qu'est-ce qu'un smash ? C'est soit un coup normal porté et gardé avec le pad, soit un coup spécial (et encore, dans certains cas). Pour "smasher", il faut appuyer simultanément sur le pad et le bouton de coup, garder les doigts appuyés pour charger (plus on reste appuyé longtemps, plus le coup est puissant) et puis relâcher pour cogner !!!
Ce jeu est génial, offre des possibilités quasi infinies, et un très large panel de combattants (plus de 25).
Un must-have pour tous les amateurs de combat, et même les autres.
Support : toutes les consoles Nintendo ne datant pas de la préhistoire
Editeur : Nintendo
Fun : Assuré
Que dire de cette série ? c'est juste le meilleur jeu de baston de tous les temps !
Déjà, le concept de "mort" est révolutionnaire. En effet, pour perdre une vie, il ne faut pas descendre à zéro points, mais se faire éjecter de l'aire de jeu.
Et pour ce faire, plus on ramasse, plus on gagne de "pourcents". A partir de 100%, il suffit d'un smash et on sort (à peu près...)
Mais qu'est-ce qu'un smash ? C'est soit un coup normal porté et gardé avec le pad, soit un coup spécial (et encore, dans certains cas). Pour "smasher", il faut appuyer simultanément sur le pad et le bouton de coup, garder les doigts appuyés pour charger (plus on reste appuyé longtemps, plus le coup est puissant) et puis relâcher pour cogner !!!
Ce jeu est génial, offre des possibilités quasi infinies, et un très large panel de combattants (plus de 25).
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Maedhros
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Re: Vos critiques des jeux auxquels vous avez joués
Aries Phoenix a écrit :Une petite critique de Super Smash Bros Brawl.
Support : toutes les consoles Nintendo ne datant pas de la préhistoire
Editeur : Nintendo
Fun : Assuré
Que dire de cette série ? c'est juste le meilleur jeu de baston de tous les temps !
Déjà, le concept de "mort" est révolutionnaire. En effet, pour perdre une vie, il ne faut pas descendre à zéro points, mais se faire éjecter de l'aire de jeu.
Et pour ce faire, plus on ramasse, plus on gagne de "pourcents". A partir de 100%, il suffit d'un smash et on sort (à peu près...)
Mais qu'est-ce qu'un smash ? C'est soit un coup normal porté et gardé avec le pad, soit un coup spécial (et encore, dans certains cas). Pour "smasher", il faut appuyer simultanément sur le pad et le bouton de coup, garder les doigts appuyés pour charger (plus on reste appuyé longtemps, plus le coup est puissant) et puis relâcher pour cogner !!!
Ce jeu est génial, offre des possibilités quasi infinies, et un très large panel de combattants (plus de 25).
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Aries Phoenix
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Re: Vos critiques des jeux auxquels vous avez joués
Un autre aspect sympathique du jeu est que la plupart des réponses au "comment bastonner" se trouvent sur le net. Il y a de nombreuses communautés de joueurs, chacun apportant une pierre à l'édifice, car finir ce jeu relève des douze travaux d'Hercule. Le mode custom est tout simplement génial, on peut changer un perso léger en une brute de cogne, on peut élaborer des tactiques ésotériques pour chaque personnage, et surtout, on peut placer son perso contre une IA low level quand on a juste envie de distribuer des pains
Seul bémol, le pad de la 3DS n'est pas super bien foutu, et à force de l'utiliser on peut le rendre inutilisable Nintendo a décidé de refuser de transférer les mouvements vers le pad directionnel, du coup on ne peut même plus jouer pèpère. Je comprends que pour les "pros", la direction exacte compte, mais pas pour le joueur lambda qui a déjà du mal à s'y retrouver entre les 49 personnages jouables, sans compter ceux qu'on peut acheter (booo !)
Seul bémol, le pad de la 3DS n'est pas super bien foutu, et à force de l'utiliser on peut le rendre inutilisable Nintendo a décidé de refuser de transférer les mouvements vers le pad directionnel, du coup on ne peut même plus jouer pèpère. Je comprends que pour les "pros", la direction exacte compte, mais pas pour le joueur lambda qui a déjà du mal à s'y retrouver entre les 49 personnages jouables, sans compter ceux qu'on peut acheter (booo !)
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Maedhros
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Re: Vos critiques des jeux auxquels vous avez joués
J'ai finalement fini Link's Awakening, sans aucun doute l'univers le plus poétique tous Zelda confondu, l'histoire est belle et tragique et la fin est mémorable.
Nous échouons sur une île perdu que l'on découvre au fil de l'aventure n'être que le fruit du Poisson-Rêve, sorte de créature dormant dans un œuf au sommet de l'île, une très jolie mise en abîme du jeu vidéo comme Nintendo nous en a peu fournie.
Dans les faits se jeu est une véritable baffe au code de la série et ce bien avant la seconde avec Majora's Mask. Alors que Zelda nous habitue à un jeu héroique et aux valeurs telle que l'amitié et le courage ici règne une ambiance pleine d,uns tristesse et d'une nostalgie accentuer pars la fin. Link semble avoir mûrit, l'amitié se transforme en amour, mais pour une raison que je ne vous dirai pas ici, la jeu est cruel et l'on s'attache au personnage, Marine par exemple pour se faire disons lessivé émotionnellement pars le jeu. Ces dialogues tantôt hilarant, Tarkin qui se transforme en raton-laveur, Pépé Ramollo, la sirène en bikini, tantôt tristement nostalgique. Dans les faits se jeu se rapproche de Majora's Mask dans le sens qu'il s'éloigne de la série et nous montre qu'un excellent Zelda n,a pas besoin de Zelda, Ganon et la Triforce. Cependant alors que MM est sombre et opressant, L'A est nostalgique, triste, onirique.
Link's Awakening surprend par son ambiance. Le joueur se posera sans cesse cette question : cette aventure n'est t-elle qu'un rêve ? Pourquoi Marine ressemble étrangement à la princesse Zelda ? Pourquoi toutes ces références au rêve, à l'imaginaire, au sommeil ? Pourquoi l'île et ses habitants disparaîtront si le Poisson-Rêve se réveille ? Sommes-nous dans l'esprit de Link ? Tout ça est très étrange, et est accentué par les superbes musiques de monsieur Koji Kondo. Celui-ci a réalisé une bande-son magistrale, tour à tour épique (les montages !), angoissante (l'intro), étrange (le passage ou Link s'endort dans un lit au village et atterrit dans un petit donjon) ou simplement mélancolique : la pièce maîtresse de Zelda LA, c'est La Ballade du Poisson-Rêve, qui reviendra tout au long du jeu. Plusieurs passages renforcent cette ambiance mélancolique : le passage en Coq Volant, l'étrange fantôme du cimetière, ou bien sûr la relation qu'entretiennent Link et Marine. La première histoire d'amour de la saga et la plus belle.
Nous échouons sur une île perdu que l'on découvre au fil de l'aventure n'être que le fruit du Poisson-Rêve, sorte de créature dormant dans un œuf au sommet de l'île, une très jolie mise en abîme du jeu vidéo comme Nintendo nous en a peu fournie.
Dans les faits se jeu est une véritable baffe au code de la série et ce bien avant la seconde avec Majora's Mask. Alors que Zelda nous habitue à un jeu héroique et aux valeurs telle que l'amitié et le courage ici règne une ambiance pleine d,uns tristesse et d'une nostalgie accentuer pars la fin. Link semble avoir mûrit, l'amitié se transforme en amour, mais pour une raison que je ne vous dirai pas ici, la jeu est cruel et l'on s'attache au personnage, Marine par exemple pour se faire disons lessivé émotionnellement pars le jeu. Ces dialogues tantôt hilarant, Tarkin qui se transforme en raton-laveur, Pépé Ramollo, la sirène en bikini, tantôt tristement nostalgique. Dans les faits se jeu se rapproche de Majora's Mask dans le sens qu'il s'éloigne de la série et nous montre qu'un excellent Zelda n,a pas besoin de Zelda, Ganon et la Triforce. Cependant alors que MM est sombre et opressant, L'A est nostalgique, triste, onirique.
Link's Awakening surprend par son ambiance. Le joueur se posera sans cesse cette question : cette aventure n'est t-elle qu'un rêve ? Pourquoi Marine ressemble étrangement à la princesse Zelda ? Pourquoi toutes ces références au rêve, à l'imaginaire, au sommeil ? Pourquoi l'île et ses habitants disparaîtront si le Poisson-Rêve se réveille ? Sommes-nous dans l'esprit de Link ? Tout ça est très étrange, et est accentué par les superbes musiques de monsieur Koji Kondo. Celui-ci a réalisé une bande-son magistrale, tour à tour épique (les montages !), angoissante (l'intro), étrange (le passage ou Link s'endort dans un lit au village et atterrit dans un petit donjon) ou simplement mélancolique : la pièce maîtresse de Zelda LA, c'est La Ballade du Poisson-Rêve, qui reviendra tout au long du jeu. Plusieurs passages renforcent cette ambiance mélancolique : le passage en Coq Volant, l'étrange fantôme du cimetière, ou bien sûr la relation qu'entretiennent Link et Marine. La première histoire d'amour de la saga et la plus belle.
Si vous voulez le contacter, veiller le faire par courriel.
Re: Vos critiques des jeux auxquels vous avez joués
Paper Mario 64
J'avais déjà joué à la Porte millénaire sur Gamecube et c'était super. Quand je me suis rendu compte qu'il en existait un sur N64 que j'avais laissé pendant des années à prendre la poussière dans un coin, je me suis dit "tiens ! Voyons voir le premier épisode !"
La princesse Peach donne une grande réception invitant des gens des quatre coins du royaume Champignon. Mario et son frère Luigi sont évidemment conviés. La fête promet d'être mémorable, mais alors que tout va pour le mieux, voilà que l'ignoble roi Bowser débarque dans le but surprenant d'enlever la princesse Peach. Mario l'affronte avec bravoure jusqu'à ce que Bowser sorte son arme secrète : la légendaire Baguette Etoile capable de réaliser tous les voeux ! Bowser colle une raclée à Mario et fait s'envoler le château de Peach avec sa nouvelle forteresse volante dans la stratosphère.
Mario atterrit lourdement non loin du village goomba. Il découvrira que pour sauver le royaume Champignon, il lui faudra voyager aux quatre coins du royaume Champignon pour récupérer les 7 Esprits Etoiles capturées et disséminées par Bowser, seul leur pouvoir conjugué a une chance de contrer sa Baguette Etoile et le vaincre. Mais ça ne sera pas facile car le fourbe seigneur des Koopa a attribué un impitoyable gardien à chacun des Esprits Etoiles.
Succédant à Super Mario RPG sur Super Nes, Paper Mario 64 est un superbe RPG où l'on retrouve toutes les créatures de l'univers (toads, goombas, koopas, boos...) avec une équipe de 8 personnages inédits recrutés au fil de l'histoire. Je ne suis pas vraiment un grand amateur de Mario mais j'ai vraiment adoré le jeu. Bien sûr la Porte millénaire a ajouté de nombreuses améliorations (voix, interaction avec le décor, public, barre de vie des équipiers...) mais Paper Mario tel quel était une bonne base et en tant que jeu seul, il vaut vraiment le coup d'oeil. L'histoire est bien, les personnages sont attachants et avec un vécu et des motivations propres, l'intrigue des Esprit Etoiles est bien, bref j'adore. Si vous avez une N64, hésitez pas.
Mon personnage préféré du jeu reste Lady Bouh, une gentille demoiselle Boo de la noblesse qui aide Mario pour le remercier d'avoir sauvé les siens.
Here we go !
J'avais déjà joué à la Porte millénaire sur Gamecube et c'était super. Quand je me suis rendu compte qu'il en existait un sur N64 que j'avais laissé pendant des années à prendre la poussière dans un coin, je me suis dit "tiens ! Voyons voir le premier épisode !"
La princesse Peach donne une grande réception invitant des gens des quatre coins du royaume Champignon. Mario et son frère Luigi sont évidemment conviés. La fête promet d'être mémorable, mais alors que tout va pour le mieux, voilà que l'ignoble roi Bowser débarque dans le but surprenant d'enlever la princesse Peach. Mario l'affronte avec bravoure jusqu'à ce que Bowser sorte son arme secrète : la légendaire Baguette Etoile capable de réaliser tous les voeux ! Bowser colle une raclée à Mario et fait s'envoler le château de Peach avec sa nouvelle forteresse volante dans la stratosphère.
Mario atterrit lourdement non loin du village goomba. Il découvrira que pour sauver le royaume Champignon, il lui faudra voyager aux quatre coins du royaume Champignon pour récupérer les 7 Esprits Etoiles capturées et disséminées par Bowser, seul leur pouvoir conjugué a une chance de contrer sa Baguette Etoile et le vaincre. Mais ça ne sera pas facile car le fourbe seigneur des Koopa a attribué un impitoyable gardien à chacun des Esprits Etoiles.
Succédant à Super Mario RPG sur Super Nes, Paper Mario 64 est un superbe RPG où l'on retrouve toutes les créatures de l'univers (toads, goombas, koopas, boos...) avec une équipe de 8 personnages inédits recrutés au fil de l'histoire. Je ne suis pas vraiment un grand amateur de Mario mais j'ai vraiment adoré le jeu. Bien sûr la Porte millénaire a ajouté de nombreuses améliorations (voix, interaction avec le décor, public, barre de vie des équipiers...) mais Paper Mario tel quel était une bonne base et en tant que jeu seul, il vaut vraiment le coup d'oeil. L'histoire est bien, les personnages sont attachants et avec un vécu et des motivations propres, l'intrigue des Esprit Etoiles est bien, bref j'adore. Si vous avez une N64, hésitez pas.
Mon personnage préféré du jeu reste Lady Bouh, une gentille demoiselle Boo de la noblesse qui aide Mario pour le remercier d'avoir sauvé les siens.
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Somewhere
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Re: Vos critiques des jeux auxquels vous avez joués
Près de 18 ans après sa sortie, j'ai pu mettre la main sur Perfect Dark, un FPS sorti sur une Nintendo 64 en fin de vie et qui du coup n'a pas pu se faire autant connaître que son prédécesseur GoldenEye, créé par le même équipe, et c'est un peu dommage, car évolution technique oblige, le jeu est techniquement meilleur que celui sur 007, avec des améliorations graphiques, de nouvelles actions de jeu. Il se démarque également par une plus grande obligation de la jouer plus stratégique et de ne plus tirer à tout va, même si le jeu comporte son lot de gros gunfights, on reste quand même dans un FPS. Le scénario lui est très intéressant, on est dans de la science-fiction sur fond de complot extraterrestre, il y a 17 niveaux en tout, à peu près autant que dans GoldenEye, j'aurais aimé qu'il y en ai un chouia un peu plus car au final j'ai une impression de jeu assez court. Néanmoins, ça reste très fun à jouer, et oui, il est possible de faire de grands FPS sur console.
18/20
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phoenlx
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Re: Vos critiques des jeux auxquels vous avez joués
tiens j'aurais cru que certains Tomb Raider seraient plus haut dans ton classement !
Qu'importe la destination c'est le voyage qui compte
Notre histoire deviendra légende
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Ahlek
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Re: Vos critiques des jeux auxquels vous avez joués
Shadow of the colossus
Maintenant que je l'ai fini le jeu me laisse une impression... mitigée, notamment parce-que -et c'est mon principal souci avec le jeu- c'est facile !
Tellement facile que j'espérais à chaque nouveau colosse qu'il ai plus que quelques point d'impact !
De plus une voix (non-désactivable bien entendu) vous indique à chaque combat quoi faire dès que vous galérez un peu !
Il reste plus qu'a espérer que les colosses soient impressionnant...
Eh bah non.
Sur les 16 colosses 3 font à peine deux fois la taille du héros, 8 font entre 20 et 30 mètres, seul le boss de fin est à la fois gigantesque et impressionant (et pas trop facile) et le seul que j'ai trouvé vraiment marquant ( le 13e colosse) est aussi facile que les autres.
Je précise que les tailles (cf : https://www.les-ailes-immortelles.net/save-noelshack_1/1336166004-colossuscomparisonqm9.jpg ) sont à réduire étant donné la perception de celle ci dans le jeu.
Et je sais que le jeu était limité par la taille du disque, mais c'est décevant quand même.
Voilà, j'ai bien dit ce que j'avais sur le coeur, maintenant le reste.
Déjà, j’apprécie le fait que le héros ai des difficultés se mouvoir, par exemple il trébuche partout, cela renforce le sentiment d'être un petit humain frêle qui combat des trucs trop grands pour lui.
L'idée de contemplation est très présente dans le jeu bien qu'elle ne me parle pas trop.
Voilà
Contrairement à ce que j'ai pu laisser penser, je l'aime bien, il est juste beaucoup trop facile à mon goût.
Maintenant que je l'ai fini le jeu me laisse une impression... mitigée, notamment parce-que -et c'est mon principal souci avec le jeu- c'est facile !
Tellement facile que j'espérais à chaque nouveau colosse qu'il ai plus que quelques point d'impact !
De plus une voix (non-désactivable bien entendu) vous indique à chaque combat quoi faire dès que vous galérez un peu !
Il reste plus qu'a espérer que les colosses soient impressionnant...
Eh bah non.
Sur les 16 colosses 3 font à peine deux fois la taille du héros, 8 font entre 20 et 30 mètres, seul le boss de fin est à la fois gigantesque et impressionant (et pas trop facile) et le seul que j'ai trouvé vraiment marquant ( le 13e colosse) est aussi facile que les autres.
Je précise que les tailles (cf : https://www.les-ailes-immortelles.net/save-noelshack_1/1336166004-colossuscomparisonqm9.jpg ) sont à réduire étant donné la perception de celle ci dans le jeu.
Et je sais que le jeu était limité par la taille du disque, mais c'est décevant quand même.
Voilà, j'ai bien dit ce que j'avais sur le coeur, maintenant le reste.
Déjà, j’apprécie le fait que le héros ai des difficultés se mouvoir, par exemple il trébuche partout, cela renforce le sentiment d'être un petit humain frêle qui combat des trucs trop grands pour lui.
L'idée de contemplation est très présente dans le jeu bien qu'elle ne me parle pas trop.
Voilà
Contrairement à ce que j'ai pu laisser penser, je l'aime bien, il est juste beaucoup trop facile à mon goût.
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Maedhros
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Re: Vos critiques des jeux auxquels vous avez joués
The Legend of Zelda: Adventure of Link
J'ai donc après quasiment dix ans a avoir ce jeu, je l'ai finalement fini et a cent pourcent. Et dans les faits, malgré certaines frustration jele trouve très bon ou en tous cas bien meilleur que le premier. Nous avons ici un véritable monde avec des villages et des vrais PNJ, des bonnes quêtes, un bon backround, mais le véritable problème du jeu c'est sa difficulté qui sans être digne d'un The Lost Level, reste très grande surtout au début du jeu. Toutefois, je la considère moins chiante que la difficulté du premier épisode, pas moins grande, mais moins chiante, moins de boule de feu qui vont n'importe où, de darknut qui se retournent au dernier moment et de putain de wizzrobes et leur téléportation dans ta face avec leur rayon laser. Reste toutefois que certains éléments sont présent, mais seulement en fin de jeu, la vallée de la mort, même si deviens facile quand tu comprend le schéma des ennemis et surtout thunderbird dont sa mort fut une parfait hasard. Alors que dans Zelda 1, sa commence dès le second donjon! De plus les graphiques sont très beau pour l'époque, bien plus que Zelda 1. Pour avoir fait le cent pour cent, un seul truc m'énerve: la seconde quête. Dans Zelda 1, la seconde quête changeait totalement le jeu, les donjons étaient placer différemment (dans des endroits impossible a trouver sans soluce ) et était différent, plus difficile. Là la seconde quête, c'est la même que la première et tu garde ton niveau et les sortilèges, seules les objets et les réceptacle de cœur et de magie sont ôter. Ce qui fait que cette seconde quête est terriblement facile ou tu bat le premier boss en deux coups, bref ridicule. Cela dit, sa reste un très bon même si difficile je le conseille plus que Zelda 1.
J'ai donc après quasiment dix ans a avoir ce jeu, je l'ai finalement fini et a cent pourcent. Et dans les faits, malgré certaines frustration jele trouve très bon ou en tous cas bien meilleur que le premier. Nous avons ici un véritable monde avec des villages et des vrais PNJ, des bonnes quêtes, un bon backround, mais le véritable problème du jeu c'est sa difficulté qui sans être digne d'un The Lost Level, reste très grande surtout au début du jeu. Toutefois, je la considère moins chiante que la difficulté du premier épisode, pas moins grande, mais moins chiante, moins de boule de feu qui vont n'importe où, de darknut qui se retournent au dernier moment et de putain de wizzrobes et leur téléportation dans ta face avec leur rayon laser. Reste toutefois que certains éléments sont présent, mais seulement en fin de jeu, la vallée de la mort, même si deviens facile quand tu comprend le schéma des ennemis et surtout thunderbird dont sa mort fut une parfait hasard. Alors que dans Zelda 1, sa commence dès le second donjon! De plus les graphiques sont très beau pour l'époque, bien plus que Zelda 1. Pour avoir fait le cent pour cent, un seul truc m'énerve: la seconde quête. Dans Zelda 1, la seconde quête changeait totalement le jeu, les donjons étaient placer différemment (dans des endroits impossible a trouver sans soluce ) et était différent, plus difficile. Là la seconde quête, c'est la même que la première et tu garde ton niveau et les sortilèges, seules les objets et les réceptacle de cœur et de magie sont ôter. Ce qui fait que cette seconde quête est terriblement facile ou tu bat le premier boss en deux coups, bref ridicule. Cela dit, sa reste un très bon même si difficile je le conseille plus que Zelda 1.
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Re: Vos critiques des jeux auxquels vous avez joués
Je joue à Dragon Quest VII, il est pas mal mais les musiques et les villages sont assez répétitifs...
Je croyais que ce serait divers mais non, ça se répète.
Je préfère largement le IX.
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Somewhere
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Re: Vos critiques des jeux auxquels vous avez joués
Tomb Raider : L'Ange des Ténèbres, le sixième dans l'ordre chronologique des sorties, un jeu qui devait renouveler la franchise mais qui s'est totalement vautré et qui a signé la fin de Core Design, le studio qui avait lancé la série en 1996. L'énorme problème de ce jeu vient du gameplay, catastrophique, Lara Croft est quasiment impossible à déplacer correctement, elle semble peser trente tonnes à chacun de ses mouvements, sachant que des énigmes sont basées sur la maniabilité du personnage, c'est un véritable calvaire que d'avancer dans ce jeu. Du coup tout le reste passe quasiment au second plan, que ce soit le scénario qui renouvelle la franchise en quittant l'exploration pour l'enquête fantastique, les lieux mythologiques pour les vieilles villes européennes, ou des nouveautés salvatrices comme l'interaction avec d'autres personnages, voir même la possibilité d'en jouer d'autres. Malheureusement le pire jeu auquel j'ai joué.
6/20
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Maedhros
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Re: Vos critiques des jeux auxquels vous avez joués
Fire Emblem : Shadows of Valentia Echoes sur 3DS est le quinzième opus de la prestigieuse saga Fire Emblem. Il s'agit du remake de Fire Embel Gaiden, le second épisode sortis sur Famicon. Il s'agit de mon premier Fire Emblem et de mon premier Tactical RPG, alors il m'est difficile de le comparer aux autres jeux de la licence ou aux tactical RPG en général. J'ai tous de même adorer le gameplay, si les autres tactical RPG lui ressemble je devrai aimez. Le jeu a d'énorme qualité au niveau du gameplay qui est assez simple a comprendre, mais tous de même difficile a maîtriser. D'ailleurs le jeu vous demandera absolument de bien maîtriser le gameplay après les premiers niveaux. Effectivement, quand les personnages de ton équipes meurt pendant un combats, ils meurt, ce qui rend le jeu bien plus difficile (À noté toutefois la possibilité d'utiliser le turnwheel, une sorte de retourneur de temps pour retourner dans le passé, toutefois son utilisation est limité, mais augmente au fil de l'aventure. Bien pratique si l'on fait une erreur d’inattention mortelle.(Effectivement certains personnages ont peux de p.v et de résistance (pensé pour les clercs) Il faut donc user de tactique pour bien planifier les déplacements de l'adversaire et tenir compte des la résistances physique et magique des personnages autant que leur puissance de frappe. Je regretterai tous de même ce système durant les phases de donjons qui nous font bouffer du temps avec plusieurs vagues d'ennemis facile, mais long a vaincre (Mention spécial a la tour de Duma). Bref un gameplay aux petits oignons malgré quelques défauts mineures. Quand à l'histoire, elle est classique et les indices sur les retournements de situation sont très gros, mais elle reste passionnante et te donne le goût de continuer a jouer pour la finir. Certaines scènes vers la fin sont tous bonnement magique sublimer pars des bons doublages
Oui, car autre grande qualité au jeu, celui-ci est entièrement doublé et pars un bon doublage. Je n'ai jamais entendu les personnages principaux ou secondaire jouer faux ou surjouer. Cela permet aussi de sublimer certaines scènes. Je tous de même admettre n'avoir pas fini le jeu, étant rendu au boss final, difficile a cause d'une de ses attaques et étant mort pour revenir a la moitié du donjon final, non merci! En plus, impossible de sauvegarder avant, un gros défaut du jeu, le système des bookmarks qui sont des sauvegardes qui s’efface dès que continue la partie (empêchant de tricher durant un combat, mais extrêmement frustrante a la fin du jeu, car empêchant de sauvegarder devant la porte du boss). Sinon les personnages sont splendides, surtout quand ils meurt avec des paroles a verser des larmes, même avec certains ennemis. Autres défauts, l'impissibilité de sortir du dernier donjon et donc de faire certaine quête secondaire ainsi que l'impossibilité de refaire des batailles.
Bref, c'est au final un excellent jeu passionnant pars son gameplay, son univers, son histoire même si classique ainsi que ses personnages et ce malgré certains défauts.
(Un jour viendra ma critique de Zelda 1)
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Maedhros
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Re: Vos critiques des jeux auxquels vous avez joués
Super Mario 3D world sortis en 2013 sur Wii U est le 17ème épisode de la série des Super Mario Bros (Ne pas compter les donkey kongs et autres série dérivé). Il a été développer durant cette période de la septième et huitième génération où le retro était au summon de sa puissance et les studio de jeux vidéo sortais des jeux en 2D de leur license populaire. Ce qui explique sans doute que plustôt que suivre la voie faites pars Super Mario 64, a suivit la voie faites pars New Super Mario Bros, mais en 3D. En gros des niveau très linéaire (mais moins qu'un crash bandicoot), une map avec les différents niveaux plustôt qu'un up comme le château de Peach. bref pour ceux qui n'ont jamais essayer de Mario 3D de leur vie et ne veulent pas être déboussoler, je ne peux que leur conseiller. Au niveau du gameplay, c'est un très bon jeux, bien maîtriser le gameplay est enrichissant et va souvent nous surprendre, bref tous ce que l'on peut s,attendre d'un Super Mario est là. Il y a d'ailleurs de nouveau objets telle que la super-clochette vous permettant de vous transformer en chat et de grimper sur les murs, la doudle-cerise vous permettant de vous dédoubler ainsi que le casque-canon permettant de tirer des boulet (pas très utile). Nous pouvons aussi trouvez des niveau bonus tranchant avec le reste du jeu, des face de beath-em-all, des fase avec capitaine Toad proposant plus de la réflexion, etc. Excellente idée variant encore plus le gameplay. Gros défaut en mon sens, certains objets que je juge secondaire comme les étoiles vertes(qui remplace les médailles étoiles de New Super Mario Bros) sont essentiel pour finir l'aventure, effectivement deux points demande un certain nombres d'étoiles pour les traverser. Vraiment dommage, mais ce système existe dans les autres Super Mario 3D. Système que je juge chiant, car il nous force a chercher les petits détailles secondaires. Au niveau de l'histoire, bah ne vous attendez vous pas en grand chose, l'histoire n'est qu'un prétexte pour faire l'aventure. D'ailleurs, le jeu offre pour la première fois dans un mario en 3D, un multijoueur vous permettant de faire l'aventure avec soit Mario, Luigi, Peach ou Toad qui disposent chacun de certaines caractéristique (vous pouvez aussi choisir votre personnage en solo). Je regrette aussi autre chose
Bref, Super Mario 3D World reste un très bon jeu et ce malgré certains défauts au niveau du gameplay, ainsi qu'une ambition revue a la baisse comparer aux anciens Super Mario 3D. (Un jour viendra ma critique de Zelda 1)
Modifié en dernier par Maedhros le mer. sept. 19, 2018 3:54 am, modifié 1 fois.
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Re: Vos critiques des jeux auxquels vous avez joués
Sympa ce topic
Alors, je profite du fait que j'ai terminé hier God Of War (2018) pour contribuer.
God of War est un jeu vidéo d'action-aventure développé par SIE Santa Monica Studio et édité par Sony Computer Entertainment, sorti le 20 avril 2018 sur PlayStation 4. Il s'agit du huitième épisode de la série God of War, initiée en 2005 par le jeu homonyme God Of War, sur Playstation 2. Le jeu est pensé comme un renouveau de la série et est basé sur la mythologie nordique, contrairement aux précédents jeux qui étaient basés sur la mythologie grecque.
Bien que le personnage principal soit toujours Kratos, celui-ci est désormais accompagné de son fils Atreus. Le système de jeu a été repensé et présente quelques éléments de jeux de rôle (système de progression et de craft moyennant ressources), ainsi qu'une gestion libre de la caméra. Avant même sa sortie, le jeu est encensé par la critique spécialisée.
Après quelques mois de recul, le jeu est considéré encore aujourd'hui comme le meilleur jeu sorti en 2018, toute plateforme confondue.
Trame-
Après avoir transmis l'espoir aux humains et ayant survécu à son terrible massacre des Dieux de l'Olympe (God Of War 3, sortie sur PS3 en 2010 ), Kratos tente d'oublier son passé et s'exile sur la terre nordique de Midgard, où il fonde une nouvelle famille, vivant à l'écart des Dieux Nordiques. Après le décès de sa bien-aimée Faye, il honore la dernière requête de son épouse, qui est de disperser ses cendres du plus haut pic des Neuf Royaumes aux côtés de leur fils Atreus, mais Kratos souhaite d'abord mettre son fils à l'épreuve lors d'une partie de chasse afin de tester ses capacités et de vérifier si ce dernier est en mesure de contrôler sa rage. L'expérience est un échec et Kratos en vient à considérer que son fils n'est pas prêt pour leur voyage.
Attention, nombreux SPOILER sur le jeu et la franchise
AVIS PERSONNEL (sans spoiler) :
Comme vous pouvez le constater si vous avez lu le spoiler, l'intrigue est très riche et plutôt complexe. Ce faisant, on chemine tout le long du jeu dans un terrain connu. De défis extraordinaire en révélations, on retrouve bien l'ADN de la franchise. Cependant, esthétiquement, tout ici est sublimée, next gen oblige : moyennant un effort extraordinaire des artistes du studio, la patte graphique du titre frise la perfection, celle des paysages et, légèrement en deça pour les protagonistes à taille humaine, les personnages. Et, comme dans les opus précédents les plus récents, God Of War Ascension et God Of War 3, le titre propose également des créatures de taille gigantesque, plus ou moins fidèle aux légendes nordiques. A côté d'eux, certes, les autres ennemis cèdent à une certaine facilité de design. On a en effet des antagonistes monstrueux à taille humaine ressemblant tous à des subtiles variations d'un marcheur blanc décérébré semblant issu d'un Game Of Throne, idem pour des trolls et des sortes de golem de pierre ne variant qu'en puissance et en texture et couleur.
Cet élément pourrait être très gênant si le combat n'était à ce point réussi. Il est en effet bien plus tactique que dans les précédents opus, tout en offrant à force de stuff et de montée en niveau, de très nombreuses possibilités. Le jeu offre plusieurs niveaux de difficultés les plus élevés assurant de tuer le personnage en quelques coups quel que soit la qualité de son équipement, ce qui pousse alors le joueur à s’entrainer et exceller dans les mouvements d'esquives et les combos. Le principe général diffère en effet grandement des premiers God Of War. Au lieu d'avoir une demi douzaine d'armes différentes et de bénéficier de pouvoirs divins spectaculaires - leur absence pouvant certes être vu ici comme un point noir - Kratos ne bénéficie en tout et pour tout que de quatres armes cependant très différentes et toutes pourvues de compétences propres : la hache boomerang Leviathan - une vraie nouveauté et la toute première arme du jeu - ses fameuses lames du chaos (qu'il récupère assez tardivement), un bouclier (pouvant être très efficace à haut niveau mais servant avant tout à parer et/ou contre-attaquer), et ... ses poings. En fait, malgré cette relative pauvreté d'équipement - on ajoute à ça quelques éléments d'armure , des enchantements et des runes boostant plus ou moins les caractéristiques, sans grande originalité mais efficace - le combat est d'une complexité inégalée dans cette franchise et toujours très agréable, pour ne pas dire jouissif.C'est avec les graphiques un des grands atout du jeu, d'autant que les combats, que ce soit à un contre un ou à deux (quand Atreus se bat) contre vingts parfois, sont omniprésents avec un mécanisme classique d’arène - identique à celui des opus qui précédent : lorsque Kratos atteint un lieu à combat, les combattants arrivent et il doit tous les tuer pour pouvoir souffler et progresser ... Une bonne chose, au niveau de la sauvegarde automatique, est que les combats de boss permettent tous de se reprendre à certains checkpoint quand Kratos meurt, assurant donc de ne jamais être bloqué, en tout cas au niveau facile. Là encore, les vieilles recettes de la franchise fonctionnent toujours autant.
Une vraie nouveauté, et donc un atout supplémentaire de cet opus, Kratos est donc accompagné de son fils Lo... Atreus, qu'on découvrira vite et de plus ne plus comme étant tout sauf un élément décoratif ou simplement tactique du jeu puisque toute la trame tourne autour de lui - à se demander si la franchise, excellant à décliner le complexe d'Oedipe et le meurtre du père sous toutes ses formes depuis le début, ne cherche pas là à jouer le jeu de la filiation pour préparer son futur. Au niveau tactique, Atreus est rapidement indispensable : il ne peut pas mourir et n'a donc pas de barre de vie et il dispose d'un arc capable, une fois correctement amélioré, de bien faire baisser celle des adversaires de lui et son père. On joue toujours Kratos par contre, même si de nombreux passages nécessitent l'action d'Atreus pour qu'ils puissent tout deux progresser.
Enfin, un autre atout de la franchise est l'exploration. Dans un mécanisme similaire à celui de nombreux jeux, exemple Tomb Raider, la panel de mouvement de Kratos reste plutôt riche, quoique sans surprise - il ne peut cependant pas sauter (sauf mouvements spéciaux de combat ou d'exploration) ni nager - il conduit régulièrement une sorte de pirogue par contre - , on a ici une petite révolution par rapport au kratos ultra bondissant qu'on gérait auparavant, mais très scripté : à de nombreux points du jeu, un système très simple de QTE permet à Kratos de progresser. Ce système, à défaut d'être sans originalité et de nous enfermer dans une linéarité qui jure avec le monde ouvert qu'on a l'impression de fouler, a l'intérêt de pouvoir assurer un système de parcours, scripté, riche et complexe à la volonté des level designer. Ce point a toujours été un atout de la franchise et c'est transcendé dans cet opus où leur maitrise et leur imagination est totale et au service d'une variation bien venue des obstacles. Grâce à la magnifique variabilité des paysages et des obstacles naturels, on n'a jamais une impression de recommencer sans cesse les mêmes mouvements. Évidemment, lorsqu'on passe de l'escalade d'un montagne à celle d'un géant et de son équipement, ou d'un voyage en canot sur un lac à un voyage en canot à l'intérieur du tube digestif d'un monstre, on se sent agréablement dépaysé. C'est je pense une des grandes réussites de ce jeu, son parcours est décliné suffisamment différemment et dans des endroits souvent extrêmement singuliers, aussi on gagne à la fois l'illusion d'un déplacement "ouvert" et le sentiment d'avoir découvert sans cesse la solution d'une difficile énigme. Bien sûr, à force de jouer, on se rend compte vite qu'à quelques exceptions prêt - quêtes et donc parcours secondaires - ce parcours est extrêmement balisé et que toute progression est impossible sans suivre littéralement le chemin ayant été tracé - moyennant suffisamment de bouton ou manettes cachées, et/ou conditions préliminaires - équipement particulier - pour qu'on ait toujours un challenge à résoudre pour aller de l'avant.
En synthèse, avec un considérable travail d'écriture - on sent fort bien en filigrane qu'il y a quelque chose de très important dans l'éducation que Kratos tente d'inculquer à son fils - et d'ambiance, dans un terrain de légendes nordique nouveau et bienvenue, et un non moins considérable ouvrage sur la splendeur graphique des paysages et des environnements de jeu, enrichi d'un système de combat efficace et prenant, d'une difficulté entièrement réglable et jamais frustrante donc, et d'une richesse de quêtes rares - avec des dizaines d'heures supplémentaires d'exploration enthousiaste possibles après avoir fini le jeu (pour relever des défis de toute sorte, et explorer de nombreux nouveaux lieux dans plusieurs plans d'existence - les fameux neuf royaumes nordiques, ici très intelligemment mis en scène) , jouer à ce God Of War, pour qui aime ce type de jeu d'aventure-exploration, me semble être un must absolu pour tout possesseur de PS4. Une expérience jouissive, même si, o tempora o mores oblige, on a perdu tout le sel coquin de la franchise : oublier ici les galipettes sensuelles et plus ou moins sordides avec de jolies déesses emmarouchées, ou encore les meurtres enragés gratuits - sauf pour ce qui est des ennemis qui veulent la mort de Kratos - le dieu de la guerre est bel et bien redescendu de son piédestal et aspire désormais à la paix et l'harmonie. A moins qu'on ne l'en empêche bien évidemment. Alors, au sein d'un combat des plus dantesques, le plus badass des spartiates réveille sa nature bestiale et se lâche kratosément dans une explosion d'hémoglobine et de viscères des plus classiques pour cette franchise.
Alors, je profite du fait que j'ai terminé hier God Of War (2018) pour contribuer.
God of War est un jeu vidéo d'action-aventure développé par SIE Santa Monica Studio et édité par Sony Computer Entertainment, sorti le 20 avril 2018 sur PlayStation 4. Il s'agit du huitième épisode de la série God of War, initiée en 2005 par le jeu homonyme God Of War, sur Playstation 2. Le jeu est pensé comme un renouveau de la série et est basé sur la mythologie nordique, contrairement aux précédents jeux qui étaient basés sur la mythologie grecque.
Bien que le personnage principal soit toujours Kratos, celui-ci est désormais accompagné de son fils Atreus. Le système de jeu a été repensé et présente quelques éléments de jeux de rôle (système de progression et de craft moyennant ressources), ainsi qu'une gestion libre de la caméra. Avant même sa sortie, le jeu est encensé par la critique spécialisée.
Après quelques mois de recul, le jeu est considéré encore aujourd'hui comme le meilleur jeu sorti en 2018, toute plateforme confondue.
Trame-
Après avoir transmis l'espoir aux humains et ayant survécu à son terrible massacre des Dieux de l'Olympe (God Of War 3, sortie sur PS3 en 2010 ), Kratos tente d'oublier son passé et s'exile sur la terre nordique de Midgard, où il fonde une nouvelle famille, vivant à l'écart des Dieux Nordiques. Après le décès de sa bien-aimée Faye, il honore la dernière requête de son épouse, qui est de disperser ses cendres du plus haut pic des Neuf Royaumes aux côtés de leur fils Atreus, mais Kratos souhaite d'abord mettre son fils à l'épreuve lors d'une partie de chasse afin de tester ses capacités et de vérifier si ce dernier est en mesure de contrôler sa rage. L'expérience est un échec et Kratos en vient à considérer que son fils n'est pas prêt pour leur voyage.
Attention, nombreux SPOILER sur le jeu et la franchise
AVIS PERSONNEL (sans spoiler) :
Comme vous pouvez le constater si vous avez lu le spoiler, l'intrigue est très riche et plutôt complexe. Ce faisant, on chemine tout le long du jeu dans un terrain connu. De défis extraordinaire en révélations, on retrouve bien l'ADN de la franchise. Cependant, esthétiquement, tout ici est sublimée, next gen oblige : moyennant un effort extraordinaire des artistes du studio, la patte graphique du titre frise la perfection, celle des paysages et, légèrement en deça pour les protagonistes à taille humaine, les personnages. Et, comme dans les opus précédents les plus récents, God Of War Ascension et God Of War 3, le titre propose également des créatures de taille gigantesque, plus ou moins fidèle aux légendes nordiques. A côté d'eux, certes, les autres ennemis cèdent à une certaine facilité de design. On a en effet des antagonistes monstrueux à taille humaine ressemblant tous à des subtiles variations d'un marcheur blanc décérébré semblant issu d'un Game Of Throne, idem pour des trolls et des sortes de golem de pierre ne variant qu'en puissance et en texture et couleur.
Cet élément pourrait être très gênant si le combat n'était à ce point réussi. Il est en effet bien plus tactique que dans les précédents opus, tout en offrant à force de stuff et de montée en niveau, de très nombreuses possibilités. Le jeu offre plusieurs niveaux de difficultés les plus élevés assurant de tuer le personnage en quelques coups quel que soit la qualité de son équipement, ce qui pousse alors le joueur à s’entrainer et exceller dans les mouvements d'esquives et les combos. Le principe général diffère en effet grandement des premiers God Of War. Au lieu d'avoir une demi douzaine d'armes différentes et de bénéficier de pouvoirs divins spectaculaires - leur absence pouvant certes être vu ici comme un point noir - Kratos ne bénéficie en tout et pour tout que de quatres armes cependant très différentes et toutes pourvues de compétences propres : la hache boomerang Leviathan - une vraie nouveauté et la toute première arme du jeu - ses fameuses lames du chaos (qu'il récupère assez tardivement), un bouclier (pouvant être très efficace à haut niveau mais servant avant tout à parer et/ou contre-attaquer), et ... ses poings. En fait, malgré cette relative pauvreté d'équipement - on ajoute à ça quelques éléments d'armure , des enchantements et des runes boostant plus ou moins les caractéristiques, sans grande originalité mais efficace - le combat est d'une complexité inégalée dans cette franchise et toujours très agréable, pour ne pas dire jouissif.C'est avec les graphiques un des grands atout du jeu, d'autant que les combats, que ce soit à un contre un ou à deux (quand Atreus se bat) contre vingts parfois, sont omniprésents avec un mécanisme classique d’arène - identique à celui des opus qui précédent : lorsque Kratos atteint un lieu à combat, les combattants arrivent et il doit tous les tuer pour pouvoir souffler et progresser ... Une bonne chose, au niveau de la sauvegarde automatique, est que les combats de boss permettent tous de se reprendre à certains checkpoint quand Kratos meurt, assurant donc de ne jamais être bloqué, en tout cas au niveau facile. Là encore, les vieilles recettes de la franchise fonctionnent toujours autant.
Une vraie nouveauté, et donc un atout supplémentaire de cet opus, Kratos est donc accompagné de son fils Lo... Atreus, qu'on découvrira vite et de plus ne plus comme étant tout sauf un élément décoratif ou simplement tactique du jeu puisque toute la trame tourne autour de lui - à se demander si la franchise, excellant à décliner le complexe d'Oedipe et le meurtre du père sous toutes ses formes depuis le début, ne cherche pas là à jouer le jeu de la filiation pour préparer son futur. Au niveau tactique, Atreus est rapidement indispensable : il ne peut pas mourir et n'a donc pas de barre de vie et il dispose d'un arc capable, une fois correctement amélioré, de bien faire baisser celle des adversaires de lui et son père. On joue toujours Kratos par contre, même si de nombreux passages nécessitent l'action d'Atreus pour qu'ils puissent tout deux progresser.
Enfin, un autre atout de la franchise est l'exploration. Dans un mécanisme similaire à celui de nombreux jeux, exemple Tomb Raider, la panel de mouvement de Kratos reste plutôt riche, quoique sans surprise - il ne peut cependant pas sauter (sauf mouvements spéciaux de combat ou d'exploration) ni nager - il conduit régulièrement une sorte de pirogue par contre - , on a ici une petite révolution par rapport au kratos ultra bondissant qu'on gérait auparavant, mais très scripté : à de nombreux points du jeu, un système très simple de QTE permet à Kratos de progresser. Ce système, à défaut d'être sans originalité et de nous enfermer dans une linéarité qui jure avec le monde ouvert qu'on a l'impression de fouler, a l'intérêt de pouvoir assurer un système de parcours, scripté, riche et complexe à la volonté des level designer. Ce point a toujours été un atout de la franchise et c'est transcendé dans cet opus où leur maitrise et leur imagination est totale et au service d'une variation bien venue des obstacles. Grâce à la magnifique variabilité des paysages et des obstacles naturels, on n'a jamais une impression de recommencer sans cesse les mêmes mouvements. Évidemment, lorsqu'on passe de l'escalade d'un montagne à celle d'un géant et de son équipement, ou d'un voyage en canot sur un lac à un voyage en canot à l'intérieur du tube digestif d'un monstre, on se sent agréablement dépaysé. C'est je pense une des grandes réussites de ce jeu, son parcours est décliné suffisamment différemment et dans des endroits souvent extrêmement singuliers, aussi on gagne à la fois l'illusion d'un déplacement "ouvert" et le sentiment d'avoir découvert sans cesse la solution d'une difficile énigme. Bien sûr, à force de jouer, on se rend compte vite qu'à quelques exceptions prêt - quêtes et donc parcours secondaires - ce parcours est extrêmement balisé et que toute progression est impossible sans suivre littéralement le chemin ayant été tracé - moyennant suffisamment de bouton ou manettes cachées, et/ou conditions préliminaires - équipement particulier - pour qu'on ait toujours un challenge à résoudre pour aller de l'avant.
En synthèse, avec un considérable travail d'écriture - on sent fort bien en filigrane qu'il y a quelque chose de très important dans l'éducation que Kratos tente d'inculquer à son fils - et d'ambiance, dans un terrain de légendes nordique nouveau et bienvenue, et un non moins considérable ouvrage sur la splendeur graphique des paysages et des environnements de jeu, enrichi d'un système de combat efficace et prenant, d'une difficulté entièrement réglable et jamais frustrante donc, et d'une richesse de quêtes rares - avec des dizaines d'heures supplémentaires d'exploration enthousiaste possibles après avoir fini le jeu (pour relever des défis de toute sorte, et explorer de nombreux nouveaux lieux dans plusieurs plans d'existence - les fameux neuf royaumes nordiques, ici très intelligemment mis en scène) , jouer à ce God Of War, pour qui aime ce type de jeu d'aventure-exploration, me semble être un must absolu pour tout possesseur de PS4. Une expérience jouissive, même si, o tempora o mores oblige, on a perdu tout le sel coquin de la franchise : oublier ici les galipettes sensuelles et plus ou moins sordides avec de jolies déesses emmarouchées, ou encore les meurtres enragés gratuits - sauf pour ce qui est des ennemis qui veulent la mort de Kratos - le dieu de la guerre est bel et bien redescendu de son piédestal et aspire désormais à la paix et l'harmonie. A moins qu'on ne l'en empêche bien évidemment. Alors, au sein d'un combat des plus dantesques, le plus badass des spartiates réveille sa nature bestiale et se lâche kratosément dans une explosion d'hémoglobine et de viscères des plus classiques pour cette franchise.
Garçon.
"N'avez-vous donc point d'espoir ?" dit Finrod.
"Qu'est-ce que l'espoir ?" dit-elle. "Une attente du bien, qui, bien qu'incertaine, se fonde sur ce qui est connu ? Alors nous n'en avons pas."
"C'est là une chose que les Hommes appellent 'espoir'... "Amdir l'appelons-nous, 'expectation'. Mais il y a autre chose de plus profond. Estel l'appelons-nous.
"N'avez-vous donc point d'espoir ?" dit Finrod.
"Qu'est-ce que l'espoir ?" dit-elle. "Une attente du bien, qui, bien qu'incertaine, se fonde sur ce qui est connu ? Alors nous n'en avons pas."
"C'est là une chose que les Hommes appellent 'espoir'... "Amdir l'appelons-nous, 'expectation'. Mais il y a autre chose de plus profond. Estel l'appelons-nous.
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