Final Fantasy VI

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Final Fantasy VI : 20 ans plus tard, que retenir du jeu culte de Square

Le 2 avril 1994 sortait, au Japon, le dernier Final Fantasy 16 bits. Le dernier numéroté sur une console de salon de Nintendo. Un monument qui a été éclipsé par la sortie de son successeur en 1997, mais dont on se rappellera encore pour longtemps. La preuve, alors que l'on fête son vingtième anniversaire aujourd'hui même, le souvenir de ses héros, de ses séquences les plus poignantes, de ses musiques, de ses combats et des balades aériennes sur son monde dévasté restent vivaces.

Ce volet d'une densité incroyable et composé en un temps record, grâce à un travail collectif inouï, a laissé des traces dans les coeurs mais aussi dans la série, à laquelle il a donné une nouvelle orientation. Pourquoi ? Comment ? C'est ce que nous allons tenter de vous expliquer à travers ce dossier - à haute teneur en spoilers - qui ne saurait à aucun moment rendre un hommage suffisant à Final Fantasy VI, le seul, l'unique.

[Somewhere]

Un Final Fantasy rare et historique

Pour nous, européens, Final Fantasy VI est longtemps resté un mythe, une chimère. La faute à une époque pas formidable du tout. A sa sortie, le 2 avril 1994 sur Super Famicom, le Vieux Continent n'est pas encore considéré comme très accueillant pour le jeu de rôle nippon. Et puis, c'est bien connu : les localisations prennent un temps dingue. Sans oublier que la Saturn et la PlayStation s'apprêtent à faire oublier les consoles 16 bits. Bref, ce n'est pas le moment.

Sauf que les Etats-Unis vont y avoir droit, à cette version en anglais. Et très vite, en plus. Le 20 octobre 1994, grâce au travail de traduction, en trente jours, du seul Ted Woolsey - et quelques ajustements visant à ne pas choquer un public américain très puritain. Mais sous un titre qui va prêter à confusion : Final Fantasy III.

La politique de Square en matière d'exportation de la franchise reste un modèle de bizarrerie. Après le premier volet sur NES, le territoire américain n'a pas connu les deuxième et troisième épisodes. Du coup, le quatrième, sur Super NES, a été rebaptisé Final Fantasy II. Le suivant étant resté à la maison, Final Fantasy VI devient le numéro trois. Que, du coup, les européens "au courant" et ne parlant pas la langue de Mishima pourront se procurer en import, à prix d'or. En rencontrant des soucis liés à une atroce non-compatibilité avec les consoles PAL (menus invisibles, séquence de fin coupée). La poisse.

Le titre sera réédité en 1999 sur PlaySation, sous sa véritable appellation, aux côtés des deux précédents opus, dans la compilation Final Fantasy Collection au Japon et avec FF V aux Etats-Unis, dans le boîtier de Final Fantasy Anthology. On y découvre des séquences d'introduction et de fin en images de synthèse. Malgré des temps de chargement un peu aberrants, le bonheur est réel . Sauf que, une fois encore, l'Europe est lésée.

Il faudra attendre le mois de mars 2002 pour voir, dans nos contrées, sur la première machine de Sony, en solo mais accompagné d'une démo de Final Fantasy X (oui, le jeu PS2 qui sortira en mai 2002), une version officielle de Final Fantasy VI. Tout en anglais.

Cinq ans plus tard, c'est l'adaptation Game Boy Advance, édition ultime - quoique moins bien pourvue sur le plan sonore - qui bénéficie d'une traduction plus fidèle aux textes japonais et rajoute un donjon complet ainsi que quelques autres friandises... Dernière bonne nouvelle : on peut y jouer intégralement en Français ! Autant dire qu'il n'y a plus d'excuse. Si l'on occulte le fait qu'il est difficilement trouvable.



Pas de panique cependant : y accéder aujourd'hui est tout à fait possible. Sorti il y a peu dans une version largement remaniée visuellement (NDLR : et pas toujours pour le meilleur) sur iOS et Android (et reprenant les traductions GBA), Final Fantasy VI est toujours disponible sur console virtuelle de la Wii et PSN depuis 2011.

Écoulé à plus de 3 millions d'exemplaires à travers le monde, ayant joui de critiques dithyrambiques, il est l'épisode qui tente, qui ose et qui, pour beaucoup, a procuré des émotions inimaginables lorsque l'on sait que tout s'est fait par le biais de simples sprites et de musiques MIDI. Une oeuvre qui semble plus discrète que Final Fantasy VII dans l'Histoire du jeu vidéo mais qui porte déjà en elle, en 1994, des éléments qui sont aujourd'hui considérés comme acquis. Dont on se souvient plus pour sa narration et sa mise en scène que son gameplay pur de RPG. Et avant d'avancer dans ce dossier, demandons-nous encore (même si l'on sait que non), si la première démo technique de Square d'un combat en 3D sur Nintendo 64 n'aurait pas pu déboucher sur une adaptation ou une suite. Le droit de rêver, un peu...



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[Chernabog]

J'ai fait la version GBA (hélas scandaleusement rare de nos jours...), un pur chef d'oeuvre vidéoludique !!

Le scénario est d'une richesse incroyable, même par rapport à aujourd'hui, avec une galerie de personnages tous plus charismatiques les uns que les autres, un méchant d'anthologie, une bande-son absolument légendaire (qui n'a pas versé sa petite larme en écoutant le divin thème de Terra/Tina) couplée à un gameplay tellement maitrisé qu'il demanderait peu de remaniement dans le cas d'une remise à jour (pas forcément utile, hormis pour la qualité du son et les graphismes, le jeu est déjà énorme en lui-même !).


Une perle vidéoludique, tout bonnement, rien de plus à ajouter.

[egrim]

J'ai fait la version super nes
n des meilleurs rpg auquel je n'ai jamais joué

[Somewhere]

J'aimerai bien me le procurer aussi, je pars à sa recherche, mais ouai, c'est un des meilleurs jeux de l'histoire du JV celui-là.

[Somewhere]

Un développement rapide et collégial

Il a fallu à peine un an pour que cet épisode voie le jour. Le développement a en effet débuté juste après le lancement de Final Fantasy V, à la fin de l'année 1992. Une information que Yoshinori Kitase (à gauche), en charge de la franchise aujourd'hui, avait confirmé durant l'été 2013 à nos confrères d'Edge, mais qui n'est pas la plus surprenante.

Si on citera toujours Final Fantasy VII comme la grande rupture de la série, le vrai bouleversement a bel et bien débuté avec le sixième.



Yoshinori Kitase et Hiroyuki Ito.

D'abord parce qu'il s'agit du premier épisode qui n'est pas réalisé par Hironobu Sakaguchi. Le père de la série, promu vice-président de Square et impliqué dans d'autres projets à ce moment, garde un rôle de producteur et propose les bases de l'histoire. Mais il passe le témoin, non sans continuer à valider chacune des étapes du projet, à Hiroyuki Ito (à droite), qui s'affaire sur les combats et le design général, ainsi qu'à Kitase, qui va se concentrer sur la cohérence narrative.

Si leur association fait d'eux les réalisateurs attitrés, Kitase décrit un processus beaucoup plus ample, plus participatif. Parmi les forces vives du jeu, certaines se sont énormément impliquées en proposant quelque chose qui permettra de donner vie aux 14 protagonistes permanents auxquels tout joueur devait s'attacher grâce au travail sur le background et la possibilité de bâtir ses propres groupes.

Locke et Terra ont subi l'influence de Sakaguchi. Les histoires de Shadow et Setzer ont été proposées par Tetsuya Nomura, et Kaori Tanaka a suggéré celles d'Edgar et Sabin. Pour ma part, je me suis attardé sur Celes et Gau.

Pour rappel, Nomura est chargé d'adapter les esquisses du character designer Yoshitaka Amano à un rendu plus raisonnable pour un jeu 16 bits. Il prendra la place du maître, contributeur historique de la série, grâce à son style plus manga à partir de Final Fantasy VII. Quant à Kaori Tanaka, elle oeuvrera plus tard sur la patte artistique d'un certain Xenogears... Qui présentera subrepticement deux frères dont les prénoms sont Rene et Roni.



Les versions SD signées Tetsuya Nomura.

Profitant du savoir-faire technique de ses équipes, le titre figure comme un des plus beaux d'une Super Nintendo en fin de vie et sortira en temps et en heure. Une fois encore, on retrouve Nobuo Uematsu aux musiques, pour sa partition culte...

Même si le développement s'est bien déroulé, le jeu conserve quelques bugs passés au travers des mailles du filet de la phase de debug. Et non sans s'avérer décevant, pour ses créateurs, quant au rendu de la carte en Mode 7 (créant une sensation de carte du monde en 3D).

Quelques années plus tard, toujours dirigé par Kitase, Final Fantasy VII reprendra les dogmes de son prédécesseur, profitant cette fois des capacités de la PlayStation pour la 3D et d'une exposition mondiale.

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Un univers et des scènes cultes

Vous aviez l'habitude de débuter orphelin dans un village éloigné en passe de réaliser une prophétie, d'incarner un chevalier à la recherche de cristaux légendaires, d'admirer un bateau volant comme la pointe de la technologie. Ce volet va dérouter les habitués de la série.

Vous voilà dans une armure géante, arrivant dans une ville qui semble en pleine révolution industrielle. Par la suite, un château mécanique, des bâtiments d'acier, des chemins de fer, des campements militaires modernes et même des outils de surveillance vont se dresser : Final Fantasy VI donne toujours dans la fantasy habituelle, en laissant s'exprimer un bestiaire typique et la magie, mais laisse une énorme place au steampunk.



Et question scénario, on pourrait presque dresser un parallèle avec notre propre Histoire. Ici, des hommes avides de pouvoir reproduisent les mêmes erreurs du passé, envahissent des régions, procèdent au génocide de créatures magiques pour s'approprier leur puissance. Et il n'y a pas de miracle de dernière seconde : le monde connaît la rupture totale de son équilibre, l'Apocalypse.

Taillé en deux actes, ce titre effleure certaines thématiques avec une maestria étonnante. Quelques passages peuvent carrément, pour peu que l'on s'attache à toute la clique de protagonistes, provoquer des frissons. De bonheur, oui, c'est possible. Mais surtout de tristesse, d'effroi, de stupeur. Les développeurs ne prennent pas de gant pour nous mettre face à certains décès prématurés ou des situations inédites à l'époque dans le jeu vidéo...

Voici un florilège de scènes pour le moins perturbantes et mémorables que l'on a l'occasion de voir dans Final Fantasy VI.

Cyan et le train fantôme

Sur la route les menant à la planque des rebelles, Sabin, Shadow et Cyan se retrouvent malgré eux dans le train ayant pour terminus... le monde des morts ! Après avoir "aidé" la locomotive à stopper, les trois compères descendent enfin. Cyan est alors interpellé par des figures familières qu'il ne peut que regarder filer vers leur dernière demeure. Sans lui. Un moment poignant, suivi d'un silence assourdissant.



Le désespoir de Celes

Le monde a été détruit. Celes vit désormais sur une île déserte aux côtés de Cid. Ils ne parviennent pas à s'échapper. Le scientifique tombe malade. La jeune femme peut le sauver en le nourrissant suffisamment vite de poissons qu'elle va aller pêcher sur la côte. Mais si elle n'y parvient pas, l'homme décède. Et Celes craque. Une tentative de suicide dans un jeu vidéo en 1994 ? Et du genre qu'on oublie pas.

Gau, l'enfant abandonné

Lorsqu'on rencontre Gau sur le Veldt, une sorte de savane où tous les monstres du monde errent en liberté, c'est son espièglerie qui nous frappe en premier lieu. Mais la réalité nous rattrape alors que l'on se remémore la présence d'un vieux fou déblatérant toutes sortes d'idiotie à propos d'un monstre qu'il aurait abandonné. Il parle de son fils, Gau, enfant sauvage parce que, devenu fou à la suite de la mort de sa femme en couches, il l'a vu comme la source de son malheur. Et leurs retrouvailles des années plus tard n'auront rien de joyeux.

Maria et Draco : l'opéra

Les moments de grâce existent aussi dans Final Fantasy VI. Le passage de l'opéra est de ceux-là. Cette séquence n'a en soi aucune raison d'exister. Elle n'apporte rien en termes de gameplay. Elle n'est là que pour le divertissement. Et pourtant, cette scène que l'on pourrait trouver un peu kitsch, où Celes remplace une cantatrice dans le simple but de duper Setzer et lui "emprunter" son aéronef, a quelque chose d'incroyablement émouvant. Est-ce grâce à la musique ? A la mise en scène ? A l'implication de l'ex-général de l'empire ? Allez savoir...

Kefka terrasse Leo

Alors que la paix semble à portée entre humains et Espers, l'odieux Kefka se présente et terrasse tout le monde autour de lui. Enfin, presque. Le fier et droit général Léo se dresse encore. Et voilà qu'on le dirige. Cela ne fait aucun doute : l'ennemi va dérouiller. L'écran de combat apparaît. La commande Shock est disponible. On ressent la puissance de cet homme qui prodiguait ses conseils à Terra quelque temps auparavant. Kefka semble vaincu... Mais voilà, ultime sadisme : Square nous a laissé prendre en main ce personnage vertueux quelques secondes pour que l'on ait encore plus de peine à le voir disparaître. Sale souvenir.

Il va de soi que ce ne sont que des exemples et que d'autres scènes peuvent vous avoir marqué. N'hésitez pas à nous en faire part dans les commentaires (même si j'ai déjà ma petite idée concernant une ou deux...).

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L'apothéose du RPG en 2D

La 3D n'est pas encore devenue la norme que déjà Final Fantasy tente une entrée dans la nouvelle dimension. Maîtrisant un hardware en fin de carrière, l'équipe de développeurs va s'abandonner au fameux Mode 7 (application de textures sur des plans 2D permettant de simuler une impression de profondeur).

Plutôt que la vue aérienne disponible lors des phases à pieds sur la mappemonde, les phases en chocobo ou dans l'aéronef vont bénéficier d'un placement de caméra à l'arrière des "véhicules", offrant une sensation de liberté et de vélocité phénoménale !



Mais ce n'est évidemment pas tout. Outre une variété, une richesse et un détail très poussé dans les décors traversés et le bestiaire, Final Fantasy VI s'appuie en combat sur des effets incroyables, usant de couleurs à foison et de déformations du plus bel effet, ainsi que de sprites certes figés mais de tailles plus que respectables pour certains ennemis et la plupart de ses invocations.



Il est indéniable qu'il a vieilli, d'où la tentative de rafraîchissement (dénaturant pas mal le matériau d'origine) sur les plateformes Android et iOS. Mais FFVI conserve toujours un charme, une patte artistique face à laquelle les amateurs de retrogaming ne peuvent pas rester insensibles. A vous de juger !




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Une troupe de héros charismatiques

Lorsque l'on parle d'un Final Fantasy, il est souvent personnifié par une héroïne ou un héros principal. Cloud, Cecil, Squall, Tidus, Lightning sonnent comme des évidences... Mais Final Fantasy VI a cela d'exceptionnel qu'il n'a pas été conçu pour qu'il n'y ait qu'une seule tête d'affiche.

Tel un membre d'une troupe de théâtre, chaque personnage, bien qu'il ait un caractère et un passé qui lui sont propres, appartient à un tout. Un tout composé de 14 protagonistes jouables - dont quelques optionnels et sans compter les adjuvants temporaires tels que Banon, les moogles, les fantômes ou Leo.



Croquée par Yoshitaka Amano et adaptée au format SD par Tetsuya Nomura, cette formation va apprendre à se connaître petit à petit. Le joueur va découvrir les passés de chacun. Certaines romances vont naître, une fraternité va se fortifier, une parenté sera découverte grâce à des rêves... Tout a été mis en oeuvre pour qu'un lien se crée, qu'on les aime tous, sans exception et sans favoritisme.

Terra Branford



Prénommée Tina au Japon, elle est bien celle qui apparaît, dessinée par Yoshitaka Amano et blonde, sur le packaging japonais d'origine. On débute bien l'aventure avec elle. On la retrouve dans Dissidia et peut se voir assimilée comme le personnage emblématique. Son rôle central, elle le doit à ses origines : née d'une mère humaine et d'un père Esper (Maduin/Marthym en Français), elle peut se transformer en créature de magie. Prisonnière et manipulée par l'Empire, elle va rejoindre la résistance et en devenir une pièce maîtresse.

Locke Cole



Préférant se qualifier de chasseur de trésors plutôt que de voleur, Locke est un des piliers de la résistance. C'est lui qui secoure Terra. Mais c'est un autre membre féminin de l'équipe sur lequel il va jeter son dévolu, malgré un passé qui ne cesse de le hanter.

Edgar Roni Figaro



Le roi de Figaro est un coureur de jupons invétéré et un bon monarque. A priori allié de l'Empire en surface, il aide en réalité les rebelles. On apprend qu'à la mort de leur père, lui et Sabin, ne souhaitant pas reprendre le trône, ont joué leur destin sur un lancer de pièce. Une pièce truquée qui a permis à Sabin de s'exiler.

Sabin Rene Figaro



Enfant chétif, Sabin, appelé Mash au Japon (diminutif de son vrai prénom, Macias) va devenir un vigoureux combattant sous l'enseignement de Duncan. Il retrouve son frère dix ans après l'avoir quitté, alors qu'il affronte Vargas, le fils de son maître qu'il croit coupable de parricide. Il décide ensuite de mettre ses muscles au service d'un monde meilleur.

Shadow



Ninja vendant ses services au plus offrant, Shadow était autrefois un simple bandit. Il est accompagné d'un chien, Interceptor (Vengeur en français) qui semble très attaché à Relm. Comme si un lien les unissait...

Celes Chere



Elle est un général de l'Empire génétiquement modifié, comme Kefka, pour user de la magie. Elle trahit sa patrie, ne pouvant plus supporter de faire souffrir des innocents.

Cyan Garamonde



Appelé Cayenne au Japon, ce bretteur était le garde personnel du roi de Doma. L'empoisonnement perpétré par Kefka va en faire un homme sans attache mais bien décidé à faire payer le crime qui lui a ôté femme et enfant.

Gau



Abandonné par un père devenu fou, Gau a survécu dans la savane en s'inspirant des monstres qui y vivent.

Setzer Gabbiani



Ce joueur de black-jack dispose d'un aéronef qui lui permet d'aller où il veut, quand il le souhaite. Il cherche à remplir une vie bien vide depuis la disparition d'un être cher...

Strago Magus



Ce vieil homme est un descendant des derniers utilisateurs de la magie, traqués et regroupés secrètement dans le village de Thamasa. Il a adopté la jeune Relm.

Relm Arrowny



Du haut de ses 10 ans, Relm ne s'en laisse pas compter. Artiste émérite, elle fait preuve d'un caractère fort auquel son grand-père ne peut résister.

Mog



Il est le seul moogle capable de parler le langage des humains, qu'il apprécie. Et c'est un danseur hors-pair.

Umaro



Ami de Mog, Umaro est un Yéti difficile à dénicher. Il est l'un des deux personnages cachés à découvrir dans le monde en ruines.

Gogo



Après s'être fait aspiré dans les entrailles d'une île dans le monde des Ruines, le groupe fait la connaissance de Gogo, autre énergumène caché... Très bien caché, même, sous une tonne de tissus bariolés qui masquent tout de son identité.

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Combats et progression uniques

Le système de combat fait à nouveau appel à l'Active Time Battle (ATB). Entre tour par tour et temps réel, il voit le joueur attendre qu'un membre de son escouade ait remplit sa barre d'action pour procéder à une attaque, au lancer d'un sort, à l'utilisation d'un objet, au changement d'équipement ou de rang, à l'adoption d'une posture défensive ou à l'utilisation de son pouvoir personnel.

S'il n'y a pas de classe à proprement parler, chaque personnage correspond à un comportement en combat, disposant avec cette ligne de commande de facultés propres pouvant se révéler fort utiles. Il faudra surveiller la progression de chacun, parfois dénicher les secrets ultimes et, lorsque viendra le temps de créer des groupes, bien réfléchir à ce que tous peuvent apporter.

Terra peut se transformer temporairement en Esper et augmenter ses caractéristiques.
Locke vole ses adversaires.
Edgar dispose d'outils d'ingénieurs comme une tronçonneuse ou une arbalète lui permettant de s'attaquer à plusieurs cibles.



Sabin pratique les arts martiaux et demande que, pour chaque attaque spéciale, on entre une combinaison de touches digne de Street Fighter !
Shadow peut lancer n'importe quel objet de l'inventaire, dont ses étoiles et sorts de ninja.
Cyan emploie le Bushido et débloque des attaques de plus en plus mortelles, mais qui demandent un temps de chargement, à mesure qu'il progresse.
Gau apprend comment les monstres se comportent. Il lui suffit de plonger dans la mêlée alors que l'on combat dans le Veldt. Il réapparaît plus tard, réintègre l'équipe et peut désormais agir comme la créature dont il a assimilé les techniques.
Celes a le pouvoir d'absorber un sort ennemi durant un tour complet, en dressant une épée vers le ciel.
Setzer joue à la roulette, dont les effets varient grandement suivant la combinaison, ou à lancer les pièces de votre bourse.
Strago est capable d'assimiler des techniques très puissantes d'ennemis croisés... s'il survit aux batailles en question.



Relm peut peindre le portrait d'un adversaire et lui envoyer une de ses propres attaques. Plus tard, grâce à l'accessoire "Fausse Moustache", elle est habilitée à prendre le contrôle d'un ennemi. Pratique pour aider Strago...
Mog sort des pas de danses liées à des types d'environnements précis.
Umaro est en roue libre et se contente de frapper, en usant parfois d'une attaque plus puissante.
Gogo peut mimer la dernière action réalisée dans les rangs alliés.

En outre, l'acquisition de Magicites permettra, en plus d'invocations prenant une place prépondérante durant les escarmouches, d'apprendre la magie. L'issue d'un combat conférera des points d'aptitude. Suivant l'Esper associé, un sort apparaîtra plus ou moins vite dans sa liste. La route est longue pour obtenir tous les sorts pour tous les personnages...

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Nobuo Uematsu : une partition inoubliable



Julien Chièze et Nobuo Uematsu.

En charge de la composition et de l'arrangement des musiques du jeu, on retrouve le sémillant Nobuo Uematsu (en photo ici avec un fan de la première heure me rappelant quelqu'un). Incroyablement inspiré, le maestro va signer une oeuvre d'une puissance phénoménale, proposant une soixantaine de morceaux qui seront compilés par la suite sur les trois CD composant la bande originale de Final Fantasy VI.

Un travail de titan, pour lequel il déclarera avoir pleuré lorsque Sakaguchi a tenu le discours marquant la fin du développement. Et qu'il considère comme un aboutissement. En interview, il reconnaîtra avoir senti qu'il pouvait abandonner la musique sans regrets, ayant atteint ses objectifs dans le domaine. Rien que ça.

Et comment lui donner tort sur la qualité de sa partition? Certainement pas en partageant quelques extraits de la bande originale...

Omen



Phantom Forest

Terra's Theme

Kids Run Through The City

Techno de chocobo

Aria di mezzo carattere

...Et des versions remaniées dans l'album Piano Collections ou l'incroyable Final Fantasy VI Grand Finale, profitant d'un véritable orchestre philharmonique et d'une cantatrice qui donne à la chanson de l'opéra une nouvelle dimension...

Kefka (au piano)



Aria di mezzo carattere (chanté par Svetla Krasteva)



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Kefka Palazzo

Si l'on aborde le sujet des "méchants" dans Final Fantasy, Sephiroth vous vient naturellement à l'esprit. On ne peut pas vous en vouloir. Après tout, un salopard qui brûle votre village, vous manipule, tue devant vos yeux celle qui vous collait des papillons dans le ventre et souhaite faire péter le monde entier pour devenir un dieu, en vue de se rapprocher de sa mère, on a bien du mal à l'oublier. Et puis sa froideur apparente a fortement contribué à maintenir sa cote de popularité.

Cependant, s'il bénéficie d'une ravissante modélisation 3D et d'un background ultra étoffé, il a bien du mal à faire oublier, à ceux qui l'ont connu, le grand ennemi du volet précédent : Kefka.



Alors, oui, quand on le croise pour la première fois, on l'imagine surtout comme un bouffon, un ennemi récurrent qui va simplement amuser la galerie de temps à autre. Il faut dire que son design coloré, grotesque, très commedia dell'arte, et quelques situations malmenant son petit sprite ne laissent pas immédiatement penser à LA menace de cet épisode. Mais de fourberies en crimes abominables, ce clown chétif va vite se construire une aura de salaud absolu.

Son rire, d'abord grotesque, devenir glaçant.

Si sa tentative manquée de faire brûler le château de Figaro semble marquer une véritable maladresse dite de type Pierre Richard, il s'agit d'un leurre. Il est dangereux, depuis longtemps. C'est lui qui aura entraîné Terra à brûler des soldats pour jauger sa puissance, lui qui aura contrôlé son esprit à l'aide d'une couronne d'esclave. Par la suite, il va empoisonner les habitants de Doma, puiser l'énergie d'Espers après les avoir torturé, tuer le général Leo, briser la disposition des statues des Dieux de la Magie... Et il s'en amuse, constamment.

Pourquoi agit-il de la sorte ? Comme ça. Pour s'amuser. Simplement. Il est fou, insensible, cruel. Pas de background tragique. Pas de raison. Ce qui le rend encore plus effroyable. Tel le Joker dans Batman, le seul but de ce général ayant servi de cobaye dans le processus d'infusion magique, et ayant perdu une case au passage, est de tout péter.



Et là où il fait plus fort qu'aucun autre antagoniste principal de la série, c'est qu'il parvient effectivement à détruire le monde dans lequel il vit pour devenir le maître d'un nouveau, à sa botte, qu'il domine depuis sa tour. Rien que pour cela, il devient inoubliable.

Il est aussi un boss final grandiose. Savourez donc cette musique...



http://www.gameblog.fr/dossier_693_fina ... te-d/page8

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De l'idée

Dire que ce Final Fantasy a tout inventé serait faux. En revanche, on ne peut nier que, en plus d'avoir le record de personnages jouables récurrents et d'autoriser le party swapping, il a tenté des choses, dont certaines sont restées en place, voire sont devenues des institutions.

Les Limit Breaks, par exemple. Si le terme est bien né sous Final Fantasy VII, son emploi premier date du dernier épisode Super Nintendo. Cette attaque désespérée et dévastatrice, capable de tuer un adversaire sur le coup, était déjà possible pour un personnage ayant encaissé moult dommages.



Il était possible de brancher une seconde manette à sa console pour laisser un(e) ami(e) agir à vos côtés durant les combats. Oui, pendant de l'Active Time Battle, on a connu plus entraînant. Mais l'idée était là.

Tout comme son prédécesseur, Final Fantasy VI propose deux mondes différents. Sauf que le second, le monde des ruines, n'est qu'une version salement amochée, par l'Apocalypse, du premier ! Et qu'il est tout à fait possible d'y évoluer comme bon nous semble.




Il n'y a qu'un objectif final : abattre Kefka en haut de sa tour. Le reste peut n'être considéré qu'optionnel.

De fait, vous pouvez - mais ça reste déconseillé - tenter d'aller au bout du second acte avec seulement Celes, Edgar et Setzer. La majorité des personnages jouables peut être zappée, à l'instar de nombreuses quêtes annexes révélant parfois de terribles secrets ou octroyant des pouvoirs dissimulés. Sans parler des dragons, du Colisée, de la Tour des Fanatiques... Un RPG Open-World avant l'heure, Final Fantasy VI ? Il semble bien. Et en parlant de personnages optionnels, il faut savoir que Shadow peut être perdu définitivement dans la première partie du jeu, tandis que Gogo et Umaro ne sont pas si simples que ça à dénicher.

Ultros (ou Orthros), le vilain poulpe, et son pote Typhon vont être employés à nouveau dans des versions ultérieures ou des remakes des précédents volets, notamment comme invocation dans le cas du dernier nommé.

De même, certaines créatures de soutien comme Alexandr, Shiva, Ifrit, Fenril ou Ramuh vont devenir des classiques indémodables. Sans oublier le cactuar (ou pampa ou sabotender), cactus dont la première apparition date de Final Fantasy VI. Appelé alors Cactrot, on le trouve comme ennemi dans le désert de Maranda dans le monde des ruines. Son papa, géant, devient même une invocation que l'on peut dénicher dans la version GBA.



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BONUS : un peu de Star Wars

Les spécialistes vous le diront : Final Fantasy IV est l'épisode qui a, le premier, rapproché Star Wars, monument de la pop culture, de la série des FF. Entre la lutte intérieure de Cecil, l'inquiétant Golbeze - dont le character design, l'identité réelle et la fonction au sein de la trame ne peuvent que faire songer à Darth Vader - ou encore le nom Falcon attribué au vaisseau volant de l'ami Edge, on pourrait presque parler de recyclage en territoire heroic-fantasy.

Pour autant, le sixième volet n'est pas en reste côté hommage, et se montre même parfois plus fourni.

Prenez les toutes premières minutes du jeu. Les soldats qui escortent Terra vers l'Esper prisonnier des glaces se prénomment Biggs et Wedge. Ces noms ne vous seront pas inconnus. D'abord parce qu'ils resurgiront dans les FF ultérieurs. Ensuite parce que si vous aimez la saga de George Lucas, vous les avez forcément entendu. Pour rappel, Biggs Darklighter et Wedge Antilles sont respectivement un ami d'enfance de Luke et le seul pilote ayant participé à la destruction des deux "étoiles" de l'Empire.



La trame se dénoue ensuite et laisse se dessiner une lutte que Lucas ne pourrait renier. L'Empire dirigé par Gesthal, dont les soldats se ressemblent tous, à l'instar des Stormtroopers de Palpatine, ne recherche qu'une chose : contrôler le monde grâce à la magie. Toujours soutenu par un thème à la fois puissant et inquiétant, résonnant comme la Marche Impériale composée par John Williams, cet envahisseur tente d'étouffer la rébellion.

Cette faction de résistants, qui voit d'un mauvais oeil qu'un Etat belliqueux concentre les pouvoirs qui ont changé la face du monde 1000 ans auparavant et se mette à en envahir toutes les régions, va finir par regrouper des personnages jouables qui peuvent se rapprocher de figures de la saga se déroulant dans une galaxie lointaine.

Les Moogles qui mettent Kefka et l'Empire en déroute dans les premiers instants du jeu. Cela ne vous rappelle pas les mignons mais si débrouillards ewoks du Retour du Jedi ?

Un hors la loi un peu cabot qui se balade dans un bel engin volant qui (dans la deuxième partie) s'apelle le Falcon. De là à faire un rapprochement entre Setzer et Han Solo...

Certes, Umaro n'est le l'ami fidèle d'un personnage en particulier. Mais une grosse boule de poils à la force colossale fera toujours songer à Chewbacca.

Si l'on regarde le royaume de Figaro, il est allié de l'Empire en surface, pour sauver les apparences et garder ses habitants à l'abri. Et son roi est un charmeur maladif. La cité des nuages de la planète Bespin est elle aussi à la botte de Palpatine et Lando Calrissian n'est pas le dernier à faire des oeillades à la princesse Leia lorsqu'il la rencontre.

Et puis il y a les situations qui ne trompent pas.

Première d'entre elles : Celes qui dit à Locke (ça ressemble à Luke, non ?) qu'il est un peu petit pour un soldat, lui répondant qu'il a oublié qu'il portait un uniforme.



Lorsque Kefka empoisonne le royaume de Doma, on peut y voir une version du génocide planétaire d'Alderaan par l'Etoile Noire.



Kefka qui jette l'empereur Gestahl du continent flottant, tel Vader jetant Palpatine dans le réacteur de l'Etoile de la Mort.



Enfin, lorsque les Espers meurent, ils lèguent leurs pouvoirs, peuvent être invoqués... La Force n'a pas l'air très loin.

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[Somewhere]

[Scarabéaware]

Bon, je me suis fait une petite lecture rapide pour le moment...je l'approfondirai , mais alors surprise , voir qu'on peut avoir un mog dans l'équipe ici je savais pas encore, j'avoue que c'est cocasse ça . Pas mal comme coup
A part ça faudra vraiment que je me le procure un jour celui-là, perle qu'il est dans son genre .
Ouh et tiens j'écoute là le thème de Terra pour commencer, il me plait déjà fort bien direct

[Somewhere]

Oui, pas joué non plus à celui-là, mais c'est clair que y a de quoi ce documenter dans ce topic.

[Wytélia]

J'adore Terra, pas seulement parce que c'est l'une des rares femme-héroïne d'un Final Fantasy (Yuna dans FFX-2, Lightning/Serah/Lightning dans la trilogie FFXIII) mais parce que j'aime son histoire, son combat pour retrouver ses origines, sa force et sa générosité, elle recueille quand même tous les orphelins d'un village détruit. Et pas de développement amoureux autour, bien joué ! ^^

[Scarabéaware]

Ah oui, là je dois avouer que j'ai encore un peu de lacunes sur l'histoire de Terra ne l'ayant pas encore lu mais connaissant malgré tout un peu le personnage, là d'un coup tu me donnes un peu plus envie de vite m'y pencher . J'aime bien aussi Terra mais par là son histoire la rend encore plus intéressante . Va falloir que FF VI je m'y mettre un peu plus

[Aries Phoenix]

C'est le FF que j'ai le plus terminé (une bonne dizaine de fois) et je ne suis pas certain d'avoir tout débloqué Par contre, j'ai rien cheaté sur le net

[Re-Van]

Quelle aventure ce FF, je me rappelle encore du noel ou je l'ai reçu, j'étais scotché par le thème d'intro !
Par contre c'est curieusement un FF que je n'ai pas fait un nombre incalculable de fois , une partie avec tous les personnages à la fin et une ou je m'étais fait un petit défi. Sur les 12 persos qu'on doit retrouvé dans le monde des ruines j'avais que les 4 débloqués automatiquement.

C'est particulier quand j'y pense car on peut choisir d'occulter ou non deux tiers des personnages pour la bataille finale. D'ailleurs je n'avais pas trop compris à l'époque car dans la deuxième moitié de jeu c'est plutôt Celes qui fait office de perso principal.

[Somewhere]

Final Fantasy VI : l'hommage en chanson à la scène de l'opéra



Le légendaire RPG de la Super Nintendo, qui a déjà 21 ans depuis le 2 avril et que certains membres de la rédaction défendront jusqu'à la mort, a inspiré la chanteuse Jillian Aversa. A écouter au calme.

Accompagnée par l'orchestre Philharmonique de Prague et de la violoncelliste Tina Guo, la jeune femme reprend Aria di Mezzo Carattere. Elle semble comme habitée par le personnage de Celes Chere. En fan, je ne peux qu'apprécier son lancer de bouquet de niveau olympique. Au passage, elle a interprété ce bijou de Nobuo Uematsu (dont la version Grand Finale est juste waaaaaaaaaouh) dans le cadre du Video Games Live et il se trouve sur l'album Level 4. Bonne écoute.

http://www.gameblog.fr/news/49836-final ... de-l-opera

[Scarabéaware]

Eh ben , j'écouterai ça demain du coup

[Scarabéaware]

http://www.ffworld.com/?rub=news&page=voir&id=3166

Sans véritablement de surprise, Square Enix vient d'annoncer aujourd'hui que Final Fantasy VI fera son arrivée sur PC très prochainement, le 16 décembre pour être précis. Le sixième épisode, l'un des plus célébrés, rejoindra ainsi ses prédécesseurs et successeurs sur Steam ainsi que sur la boutique Square Enix, et ce au prix de 14,49 euros. Tout comme FFV, il s'agira d'un portage de la version mobile du jeu, autrement dit celle dont les graphismes ont été lissés sous la supervision de l'illustratrice Kazuko Shibuya (qui avait conçu les sprites de tous les FF sur SNES). Voyez le résultat dans la bande-annonce ci-dessous.



Notons d'ailleurs que la prochaine sortie sur PC sera peut-être Final Fantasy X/X-2 HD Remaster, dont le nom a été découvert récemment dans la base de données de Steam. Même si cela ne confirme rien pour l'instant, la tendance récente de Square Enix rend cette possibilité tout à fait envisageable.

[Somewhere]

Cool, je le prendrais sûrement celui-là.

[Artalok]

Je me suis mis à FFVI dimanche - en version SNES, via émulateur, avec une semi-traduction française bien calamiteuse comme il faut. Ce sera mon tout premier FF!

[Re-Van]

Bonne aventure a toi !

[Artalok]

Merci!
J'ai déjà pas mal avancé ces deux derniers jours, là j'en suis au moment où Terra a disparu et où le groupe de Locke (ou "Couiyer", comme je me suis empressé de le renommer stupidement, en hommage à notre bon vieux roi Burgonde favori) parcourt le monde à sa recherche!

[Scarabéaware]

Très bien Artalok, bon choix pour commencer tiens
Bonne avancée à toi

Et tiens du coup j'ai remis des vidéos que youtube avait supprimé mais j'en ai mis quelques unes sous spoiler histoire d'alléger un peu le chargement de la page

Par contre Nova, t'as une idée des images que t'avais pu mettre le 28 septembre 2014 ? Pas sur que tu te souviennes trop mais bon

[Somewhere]

Par contre Nova, t'as une idée des images que t'avais pu mettre le 28 septembre 2014 ? Pas sur que tu te souviennes trop mais bon

J'ai tout remis, on dit merci à Webarchive.