JDR - Cthulhu - Partie commune (Abandonnée)

[Wytélia]

(En fait au début je croyais qu'on était à la BU, à l'intérieur de l'université, pas à la bibli d'un musée ^^'')

[itikar]

En fait, la bibliothèque se trouve dans le musée, car elle est commune aux visiteurs du MFA et aux étudiants de l'école du MFA qui se trouve dans une aile sur la droite.

Vous êtes toutes les trois en train de discuter en haut des marches du MFA, désormais fermé. Vous faites quoi ? (vou pouvez discuter entre vous bien sûr)

[Aeriale]

A la question de Redeye, je réponds :

Eh bien, je pense qu'il serait judicieux de se procurer l'emploi du temps des premières années afin de connaître les derniers cours auxquels Ruth a assisté ainsi que les derniers lieux et professeurs qu'elle a fréquenté. Il faudrait aussi enquêter auprès de ses camarades de classe pour savoir si elle s'était confiée sur quelque chose de particulier ou si son comportement avait changé ces derniers temps. Bien sûr, il faudrait aussi se rendre à son domicile, poser des questions à ses proches. Mais vu l'heure tardive, tout ceci ne sera faisable que demain. Qu'en pensez-vous ?

[Wytélia]

-Bon eh bien je pense que je peux apporter mon aide, je ne suis pas professeur d'arts mais certains de mes élèves connaissent peut être cette Ruth. Quand à son domicile, elle vivait en ville ou aux dortoirs ?

[itikar]

La pluie se calme légèrement. Vous vous dites que vous pouvez soit attendre encore un petit peu sous le porche qu'elle s'arrêtte tout à fait tout en continuant à discuter, ce qui en absence ou de vêtements adéquats de parapluie sauverait probablement vos toilettes d'une douche mortelle, soit parier sur le fait que l'orage redoublera d'ici quelques minutes, vous laissant à peine le temps de reprendre les transports avant si vous partez maintenant.
Le musée semble totalement vide à présent ... bien que vous n'ignoriez pas la rumeur populaire qui tient que la nuit, il est envahi de sdf plus ou moins recommandables qui se seraient cachés au moment de la fermeture au nez et à la barbe des quelques gardiens de nuit. Les incidents y seraient monnaie courante.

[Dark Hal]

"- Voilà d'excellentes questions, Mesdemoiselles, dis-je, il est vrai qu'à cette heure tardive, nous puissions rien faire, mais je me demandais si nous pourrions trouver des étudiants flânant dans des bars, des restaurants...Si vous le souhaitez, nous nous retrouvons demain après-midi vers 15h, afin que l'on fasse un briefing. Nous devrons chercher des informations chacun de notre coté, je commencerai sans doute ce soir, même si ce sera comme cherche une aiguille dans une botte de foie..."

Je n'avais aucune raison de rester plus longtemps avec elle, surtout qu'elles ne semblaient pas très prêtes à parcourir la ville, si tard le soir. J'aimai bien la nuit, j'étais à mon aise, je pouvais me confondre avec les ombres et le brouillard sans qu'on sache si j'étais une femme, un homme ou un gamin des rues.

[Wytélia]

-Je vois, Temari habitez-vous loin d'ici ? L'averse semble se calmer mais en plein novembre il y a des chances qu'elle se poursuive toute la nuit. Je puis vous héberger si vous vivez trop loin.

En vérité je ne suis pas rassurée par ce temps et les rumeurs selon lesquels des dissidents arpenteraient les alentours la nuit, et il commence à se faire tard. Certes en tant qu'astronome je travaille la nuit mais je sors toujours entourée de collègues jusqu'au tramway le soir. De plus à cette heure-ci les horaires des bus ont tendance à se resserrer. Je peine à cacher mon impatience à m'en aller en rajustant ma capuche sur ma tête.

[Aeriale]

Je vous remercie pour votre proposition mais j'habite sur la Huntington Avenue, donc tout près d'ici. Mon logement est largement accessible à pieds. Restons-en là pour aujourd'hui, je commence aussi à somnoler et j'aurai certainement les idées plus claires demain.

Puis me tournant vers Redeye :

C'est d'accord pour le rendez-vous demain à 15h, une chance que mes horaires soient modulables. A quel endroit souhaitez-vous que l'on se retrouve ?

[Dark Hal]

"- Pour ne pas compliquer encore plus les choses, ici même, 15h, nous connaissons toutes les trois l'endroit, donc aucun risque que l'une d'entre nous se perde pour je ne sais quel raison, répondis-je, nous éviterons ainsi de perdre du temps."

[Wytélia]

-Bien. Alors à demain 15h.

Il est temps d'affronter à nouveau la flotte jusqu'à la station de bus. Je m'élance alors à une vitesse raisonnable hors du porche en faisant attention aux marches et une fois sur une surface bien plate je m'élance sous la pluie moins drue. Et c'est là que je m'aperçois que je venais de m'engager sérieusement pour quelque chose alors que j'étais sur le point de révolutionner le monde de l'astronomie avec mes recherches. Néanmoins, si c'eut été moi une des victimes enlevées, je serai bien contente de savoir que l'on me recherche. En tant que femme et surtout en tant que citoyenne je ne pouvais rester plus longtemps les bras ballants sur cette situation, aujourd'hui c'était cette Ruth, demain ça pourrait être une de mes éleves.

[Dark Hal]

"- Au revoir, Miss Thorn. Miss Chansarel, je vous dis aussi à demain. Que la nuit vous porte conseil."

Je la quittais elle aussi, m'éloignant de ce musée. Je suivis la même route que celle qui m'avait mené jusqu'ici et qu'importe la pluie et les bruits d'une nuit funeste et orageuse, j'étais prête à affronter les dangers, quitte à utiliser tous les moyens nécessaires pour parvenir à mes fins.

Déjà mes deux nouvelles partenaires me paraissaient forts sympathiques. Mais avaient-elles assez de courages et de volontés pour poursuivre cette mystérieuse enquête, seront-elles aussi intelligentes et perspicaces pour découvrir efficacement les secrets de cette affaire ?

Même si j'aurai aimé travailler seule, le fait qu'elles m'accompagnent me permettra de me fondre encore mieux dans la foule qu'est ce monde normal que je fuis depuis quelques temps. Peut-être vais-je découvrir ce qu'est une personne normale avec des habitudes normaux et des relations normaux...décidément c'était tellement loin...cette vie.

(HS: désolé, je me suis littéralement lachée là )

[itikar]

En plein jour, en ce mercredi 9 novembre 1920 15H, le MFA grouille d'une activité qu'il n'avait pas la veille au soir vers 21H.
C'est même tout le contraire.

La cour devant le musée grouille d'un manège ininterrompu, telle une sorte de flot inextinguible d'individus divers, de tout sexe, de toute nationalité, de toute obédience, de tout âge et de tout rang social. Tous habillés chaudement pour pouvoir affronter les 2 petits degrés qu'affiche le thermomètre.
A la pelle, arborant toutes couleurs de vêtements, des étudiants, des étudiantes, dont l'âge oscillerait entre seize et presque trente ans. Des professeurs un peu plus âgés, ou nettement plus, forment le deuxième peloton le plus présent dans ce ballet incessant d'aller et venues vers ou depuis le musée, voir du musée vers le musée, car en général debout en grappes de camarades sur chacune des longues marches de l'escalier menant au MFA et à sa grande bibliothèque - laquelle draine pas loin de la moitié des visiteurs à cette heure - un grand nombre de visiteurs et d'habitués profitant de ce clair après-midi ensoleillé d'hiver pour deviser plus ou moins gaiement de milles et un sujets.

En bas, dans la cour, la foule, car c'en est une, est si dense que les quelques voitures circulent au ralenti, allégrement dépassées par les bicyclettes, et les grands bis. On trouve même des chevaux, avec cavaliers ou tirant quelques calèches harnachées.
Il n'y manquerait qu'un dirigeable, pour nommer un de ses curieux engins en plein essor commercial depuis quelques mois dont tout le monde parle car faisant déjà rêver bien des citadins américains !

Les grandes portes laissent passer des files d'individus et ce dans les deux sens, et si un ou plusieurs policiers ont été mandés pour contrôler tout ce beau monde, vous pouvez vous dire qu'ils s'en acquittent alors avec une célérité extraordinaire. Ce qui laisse plutôt supposer que le musée est sans surveillance, ou que celle-ci est des plus discrètes.

Bref, un mercredi normal sommes toutes, tout aussi fou et chaotique que d'habitude ici, en ce haut temple dédié aux arts, aux études, et au badinage banal.

C'est dans cette cohue que après quelques essais infructueux, vous finissez par vous retrouver toutes trois, en haut des marches, comme prévu la veille, à 15H pile passées de quelques minutes. Le musée derrière vous, et tout cet écosystème sociologique à vos pieds.


La même chose, mais sans la foule - une photo datant de 1910 à 1920, sans doute très tôt un matin avant l'ouverture.
La bibliothèque est dans le renfoncement extérieur au milieu enbtre les deux colonnades, et l'école dans l'aile toute à droite.
On voit devant les rails du tramway.

[Wytélia]

(J'ai passé la matinée à la bibliothèque et interroger certains élèves dont j'ai la charge sur Ruth, est-ce que j'ai trouvé quelque chose de neuf ?)

[Dark Hal]

(tiens pareil pour moi, avons réussi à obtenir des infos ? )

HS vraiment HS : Si vous voulez connaître mon passé, vous n'avez qu'à aller voir ma fiche, ça me gêne pas, j'ai vu que vous avez votre petite histoire, mais je dois dire que j'ai été trop gourmande pour la mienne, en plus j'ai pas terminé...

[itikar]

Vos interrogations n'ont rien donné de particulièrement précis durant la matinée. Ruth n'était sans doute pas très connu des élèves que vous avez sollicité un peu au pif dans la bibliothèque. Au mieux, certains des étudiants ont admis avoir entendu dire qu'elle avait disparu récemment et que tout le monde la recherchait.
De plus, Elisabeth, tes élèves d'astronomie ne fréquentent pas particulièrement le "museum of fine art", plutôt fréquenté par les étudiants en arts. J'imagine que tu les as interrogé pendant tes cours du matin. Si oui, ils t'ont dit eux-mêmes que aucun n'a dit avoir parmi ses connaissances cette Ruth Hall.

[Aeriale]

Arrivée au lieu de rendez-vous, je ne tarde pas à retrouver Elisabeth et Redeye que je reconnais immédiatement malgré la foule.

Bonjour et ravie de vous revoir bien que ce soit dans de tristes circonstances. Je ne sais pas si vous avez du nouveau, j'ai pensé qu'il serait peut-être judicieux d'aller demander au directeur du MFA qu'il nous arrange une entrevue avec le dernier professeur qui a vu Ruth dans cette école ?

Quant à moi, j'ai laissé un mot à mon supérieur pour lui dire que l'élève avec laquelle il m'avait arrangé un rendez-vous avait disparu. Je ne sais pas encore s'il possède des informations qui pourraient nous intéresser.

HRP

HS vraiment HS : Si vous voulez connaître mon passé, vous n'avez qu'à aller voir ma fiche, ça me gêne pas, j'ai vu que vous avez votre petite histoire, mais je dois dire que j'ai été trop gourmande pour la mienne, en plus j'ai pas terminé...

(Ok je vais aller lire le passé de Redeye dans ton topic dédié ^^).

[Dark Hal]

"- J'ai moi-même fait chou blanc, marmonnai-je après les avoir salué, Ruth Hall semblait être aussi discrète qu'une petite souris...Je suis assez surprise que nous ayons pas encore entendu un membre de sa famille s'inquiéter pour elle. N'avait-elle pas d'amis ?"
Ce n'était pas une question mais plus une réplique qui exprimait mon énervement. Je détestai me retrouver dans une impasse. On avance pas du tout dans cette affaire. Non mais sérieux, il s'attendait à quoi ce fichu détective ? Il nous laisse en plan comme ça, comme si nous allions trouver nous même la solution à son problème, il aurait pu faire un minimum de recherches concernant cette Ruth Hall...En même temps, je me moque un peu, car après tout, ce n'est qu'un homme...peut-être veut-il nous donner les affaires les plus difficiles qui demandent plus de travail...de terrains.

HS : Désolé, mais je me défoule

[Wytélia]

-Je n'ai rien trouvé non plus, il est admis que les scientifiques fréquentent peu les artistes , j'en ai eu confirmation ce matin. Si elle avait des amis, ils ne faisaient manifestement pas partis du cercle des scientifiques. Comme tu l'avais suggérer, chercher du côté de son ou ses professeurs d'arts serait une idée.

[itikar]

Pour information, je vous laisse discuter pour le moment afin que vous vous mettiez d'accord - à priori - puisque je ne me dois d'intervenir que lorsque vous m'aurez dit ce que concrêtement vous faites, ensembles, ou séparément. Ou pour vous décrire votre environnement proche et ce qu'il s'y passe, comme ici.

Plusieurs minutes se sont déroulées pendant votre début de discussion. Rien de notable ne se passe de particulier, à part les allers et venues des visiteurs et résidents depuis et vers le MFA et ses allées. Personne ne semble faire attention en particulier à vous. Vous ne formez ici après tout qu'un groupe parmi d'autres de jeunes femmes en train de discuter .

[itikar]

Soudain ! Au milieu de votre discussion, vous voyez une énorme crevasse qui commence à se former à partir de l'arrêt du tramway. Elle fait d'abord, en un horrible craquement de bitume, peut-être cinquante centimètres de largeur, ce qui suffit à terroriser toutes les personnes présentes à proximité de là, mais rapidement, comme si un volcan se réveillait à cet instant précisément sous le MFA et ses environs, la crevasse enfle, en projetant des blocs de bétons de toute part et en mettant en difficulté un tramway qui venait totu juste de quitter la station. En moins de dix secondes, alors que vous êtes encore toutes trois, comme tout le monde ici, bouche bée d'incompréhension et d'horreur, la crevasse initiale fait désormais une largeur de trois ou quatre mètres, engloutissant une partie du tramway, et un énorme bubon vibrant commence à en sortir.
Cette créature, car c'en est une, semble être une sorte de cuirasse insectoïde ou vermiforme géante en mouvement du bas vers le haut, démolissant tout sur son passage ...

Elle se dresse bientôt face à vous, et vous voyez le haut de son cou titanesque dominer bientôt le haut du MFA de plusieurs dizaines de mètres de haut.

Une bonne moitié de son corps est désormais visible, dans un mouvement perçant des plus rapides vers vous.

Entre deux spasmes de terreur, vous estimez sa taille à plusieurs centaines de mètres de long, si toutefois son corps vermiforme dont vous ne voyez se dresser que l'extrémité supérieure, continue de même sous la surface de la terre.

C'est une sorte de ver de terre géant, dont le rugissement se confond presque avec les bruits horribles que son arrivée a produit : défoncement de la route, tordage des rails du tramway, et le bruit que peut faire un tramlway coupé en deux à sa moitié par une telle aberration monstrueuse de la nature. ET bien sûr le son simultané de plusieurs centaine sde gosiers hurlant de terreur, ou de douleur pour tout ceux ayant eu la malchance d'être victime de sa masse impitoyable.
Vous avez le sentiment immédiat d'être moins que la moindre des plus minuscules des fourmis de cette planète, face à cette chose terrible et implacable.

Vous tombez littéralement folles en un instant, incapable de faire autre chose que d'écarquiller vos yeux, ouvrir vos bouches complètement béées devant ce spectacle impossible, voire vomir votre repas de midi sur vos vêtements, tout en pleurant dans un mouvement réflexe toutes les larmes de vos corps. Bien sûr, la plupart des étudiants proches de vous sont dans des états comparables. A part quelques uns qui ont trouvé la force dieu sait où de partir en courant à perdre haleine aussi vite que si leur vie en dépendait. Bien sûr, c'est le cas.

Vous ne pouvez bouger, quant à vous, totalement paralysées d'horreur et de folie.

Vous parvenez à peine à réfléchir en ce moment précis. Vous n'avez aucune idée de ce qu'est ce monstre venu tout droit du fond des temps ... et en tout cas du fond souterrain des entrailles de la Terre, ni de la raison singulière qui a voulu faire qu'il se pointe ainsi, aujourd'hui, à cette heure, depuis sous vos pieds, pour visiblement rien d'autres que foncer droit devant lui, c'est-à_dire droit sur vous.

Hélas, vous ne pouvez pas bouger d'un iota, et la masse extraordinaire de cette dégénérescence rampante est presque sur vous, à deux doigts de vous écrabouiller de son poids et de sa toute puissance.

Vous mourrez dans d'atroces souffrances sur le sillage du grand Cthonien qui a choisi ce jour pour imposer sa loi sur Terre.
Avant de crever, un rapide coup d'oeil dans votre agonie vous permet de voir pas très loin de son copain une gigantesque créature divine de deux cent mètres de haut semblant n'avoir pour tête qu'un tronc cou deux fois plus haut que le reste de son corps. Il dévaste des buildings tranquilement en marchant.



Visiblement, les grands Anciens sont de sortie aujourd'hui



Veuillez noter que ce post est bien évidemment un poisson d'avril, mesdemoiselles
N'en prenez donc pas compte dans l'aventure.
Vous n'en êtes pas là, rassurez-vous, la route n'a pas été défoncé par un cthonien ... pas encore du moins

[Dark Hal]

Aeriale, Wytélia, donnons à itikar le châtiment qu'il mérite...non mais, manipulez ainsi trois femmes

HS : Je plaisante, joyeuse premier avril Heureusement que je commence toujours par la fin quand je vois un message aussi long Ben oui, j'ai pas lu du tout le début

[Aeriale]

(HRP : Itikar ! T'es flippant, on s'y croirait.
Je comprends maintenant pourquoi Nurze t'inclues dans la liste de ceux qui lui font peur.

Bon, reprenons...)

Devant le peu d'informations recueillies depuis la veille, j'imagine que nous n'avons d'autre choix que d'accélérer les choses en allant les chercher nous-même.

Ce qui est pratique par rapport à hier, c'est que le MFA n'est pas sur le point de fermer. Peut-être même qu'à cette heure-ci, une partie des professeurs est en pause, c'est le moment opportun pour aller leur poser quelques questions. Etant donné que je suis une ancienne élève, ils seront peut-être plus disposés à parler. Dans le cas inverse, le badge d'inspecteur de Miss Redeye leur rappelera qu'ils n'ont pas le choix.

J'attends de voir si Redeye et Elisabeth sont partantes pour me suivre en direction du MFA.

[Wytélia]

(De toute façon dans Cthulhu la meilleure façon de pas devenir fou c'est encore de ne pas faire de découvertes et donc de ne rien faire ^^)

J'écoute Temari avec attention en hochant la tête.

-C'est à croire que vous lisez mes pensées.

*Ce qui n'est pas si faux compte tenu que tout ce que je pense est consigné par écrit et que donc mes partenaires ont le loisir de les lire ces lignes... mais je brise le 4ème mur, reprenons.*

-Néanmoins je vous suggère de dégainer votre badge en cas d'impasse, les jeunes de cet âge sont assez méprisant envers l'autorité et pourraient se sentir agressés. Après vous faites ce que vous voulez.

[Dark Hal]

"- Je préfère montrer mon badge au cas où nous verrions un doute et une crainte sur le visage d'un étudiant, mais pas question de m'afficher, je ne veux pas que tout l'université soit au courant de ma fonction."

[Dark Hal]

Ne pouvant rester une minute de plus, sur place, j'exprimais mon impatience tout en serrant les dents :
"- Ce serait bien qu'on agisse au plus vite, c'est très bien d'échanger nos avis mais nous devons passer à l'action immédiatement sinon nous manquerons une occasion...Si vous n'en voyez pas l'inconvénient, partons de suite."

Je m'apprêtai alors à entrer dans le MFA.

[itikar]

Vous entrez dans le bâtiment, non sans vous frayez un passage dans la foule qui en entre et en sort en remuant des épaules. L'activité à l'intérieur est similaire à celle que vous avez cotoyé à l'extérieur. Vous comprenez tout de suite que même à trois, vous seriez incapable de sonder tout le monde.
Devant vous, un homme laisse la place à tout ceux qui disposent d'un billet ou d'un badge, hormis ceux et celles dont il reconnait l'appartenance à la structure qui l'emploie.
A votre droite, vous reconnaissez derrière son guichet la femme à qui il faut acheter un billet ou montrer une carte d'étudiant pour pouvoir pénétrer plus avant dans le musée.
Néanmoins, à sa droite, l'accès à la bibliothèque est bien sûr gratuite, et elle regarde à peine les gens qui y vont.

A vous de me dire ce que vous souhaitez faire comme action.

[Wytélia]

(.... quoi?)

[Dark Hal]

ben pour la part je me dirigerai vers la bibliotheque

[Wytélia]

(non mais j'ai pas compris, c'est le bâtiment d'arts ? Et si c'est le cas, c'est quoi l'accés restreint nécessitant des billets ?)

[itikar]

Le MFA - Museum of Fine Arts - est d accès payants par entrée ou par abonnement. Les entrées sont comptabilisées au guichet où en montrant un justificatif ou une carte de abonnement on se fait délivré un billet. Il faut montrer ce billet à l ouvreur pour pouvoir entrer dans le musée à moins que l ouvreur ne vous reconnaisse et ne vous laisse entrer directement par habitude.

Il y a d d'ailleurs une longue file d attente au guichet et une un peu moins longue devant l ouvreur qui en gros faut entrer une personne à chaque fois qu une sorte du musée ceci afin d éviter qu il y ait trop de monde dans les galeries. Les abonnés et les VIP reçoivent cependant un traitement de faveur et entrent directement souvent en coupant les deux files.

Quant à l école elle-même il faut y entrer en contournant le musée sur la droite jusqu à l entrée. Celle ci est interdite aux gens extérieurs à l établissement sauf circonstances particulières en etant accompagné d un vip mais elle n a pas de gardien en temps normal.
Les VIP de l établissement ont leur bureau au deuxième étage du MFA dans une aire fermée au public.