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Se7en (de David Fincher)

Vous êtes Clarice Starling sur la piste d'un détraqué sexuel équarrisseur. Pour l'attraper vous devez faire appel à un psychiatre anthropophage. Ou David Mills, découvrant le pire dans un colis postal. Ce genre a sa propre poésie tout en repoussant toutes les limites de la barbarie. Est-ce que parce que vous allez mourir d'un cancer que vous pouvez vous donner le droit de punir ainsi tout ceux que vous estimez à l’instar du Juge Lawrence John Wargrave devoir l'être ? Ce genre vous invite à travers également des séries coréennes comme Alice in Wonderland ou Squid Game, à livrer un vrai combat moral contre vous-mêmes.
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Re: Seven (David Fincher, 1995)

Messagepar Dark Hal » lun. avr. 18, 2016 11:05 pm

Je veux bien le voir dans ce cas. :super:

Bartiméus
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Re: Seven (David Fincher, 1995)

Messagepar Bartiméus » lun. avr. 18, 2016 11:05 pm

Somewhere a écrit :Brad Pitt il morfle bien dans ce film, un de ces plus grands rôles.


Entre ce film, Entretien avec Vampire, L'armée des Douze Singes, et Fight Club, on peut dire qu'il enchaînait les films cultes dans les années 90 (ça ne veut pas dire qu'il n'a plus fait de bon film ensuite, évidement).
"Ce Christ au tétanos n'était pas le Christ des riches, l'adonis de Galilée, le bellâtre bien portant, le joli garçon aux mèches rousses [...] Celui-là, c'était le Christ des premiers siècles, vulgaire, laid, parce qu'il assuma toute la somme des péchés et qu'il revêtit, par humilité, les formes les plus abjectes. "

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Re: Seven (David Fincher, 1995)

Messagepar itikar » lun. avr. 18, 2016 11:06 pm

NurZe a écrit :Y a du sang la dedans ? :saute: :saute: :saute:



Pas vraiment, enfin pas plus qu'ailleurs, mais pour te prendre une image...

Imagine un réalisateur sadique qui filme durant tout le film un enfant qui couve un oisillon qu'il vient de sauver de la mort. Après l'avoir nourri au biberon, et défendu de tout ce qui lui voulait du mal - genre un chien ou un chat ayant les crocs voire un busard de passage - le film finit brutalement sur l'oisillon qui se fait écraser par un buldozer :peur: :peur:

En gros, c'est ça, Seven, un peu, en plus euh humain :penseur:
Garçon.
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"Qu'est-ce que l'espoir ?" dit-elle. "Une attente du bien, qui, bien qu'incertaine, se fonde sur ce qui est connu ? Alors nous n'en avons pas."
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Re: Seven (David Fincher, 1995)

Messagepar Somewhere » lun. avr. 18, 2016 11:07 pm

Ah oui Fight Club, sacré film aussi, et de nouveau avec Fincher.
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Re: Seven (David Fincher, 1995)

Messagepar Dark Hal » lun. avr. 18, 2016 11:08 pm

itikar a écrit :
Pas vraiment, enfin pas plus qu'ailleurs, mais pour te prendre une image...

Imagine un réalisateur sadique qui filme durant tout le film un enfant qui couve un oisillon qu'il vient de sauver de la mort. Après l'avoir nourri au biberon, et défendu de tout ce qui lui voulait du mal - genre un chien ou un chat ayant les crocs voire un busard de passage - le film finit brutalement sur l'oisillon qui se fait écraser pa run buldozer :peur: :peur:

En gros, c'est ça, Seven, un peu, en plus euh humain :penseur:

Je déteste cette façon de raconter l'histoire. :evil: Mais je suis convaincue :super:

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Re: Seven (David Fincher, 1995)

Messagepar SauronGorthaur » lun. avr. 18, 2016 11:10 pm

Somewhere a écrit :
NurZe a écrit :Y a du sang la dedans ? :saute: :saute: :saute:


Y a même pire...

Non mais âmes sensibles s'abstenir là, clairement.


c'est limite un film d'horreur :mdr:

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Re: Seven (David Fincher, 1995)

Messagepar itikar » lun. avr. 18, 2016 11:12 pm

NurZe a écrit :
itikar a écrit :
Pas vraiment, enfin pas plus qu'ailleurs, mais pour te prendre une image...

Imagine un réalisateur sadique qui filme durant tout le film un enfant qui couve un oisillon qu'il vient de sauver de la mort. Après l'avoir nourri au biberon, et défendu de tout ce qui lui voulait du mal - genre un chien ou un chat ayant les crocs voire un busard de passage - le film finit brutalement sur l'oisillon qui se fait écraser pa run buldozer :peur: :peur:

En gros, c'est ça, Seven, un peu, en plus euh humain :penseur:

Je déteste cette façon de raconter l'histoire. :evil: Mais je suis convaincue :super:


Oh, je ne t'ai pas vraiment spoilé là :siffle:

Bon, allez, puisque tu y tiens tant, voilà la bande annonce :

Garçon.
"N'avez-vous donc point d'espoir ?" dit Finrod.
"Qu'est-ce que l'espoir ?" dit-elle. "Une attente du bien, qui, bien qu'incertaine, se fonde sur ce qui est connu ? Alors nous n'en avons pas."
"C'est là une chose que les Hommes appellent 'espoir'... "Amdir l'appelons-nous, 'expectation'. Mais il y a autre chose de plus profond. Estel l'appelons-nous.

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Re: Seven (David Fincher, 1995)

Messagepar Somewhere » lun. avr. 18, 2016 11:14 pm

Notons aussi Morgan Freeman incroyable dans ce film. :super:
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Re: Seven (David Fincher, 1995)

Messagepar Dark Hal » lun. avr. 18, 2016 11:14 pm

itikar a écrit :

Oh, je ne t'ai pas vraiment spoilé là :siffle:

C'est pour ça que je déteste TA façon de raconter l'histoire :evil: T'aurais pu me spoiler quoi :evil: :empereur:

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Re: Seven (David Fincher, 1995)

Messagepar SauronGorthaur » lun. avr. 18, 2016 11:15 pm

Somewhere a écrit :Notons aussi Morgan Freeman incroyable dans ce film. :super:

il est incroyable dans la plupart de ses film s :super:

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Re: Seven (David Fincher, 1995)

Messagepar itikar » lun. avr. 18, 2016 11:16 pm

NurZe a écrit :
itikar a écrit :

Oh, je ne t'ai pas vraiment spoilé là :siffle:

C'est pour ça que je déteste TA façon de raconter l'histoire :evil: T'aurais pu me spoiler quoi :evil: :empereur:


Tu voulais quand même pas que je te dise qu'à la fin ...

l'oisillon


meurt, quand même !

:tire-langue:
Garçon.
"N'avez-vous donc point d'espoir ?" dit Finrod.
"Qu'est-ce que l'espoir ?" dit-elle. "Une attente du bien, qui, bien qu'incertaine, se fonde sur ce qui est connu ? Alors nous n'en avons pas."
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Re: Seven (David Fincher, 1995)

Messagepar Dark Hal » lun. avr. 18, 2016 11:18 pm

Itikar, you are cruel !!!!!!!! :pleure: :pleure: :pleure:


J'ai vu la BA :super: ça a l'air cool :saute: :saute: :saute: Un mélange de Bible et de Sherlock Holmes et pis d'Horror, je suis d'accord, mais ça serait pas pour Brad Pitt :mdr:

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Re: Seven (David Fincher, 1995)

Messagepar itikar » lun. avr. 18, 2016 11:19 pm

Qulelques commentaires qui veulent bien dire ce qu'ils veulen t dire :

+ A l'époque je l'ai vu au Grand Rex. Après le film j'ai du aller vider plusieurs bière pour me "remettre" lol j'en avais pris trop plein la figure pendant 2h.
+ P'tain la Telerama disent qu'ils aiment un peu en revanche le film : Bachelorette ils aiment beaucoup alors que c'est une vilaine comédie à l'Americaine
+ horriblement génial
+ c le meileur film que j'ai jamais vu
+ ce qui m'as un peu choquée c'est la paresse :s
+ putain le film de dingue
+ j'ai eu les boules pendant près de deux heures !!!!


C'est sans doute un des films les plus choquants avec Irréversible et Salo, entre autres Serbian Moovie, dans des genres certes différents :pappy:
Garçon.
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Re: Seven (David Fincher, 1995)

Messagepar Somewhere » lun. avr. 18, 2016 11:21 pm

Oui la séquence de la paresse c'était quelque chose.

Mais rien que le premier mets dans le ton, avec le gros qui doit faire au moins 200 kilos...
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Re: Seven (David Fincher, 1995)

Messagepar Dark Hal » lun. avr. 18, 2016 11:23 pm

Dites, messieurs, si je comprends bien....vous voulez pas que je le regarde :penseur: :rire:

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Re: Seven (David Fincher, 1995)

Messagepar itikar » lun. avr. 18, 2016 11:23 pm

NurZe a écrit :Itikar, you are cruel !!!!!!!! :pleure: :pleure: :pleure:


J'ai vu la BA :super: ça a l'air cool :saute: :saute: :saute: Un mélange de Bible et de Sherlock Holmes et pis d'Horror, je suis d'accord, mais ça serait pas pour Brad Pitt :mdr:


Oui, il y a un climat diabolique et/ou rédempteur certain ... En fait, en quelque sorte, le seria killer joue au jeu du chat et de la souris avec les policiers ... une fois comme tant d'autres en apparence, mais la fin cloue sur place, justement du fait de la mise en scène assez atypique. Dans ce genre de film, la vie privée du privé sert à l'humaniser, et à rendre son enquête dramatique. Ici, c'est le même ressort durant tout le film, mais la fin tranche radicalement avec celle de ses modèles ... (!)
Garçon.
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Re: Seven (David Fincher, 1995)

Messagepar Somewhere » lun. avr. 18, 2016 11:24 pm

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Messagepar Dark Hal » lun. avr. 18, 2016 11:25 pm

Mouarf, la mort qui le représente :mdr:

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Re: Seven (David Fincher, 1995)

Messagepar Kylia » lun. avr. 18, 2016 11:29 pm

Je suis en train de regarder le film après avoir repoussé le visionnage pendant des années parce que c'est quand même bien tordu. :lol: Je vais voir si je vais réussir à dormir ce soir :lol:

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Re: Seven (David Fincher, 1995)

Messagepar itikar » lun. avr. 18, 2016 11:35 pm

je parie que tu vas passer un moment intense en tout cas :mdr:
Garçon.
"N'avez-vous donc point d'espoir ?" dit Finrod.
"Qu'est-ce que l'espoir ?" dit-elle. "Une attente du bien, qui, bien qu'incertaine, se fonde sur ce qui est connu ? Alors nous n'en avons pas."
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Re: Seven (David Fincher, 1995)

Messagepar Dark Hal » lun. avr. 18, 2016 11:38 pm

Kylia a écrit :Je suis en train de regarder le film après avoir repoussé le visionnage pendant des années parce que c'est quand même bien tordu. :lol: Je vais voir si je vais réussir à dormir ce soir :lol:

Bonne nuit, Kylia....a bah zut, on l'a perdu. :tire-langue: :mdr:

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Re: Seven (David Fincher, 1995)

Messagepar Regnak » mar. avr. 19, 2016 12:06 pm

SauronGorthaur a écrit :
Somewhere a écrit :Notons aussi Morgan Freeman incroyable dans ce film. :super:

il est incroyable dans la plupart de ses film s :super:


Je te rappelle qu'il joue dans le remake de Ben Hur en mode rasta. :lol:

Sinon Se7en, classique parmi les classiques, juste un grand film. Grand film qui a hélas relancé, à l'époque, la mode du film de serial killer dont énormément de bouse tel que Resurrection avec notre Christophe Lambert national

Image
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Re: Seven (David Fincher, 1995)

Messagepar Scarabéaware » mar. avr. 19, 2016 12:08 pm

Bon ben vivement de voir l'avis de Kylia :mdr:
Itikar j'aime bien ton image avec l'oisillon lol.

Ah punaise, horrible c'est le cas de le dire mais je crois que c'est moi que vous allez trouver horrible à avoir eu un grand coup d'admiration pour ce psychopathe qu'on a quand il s'exprime plus allègrement vers la fin dans la voiture :lol:. Il est d'ailleurs sans véritable identité en terme de nom et prénom le monsieur, comme si c'était pour que d'autres puissent mieux se mettre à sa place par la suite. Enfin c'est comme ça que je le ressens, pourquoi John Doe ce fameux nom typique du sans identité américain ?
Enfin bref, dans tous les cas c'est vraiment très prenant de prime abord comme enquête avec ce mode de meurtre sur les 7 pêchés capitaux. Entre Gourmandise et Paresse on en a quelque chose d'assez horrible à voir c'est le cas de le dire. Le gros il a pris cher mais celui de la paresse c'est pas rien non plus...et on est même grandement surpris qu'il puisse encore être vivant :shock:. C'est...assez terrible alors qu'il est presque en décomposition.
Bon puis c'est intéressant dans l'enquête le coup de recherche bibliographique qu'on a, bien biblique, avec de bonnes références comme l'Enfer de Dante, qui sied d'autant mieux ici. La mise en scène est vraiment excellente, excellemment bien tourné, vraiment très appréciable. Avec certains moments savamment bien placés pour que ça fasse un bel appuie final. Bon pis forcément vu comme Brad Pitt morfle ça plaira largement bien à NurZe :mdr:
On est vraiment tenu en haleine tout du long et le serial killer se joue vraiment très bien des enquêteurs, qu'il admire ahah :mrgreen:. Très belle façon quand même bien vicieuse et très psychopathe de faire de la sorte avec une sacré façon de procédé qui a quand même de sa grosse prise de temps. Pensée pour la paresse :transpire:. D'ailleurs c'est vraiment le côté le plus nettement horrible de prendre autant de temps pour appliquer de tels courroux, façon rédempteur. Mais on a des propos qui viennent sur le fait punitif qui font monter l'appréciation en épingle. Y a un certain degré de macabre mais aussi une fascination qui s'exerce en venant vers la fin, avec du déstabilisant quand il viens à se rendre pour en fait mieux servir son objectif avec brio. Vraiment, on en arrive effectivement à du gros coup de théâtre, on peut même parler d'une grande manipulation qui aboutie bien pour clôturer l’œuvre du psychopathe. On a du retournement de situation réalisé avec bon grand brio. Voila, horrible mais aussi horriblement génial ce petit jeu malsain d'un redoutable psychopathe qui se fait vraiment maître du jeu qu'il orchestre. Oh pis quand même, je le dis, ça a du bon de retrouver Kevin Spacey ici dans un tel rôle après Usual Suspects :mdr:
Je recommande grandement, allez NurZe tu pourras voir avec Itikar :mrgreen:
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Re: Seven (David Fincher, 1995)

Messagepar Scarabéaware » mar. avr. 19, 2016 12:10 pm

Regnak a écrit :
SauronGorthaur a écrit :
Somewhere a écrit :Notons aussi Morgan Freeman incroyable dans ce film. :super:

il est incroyable dans la plupart de ses film s :super:


Je te rappelle qu'il joue dans le remake de Ben Hur en mode rasta. :lol:


Il peut pas toujours être que dans de bons films :lol:
Mais bon c'est vrai que Morgan Freeman, encore bien excellent ici, j'apprécie beaucoup le voir dans les films où il est :D
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Re: Seven (David Fincher, 1995)

Messagepar Regnak » mar. avr. 19, 2016 12:13 pm

Il ne faut pas oublier le crime de la luxure qui, bien que juste décrit, est bien dégueulasse.
Holland March: Munich.
Jackson Healy: What?
Holland March: Guy without his balls. A Munich.
Jackson Healy: Munich, is a city in Germany, Munich. München.
Holland March: You sure?
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Re: Seven (David Fincher, 1995)

Messagepar Scarabéaware » mar. avr. 19, 2016 12:21 pm

Oui c'est clair, on voit pas l'état de la prostituée mais textuellement et avec l'état du client on en voit le choc :transpire:
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Messagepar Somewhere » mar. avr. 19, 2016 12:26 pm

J'avais vu ce film étant gosse et j'avais rien capté au crime de la luxure (j'étais encore jeune et pure :rire: ).
"La responsabilité d'un auteur est-elle de raconter des histoires moralement justes ? De faire plaisir aux fans ? Rien de tout ça. L'auteur n'a qu'une seule responsabilité : raconter des histoires qui lui ressemblent et auxquelles il croit." Story, Robert McKee
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Messagepar Dark Hal » mar. avr. 19, 2016 12:48 pm

Non mais si je le regarde avec itikar, c'est lui qui va me faire flipper, vu ce qu'il a dit à propos du pauvre oisillon :cry:

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Messagepar Scarabéaware » mar. avr. 19, 2016 1:06 pm

Somewhere a écrit :J'avais vu ce film étant gosse et j'avais rien capté au crime de la luxure (j'étais encore jeune et pure :rire: ).


Ah ah, oui forcément là, faut avoir un certain regard :mdr:

Oh pis allez NurZe oublie donc l'oisillon et pense à Brad Pitt qui souffre ;)
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Re: Seven (David Fincher, 1995)

Messagepar Dark Hal » mar. avr. 19, 2016 1:59 pm

Non mais vous avez pas compris comment marche mon sadisme :lol: Je suis d'accord, pour voir Sherlock Holmes souffrir, le Docteur souffrir, Superman souffrir, Zorro ou Diego ( sous la forme de Guy Williams ) souffrir...en fait, ça dépend de mes gouts quand je suis fan d'un acteur je veux bien qu'il lui arrive tous les malheurs du monde.
Donc, je n'aime pas Brad Pitt donc je m'en moque totalement de ce qui peut lui arriver dans ce film. Il peut crever, se marier, être torturé, avoir de beaux enfants, ça m'est égal. :saute: :saute: :saute:


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