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Se7en (de David Fincher)
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Bartiméus
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Re: Seven (David Fincher, 1995)
Somewhere a écrit :Brad Pitt il morfle bien dans ce film, un de ces plus grands rôles.
Entre ce film, Entretien avec Vampire, L'armée des Douze Singes, et Fight Club, on peut dire qu'il enchaînait les films cultes dans les années 90 (ça ne veut pas dire qu'il n'a plus fait de bon film ensuite, évidement).
"Ce Christ au tétanos n'était pas le Christ des riches, l'adonis de Galilée, le bellâtre bien portant, le joli garçon aux mèches rousses [...] Celui-là, c'était le Christ des premiers siècles, vulgaire, laid, parce qu'il assuma toute la somme des péchés et qu'il revêtit, par humilité, les formes les plus abjectes. "
Là-bas, Joris Karl Huysmans, 1891.
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Re: Seven (David Fincher, 1995)
NurZe a écrit :Y a du sang la dedans ?
Pas vraiment, enfin pas plus qu'ailleurs, mais pour te prendre une image...
Imagine un réalisateur sadique qui filme durant tout le film un enfant qui couve un oisillon qu'il vient de sauver de la mort. Après l'avoir nourri au biberon, et défendu de tout ce qui lui voulait du mal - genre un chien ou un chat ayant les crocs voire un busard de passage - le film finit brutalement sur l'oisillon qui se fait écraser par un buldozer
En gros, c'est ça, Seven, un peu, en plus euh humain
Garçon.
"N'avez-vous donc point d'espoir ?" dit Finrod.
"Qu'est-ce que l'espoir ?" dit-elle. "Une attente du bien, qui, bien qu'incertaine, se fonde sur ce qui est connu ? Alors nous n'en avons pas."
"C'est là une chose que les Hommes appellent 'espoir'... "Amdir l'appelons-nous, 'expectation'. Mais il y a autre chose de plus profond. Estel l'appelons-nous.
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Somewhere
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Re: Seven (David Fincher, 1995)
Ah oui Fight Club, sacré film aussi, et de nouveau avec Fincher.
"La responsabilité d'un auteur est-elle de raconter des histoires moralement justes ? De faire plaisir aux fans ? Rien de tout ça. L'auteur n'a qu'une seule responsabilité : raconter des histoires qui lui ressemblent et auxquelles il croit." Story, Robert McKee
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Re: Seven (David Fincher, 1995)
itikar a écrit :
Pas vraiment, enfin pas plus qu'ailleurs, mais pour te prendre une image...
Imagine un réalisateur sadique qui filme durant tout le film un enfant qui couve un oisillon qu'il vient de sauver de la mort. Après l'avoir nourri au biberon, et défendu de tout ce qui lui voulait du mal - genre un chien ou un chat ayant les crocs voire un busard de passage - le film finit brutalement sur l'oisillon qui se fait écraser pa run buldozer
En gros, c'est ça, Seven, un peu, en plus euh humain
Je déteste cette façon de raconter l'histoire. Mais je suis convaincue
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Re: Seven (David Fincher, 1995)
Somewhere a écrit :NurZe a écrit :Y a du sang la dedans ?
Y a même pire...
Non mais âmes sensibles s'abstenir là, clairement.
c'est limite un film d'horreur
Re: Seven (David Fincher, 1995)
NurZe a écrit :itikar a écrit :
Pas vraiment, enfin pas plus qu'ailleurs, mais pour te prendre une image...
Imagine un réalisateur sadique qui filme durant tout le film un enfant qui couve un oisillon qu'il vient de sauver de la mort. Après l'avoir nourri au biberon, et défendu de tout ce qui lui voulait du mal - genre un chien ou un chat ayant les crocs voire un busard de passage - le film finit brutalement sur l'oisillon qui se fait écraser pa run buldozer
En gros, c'est ça, Seven, un peu, en plus euh humain
Je déteste cette façon de raconter l'histoire. Mais je suis convaincue
Oh, je ne t'ai pas vraiment spoilé là
Bon, allez, puisque tu y tiens tant, voilà la bande annonce :
Garçon.
"N'avez-vous donc point d'espoir ?" dit Finrod.
"Qu'est-ce que l'espoir ?" dit-elle. "Une attente du bien, qui, bien qu'incertaine, se fonde sur ce qui est connu ? Alors nous n'en avons pas."
"C'est là une chose que les Hommes appellent 'espoir'... "Amdir l'appelons-nous, 'expectation'. Mais il y a autre chose de plus profond. Estel l'appelons-nous.
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"Qu'est-ce que l'espoir ?" dit-elle. "Une attente du bien, qui, bien qu'incertaine, se fonde sur ce qui est connu ? Alors nous n'en avons pas."
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Re: Seven (David Fincher, 1995)
Notons aussi Morgan Freeman incroyable dans ce film.
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Re: Seven (David Fincher, 1995)
itikar a écrit :
Oh, je ne t'ai pas vraiment spoilé là
C'est pour ça que je déteste TA façon de raconter l'histoire T'aurais pu me spoiler quoi
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Re: Seven (David Fincher, 1995)
Somewhere a écrit :Notons aussi Morgan Freeman incroyable dans ce film.
il est incroyable dans la plupart de ses film s
Re: Seven (David Fincher, 1995)
NurZe a écrit :itikar a écrit :
Oh, je ne t'ai pas vraiment spoilé là
C'est pour ça que je déteste TA façon de raconter l'histoire T'aurais pu me spoiler quoi
Tu voulais quand même pas que je te dise qu'à la fin ...
meurt, quand même !
Garçon.
"N'avez-vous donc point d'espoir ?" dit Finrod.
"Qu'est-ce que l'espoir ?" dit-elle. "Une attente du bien, qui, bien qu'incertaine, se fonde sur ce qui est connu ? Alors nous n'en avons pas."
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Re: Seven (David Fincher, 1995)
Itikar, you are cruel !!!!!!!!
J'ai vu la BA ça a l'air cool Un mélange de Bible et de Sherlock Holmes et pis d'Horror, je suis d'accord, mais ça serait pas pour Brad Pitt
J'ai vu la BA ça a l'air cool Un mélange de Bible et de Sherlock Holmes et pis d'Horror, je suis d'accord, mais ça serait pas pour Brad Pitt
Re: Seven (David Fincher, 1995)
Qulelques commentaires qui veulent bien dire ce qu'ils veulen t dire :
C'est sans doute un des films les plus choquants avec Irréversible et Salo, entre autres Serbian Moovie, dans des genres certes différents
+ A l'époque je l'ai vu au Grand Rex. Après le film j'ai du aller vider plusieurs bière pour me "remettre" lol j'en avais pris trop plein la figure pendant 2h.
+ P'tain la Telerama disent qu'ils aiment un peu en revanche le film : Bachelorette ils aiment beaucoup alors que c'est une vilaine comédie à l'Americaine
+ horriblement génial
+ c le meileur film que j'ai jamais vu
+ ce qui m'as un peu choquée c'est la paresse :s
+ putain le film de dingue
+ j'ai eu les boules pendant près de deux heures !!!!
C'est sans doute un des films les plus choquants avec Irréversible et Salo, entre autres Serbian Moovie, dans des genres certes différents
Garçon.
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Re: Seven (David Fincher, 1995)
Oui la séquence de la paresse c'était quelque chose.
Mais rien que le premier mets dans le ton, avec le gros qui doit faire au moins 200 kilos...
Mais rien que le premier mets dans le ton, avec le gros qui doit faire au moins 200 kilos...
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Re: Seven (David Fincher, 1995)
Dites, messieurs, si je comprends bien....vous voulez pas que je le regarde
Re: Seven (David Fincher, 1995)
NurZe a écrit :Itikar, you are cruel !!!!!!!!
J'ai vu la BA ça a l'air cool Un mélange de Bible et de Sherlock Holmes et pis d'Horror, je suis d'accord, mais ça serait pas pour Brad Pitt
Oui, il y a un climat diabolique et/ou rédempteur certain ... En fait, en quelque sorte, le seria killer joue au jeu du chat et de la souris avec les policiers ... une fois comme tant d'autres en apparence, mais la fin cloue sur place, justement du fait de la mise en scène assez atypique. Dans ce genre de film, la vie privée du privé sert à l'humaniser, et à rendre son enquête dramatique. Ici, c'est le même ressort durant tout le film, mais la fin tranche radicalement avec celle de ses modèles ... (!)
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Re: Seven (David Fincher, 1995)
Je suis en train de regarder le film après avoir repoussé le visionnage pendant des années parce que c'est quand même bien tordu. Je vais voir si je vais réussir à dormir ce soir
Re: Seven (David Fincher, 1995)
je parie que tu vas passer un moment intense en tout cas
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Re: Seven (David Fincher, 1995)
Kylia a écrit :Je suis en train de regarder le film après avoir repoussé le visionnage pendant des années parce que c'est quand même bien tordu. Je vais voir si je vais réussir à dormir ce soir
Bonne nuit, Kylia....a bah zut, on l'a perdu.
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Regnak
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Re: Seven (David Fincher, 1995)
SauronGorthaur a écrit :Somewhere a écrit :Notons aussi Morgan Freeman incroyable dans ce film.
il est incroyable dans la plupart de ses film s
Je te rappelle qu'il joue dans le remake de Ben Hur en mode rasta.
Sinon Se7en, classique parmi les classiques, juste un grand film. Grand film qui a hélas relancé, à l'époque, la mode du film de serial killer dont énormément de bouse tel que Resurrection avec notre Christophe Lambert national
Holland March: Munich.
Jackson Healy: What?
Holland March: Guy without his balls. A Munich.
Jackson Healy: Munich, is a city in Germany, Munich. München.
Holland March: You sure?
Jackson Healy: My dad was stationed there.
Holland March: Right. Hitler only had one ball.
"Avec Mel Gibson, je jouis et je suis dégouté en même temps." Yannick Dahan
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Scarabéaware
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Re: Seven (David Fincher, 1995)
Bon ben vivement de voir l'avis de Kylia
Itikar j'aime bien ton image avec l'oisillon lol.
Ah punaise, horrible c'est le cas de le dire mais je crois que c'est moi que vous allez trouver horrible à avoir eu un grand coup d'admiration pour ce psychopathe qu'on a quand il s'exprime plus allègrement vers la fin dans la voiture . Il est d'ailleurs sans véritable identité en terme de nom et prénom le monsieur, comme si c'était pour que d'autres puissent mieux se mettre à sa place par la suite. Enfin c'est comme ça que je le ressens, pourquoi John Doe ce fameux nom typique du sans identité américain ?
Enfin bref, dans tous les cas c'est vraiment très prenant de prime abord comme enquête avec ce mode de meurtre sur les 7 pêchés capitaux. Entre Gourmandise et Paresse on en a quelque chose d'assez horrible à voir c'est le cas de le dire. Le gros il a pris cher mais celui de la paresse c'est pas rien non plus...et on est même grandement surpris qu'il puisse encore être vivant . C'est...assez terrible alors qu'il est presque en décomposition.
Bon puis c'est intéressant dans l'enquête le coup de recherche bibliographique qu'on a, bien biblique, avec de bonnes références comme l'Enfer de Dante, qui sied d'autant mieux ici. La mise en scène est vraiment excellente, excellemment bien tourné, vraiment très appréciable. Avec certains moments savamment bien placés pour que ça fasse un bel appuie final. Bon pis forcément vu comme Brad Pitt morfle ça plaira largement bien à NurZe
On est vraiment tenu en haleine tout du long et le serial killer se joue vraiment très bien des enquêteurs, qu'il admire ahah . Très belle façon quand même bien vicieuse et très psychopathe de faire de la sorte avec une sacré façon de procédé qui a quand même de sa grosse prise de temps. Pensée pour la paresse . D'ailleurs c'est vraiment le côté le plus nettement horrible de prendre autant de temps pour appliquer de tels courroux, façon rédempteur. Mais on a des propos qui viennent sur le fait punitif qui font monter l'appréciation en épingle. Y a un certain degré de macabre mais aussi une fascination qui s'exerce en venant vers la fin, avec du déstabilisant quand il viens à se rendre pour en fait mieux servir son objectif avec brio. Vraiment, on en arrive effectivement à du gros coup de théâtre, on peut même parler d'une grande manipulation qui aboutie bien pour clôturer l’œuvre du psychopathe. On a du retournement de situation réalisé avec bon grand brio. Voila, horrible mais aussi horriblement génial ce petit jeu malsain d'un redoutable psychopathe qui se fait vraiment maître du jeu qu'il orchestre. Oh pis quand même, je le dis, ça a du bon de retrouver Kevin Spacey ici dans un tel rôle après Usual Suspects
Je recommande grandement, allez NurZe tu pourras voir avec Itikar
Itikar j'aime bien ton image avec l'oisillon lol.
Ah punaise, horrible c'est le cas de le dire mais je crois que c'est moi que vous allez trouver horrible à avoir eu un grand coup d'admiration pour ce psychopathe qu'on a quand il s'exprime plus allègrement vers la fin dans la voiture . Il est d'ailleurs sans véritable identité en terme de nom et prénom le monsieur, comme si c'était pour que d'autres puissent mieux se mettre à sa place par la suite. Enfin c'est comme ça que je le ressens, pourquoi John Doe ce fameux nom typique du sans identité américain ?
Enfin bref, dans tous les cas c'est vraiment très prenant de prime abord comme enquête avec ce mode de meurtre sur les 7 pêchés capitaux. Entre Gourmandise et Paresse on en a quelque chose d'assez horrible à voir c'est le cas de le dire. Le gros il a pris cher mais celui de la paresse c'est pas rien non plus...et on est même grandement surpris qu'il puisse encore être vivant . C'est...assez terrible alors qu'il est presque en décomposition.
Bon puis c'est intéressant dans l'enquête le coup de recherche bibliographique qu'on a, bien biblique, avec de bonnes références comme l'Enfer de Dante, qui sied d'autant mieux ici. La mise en scène est vraiment excellente, excellemment bien tourné, vraiment très appréciable. Avec certains moments savamment bien placés pour que ça fasse un bel appuie final. Bon pis forcément vu comme Brad Pitt morfle ça plaira largement bien à NurZe
On est vraiment tenu en haleine tout du long et le serial killer se joue vraiment très bien des enquêteurs, qu'il admire ahah . Très belle façon quand même bien vicieuse et très psychopathe de faire de la sorte avec une sacré façon de procédé qui a quand même de sa grosse prise de temps. Pensée pour la paresse . D'ailleurs c'est vraiment le côté le plus nettement horrible de prendre autant de temps pour appliquer de tels courroux, façon rédempteur. Mais on a des propos qui viennent sur le fait punitif qui font monter l'appréciation en épingle. Y a un certain degré de macabre mais aussi une fascination qui s'exerce en venant vers la fin, avec du déstabilisant quand il viens à se rendre pour en fait mieux servir son objectif avec brio. Vraiment, on en arrive effectivement à du gros coup de théâtre, on peut même parler d'une grande manipulation qui aboutie bien pour clôturer l’œuvre du psychopathe. On a du retournement de situation réalisé avec bon grand brio. Voila, horrible mais aussi horriblement génial ce petit jeu malsain d'un redoutable psychopathe qui se fait vraiment maître du jeu qu'il orchestre. Oh pis quand même, je le dis, ça a du bon de retrouver Kevin Spacey ici dans un tel rôle après Usual Suspects
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Re: Seven (David Fincher, 1995)
Regnak a écrit :SauronGorthaur a écrit :Somewhere a écrit :Notons aussi Morgan Freeman incroyable dans ce film.
il est incroyable dans la plupart de ses film s
Je te rappelle qu'il joue dans le remake de Ben Hur en mode rasta.
Il peut pas toujours être que dans de bons films
Mais bon c'est vrai que Morgan Freeman, encore bien excellent ici, j'apprécie beaucoup le voir dans les films où il est
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Re: Seven (David Fincher, 1995)
Il ne faut pas oublier le crime de la luxure qui, bien que juste décrit, est bien dégueulasse.
Holland March: Munich.
Jackson Healy: What?
Holland March: Guy without his balls. A Munich.
Jackson Healy: Munich, is a city in Germany, Munich. München.
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Re: Seven (David Fincher, 1995)
Oui c'est clair, on voit pas l'état de la prostituée mais textuellement et avec l'état du client on en voit le choc
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Re: Seven (David Fincher, 1995)
J'avais vu ce film étant gosse et j'avais rien capté au crime de la luxure (j'étais encore jeune et pure ).
"La responsabilité d'un auteur est-elle de raconter des histoires moralement justes ? De faire plaisir aux fans ? Rien de tout ça. L'auteur n'a qu'une seule responsabilité : raconter des histoires qui lui ressemblent et auxquelles il croit." Story, Robert McKee
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Re: Seven (David Fincher, 1995)
Non mais si je le regarde avec itikar, c'est lui qui va me faire flipper, vu ce qu'il a dit à propos du pauvre oisillon
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Re: Seven (David Fincher, 1995)
Somewhere a écrit :J'avais vu ce film étant gosse et j'avais rien capté au crime de la luxure (j'étais encore jeune et pure ).
Ah ah, oui forcément là, faut avoir un certain regard
Oh pis allez NurZe oublie donc l'oisillon et pense à Brad Pitt qui souffre
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Re: Seven (David Fincher, 1995)
Non mais vous avez pas compris comment marche mon sadisme Je suis d'accord, pour voir Sherlock Holmes souffrir, le Docteur souffrir, Superman souffrir, Zorro ou Diego ( sous la forme de Guy Williams ) souffrir...en fait, ça dépend de mes gouts quand je suis fan d'un acteur je veux bien qu'il lui arrive tous les malheurs du monde.
Donc, je n'aime pas Brad Pitt donc je m'en moque totalement de ce qui peut lui arriver dans ce film. Il peut crever, se marier, être torturé, avoir de beaux enfants, ça m'est égal.
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