J.K. Rowling, l'auteur des Harry Potter (biographie, reportages...)

[phoenlx]

J'ouvre un topic pour évoquer J.K. Rowling l'auteure des livres Harry Potter, et pour évoquer quelques documentaires sur elle



Joanne Rowling est une romancière et scénariste britannique née à Yate, Gloucestershire du Sud , le 31/07/1965

Elle a étudié la littérature française et la philologie à l’université d’Exeter, puis à la Sorbonne. Elle a travaillé à Londres pour Amnesty International, avant de partir donner des cours d’anglais au Portugal. C’est en 1990, lors d’un voyage en train, que l’idée de Harry Potter lui est venue. Elle n'avait pas de stylo sous la main, à sa plus grande frustration, mais, pendant quatre heures, petit à petit, lui vint durant son voyage l'histoire du désormais célèbre sorcier. Elle ne cessa d'y penser jusqu'à chez elle et une fois rentrée, s'empressa de coucher sur papier toutes ses idées et d'écrire le premier jet de ce que sera le premier tome des aventures d'Harry Potter : "Harry Potter à l'école des sorciers".

En 1992, J. K. Rowling épouse un journaliste portugais et donne naissance à une petite fille, Jessica, mais elle divorce en 1995 et revient vivre près de sa sœur à Édimbourg en Écosse.

Les temps sont durs et Rowling doit faire face à des difficultés financières pendant qu’elle finit l’écriture du premier volet de "Harry Potter".
Après quelques refus, l’éditeur Bloomsbury lui fait une offre, en 1996. Traduits en plus de 65 langues, les sept romans se vendent successivement, à plus de 400 millions d'exemplaires au total. Les sept films suivants sont également des grands succès au cinéma et contribuent massivement au succès de la suite romanesque.Elle est auteure de près de 49 livres diffe
rents, la plupart dérivés de Harry Potter.

Elle a publié également sous le pseudonyme de Robert Galbraith.
Le 26 décembre 2001, elle épouse en secondes noces le médecin anesthésiste Neil Michael Murray. Deux enfants sont nés de cette union, un fils (2003) et une fille (2005).
Sa maman est décédée avant que Joanne ne lui fasse lire ses romans ce qu'elle a toujours énormément regretté, a ce moment difficile, Joanne est tombé en dépression et l’écriture a suivi, d'après elle.... mais elle a fini par se reprendre en main, déterminée à réaliser son rêve
(source : babelio.com )

Je suis en train de regarder un petit docu (passé sur Arte)

Un an dans la vie de JK Rowling est un reportage sur l'auteur des livres Harry Potter. Nous la suivons durant un an pour nous apprendre plus sur sa vie personnelle et l'impacte que Harry Potter a eut sur l'écrivain la plus lu au monde : JK Rowling

[Re-Van]

Oui c'est pas mal ce docu

Plus concis il y a l'épisode du youtubeur PaulVousRaconte :

et aussi le film biopic sur Rowling :

[phoenlx]

merci pour le partage

[julie]

Tiens, c'est une bonne idée, ce topic

et aussi le film biopic sur Rowling

Je l'avais déjà posté, mais dans la section générale.
C'est mieux de mettre la vidéo ici, merci Re-Van

[Lunia]

Joanne Kathleen Rowling

Fille de Anne et Peter Rowling, Joanne est née le 31 juillet 1965 à Chipping Sodbury, une petite ville voisine de Yate. Elle a une petite sœur : Dianne, qui est née le 28 juin 1967.
Elle rencontre son voisin Ian Potter, âgé d'un an moins qu'elle, à qui elle piquera le nom des années plus tard lors de la naissance de Harry Potter.

En 1974, Joanne intègre l'école de Tutchill dirigée par une main de fer par Mme Morgan, figure de crainte et d'autorité, dont le caractère rappel fortement la directrice de Poudlard Minerva McGonagall.

A douze ans, elle est confrontée aux premiers symptômes de la maladie de sa mère, une sclérose en plaques particulièrement virulente.

Joanne se lie d'amitié avec Séan Harris vers ses dix-huit ans, un garçon devenu son meilleur ami et avec qui elle allait se balader dans sa Ford Anglia. Elle lui dédicacera d'ailleurs son second tome : « Harry Potter et la chambre des secrets ».

Peu de temps après, elle est admise dans l'université d'Exeter où elle fait des études de langue et de lettres classiques. S'ensuit une période d'incertitude où elle va de petits boulots en petits boulots ; elle travaille un temps pour Amnesty International dans le département Afrique avant de démissionner.

C'est au cours d'un voyage en train à Manchester qu'elle a l'idée d'un train transportant un garçon dans une école pour sorciers. Pendant toute la durée du voyage, elle imagine Ron Weasley, Hagrid, Peeves et les autres fantômes, elle combine plusieurs bâtiments connus afin de façonner Poudlard. De retour chez elle, elle note dans un calepin toutes les idées qui lui viennent par la tête. On est en juin 1990.

Elle continue à enchaîner les jobs temporaires, elle travaille à la chambre de commerce de Manchester puis est confrontée au décès brutal de sa mère. Peu après, des voleurs s'introduisent dans son appartement et vole le peu de bijoux qui lui restaient de sa mère. Joanne décide de changer d'air et s'envole au Portugal à Porto pour enseigner l'anglais. Elle y rencontre Jorge Arantes, qu'elle épouse et avec qui elle a une fille.

Son mari se montre de plus en plus violent, le 17 novembre 1993, Joanne est mise à la porte, avec son enfant de quatre mois et doit retourner en Ecosse. Sans logement, ni travail, elle se tourne vers la sécurité sociale de Leith, qui lui accorde soixante-neuf livres par semaine. Elle réussit à trouver un logement non meublé grâce à une femme qui la prend en pitié. Elle rentre dans une profonde dépression et occupe à ses journées à écrire dans un café, le Nicolson's.

En 1994, elle s'inscrit au Conseil général de l'enseignement d’Écosse et réussit à obtenir un poste qui lui laisse suffisamment d'argent pour qu'elle se passe d'allocations.

Son manuscrit achevé, elle l'envoie à l'agence littéraire Christopher Little qui a ouvert en 1996. Un contrat est signé qui liait Joanne pour cinq ans. Plusieurs exemplaires sont refusés par des maisons d'édition avant d'être accepté par Bloomsbury qui venait d'ouvrir une section enfant.
Le premier tome est publié le 26 juin 1997, à 5000 exemplaires. La publication se fait de manière d'abord discrète, étant accueillie assez favorablement par les critiques.
Quelques jours après, les droits de Harry Potter sont vendus au marché américain et Arthur A.Levine, directeur d'édition chez Scholastic Books tomba sous le charme du livre et offrit une offre à cent mille dollars.
En quelques semaines, le premier tome de Harry Potter arriva en tête des best-sellers. En dix-huit mois, il a atteint le chiffre records de 20 millions d'exemplaires dans le monde, faisant de J.K.Rowling une des plus grosse fortune d'Angleterre.

Prix et distinctions

Elle obtient plusieurs prix dont le prix Bram-Stoker pour "Harry Potter et le prisonnier d'Azkaban", le prix Hugo pour "Harry Potter et la coupe de feu", le prix Locus du meilleur roman de fantasy.

Dates clés

1997 : parution de Harry Potter à l'école des sorciers, vendu à 107 millions dans le monde.

1998 : Harry Potter et le chambre des secrets

1999 : Harry Potter et le prisonnier d'Azkaban

2000 : Harry Potter et la Coupe de feu

2003 : Harry Potter et l'ordre du phénix

2005 : Harry Potter et le prince de sang-mêlé

2007 : Harry Potter et les reliques de la mort

2016 : création de la pièce de théâtre Harry Potter et l'enfant maudit

Elle écrit aussi d'autres livres sous le pseudonyme de Robert Galbraith.

[phoenlx]

Belle initiative que ce topic, c'est vrai qu'on parle des livres, des films, on avait oublié de parler un peu de l'auteure, il me semble avoir posté un autre docu vidéo une fois, j'essaierai d'écouter celui-ci dès que possible

[Scarabéaware]

Très bien de nous poster une petite présentation d'elle, c'est vrai que ça manquait . Et n'empêche j'avais encore jamais su à propos de sa mère jusqu'à dernièrement. J'en avais compris qu'elle était morte avant qu'on en vienne au prisonnier d'Azkaban, ce qui est le cas en quelque sorte mais le fait est que c'est arrivé bien avant le jet de son premier tome.
Bref, à lire cette présentation j'en apprends bien quelque petite chose, pour ceux qui se seront déjà bien renseignés sur elle ça fera certainement surtout du rappel mais pour sa biographie je m'en étais tenu jusque là à la petite partie qu'on avait dans les livres .

Je prendrai un petit moment pour voir le reportage .

[Lunia]

Voici quatre podcast super intéressants produits par France culture :

JK.Rowling, le roman comme une oeuvre d'art, trouvable ici : https://www.franceculture.fr/emissions/la-compagnie-des-auteurs/j-k-rowling-14-le-roman-comme-une-oeuvre-dart

JK.Rowling, l'imagination au pouvoirr : https://www.franceculture.fr/emissions/la-compagnie-des-auteurs/j-k-rowling-24-limagination-au-pouvoir

JK.Rowling, la mort de la mort : https://www.franceculture.fr/emissions/la-compagnie-des-auteurs/j-k-rowling-34-la-mort-de-la-mort

JK.Rowling, d'autres mondes sont possibles : https://www.franceculture.fr/emissions/la-compagnie-des-auteurs/j-k-rowling-44-dautres-mondes-sont-possibles

Plusieurs intervenants vont analyser l'univers de Harry Potter, on peut citer François Comba, qui a notamment enseigné un cours sur Harry Potter à Science Po :"Harry Potter de J. K. Rowling : approche littéraire, psychanalytique, et politique", Jean-François Ménard, le traducteur des livres, Jean-Claude Milner, philosophe et linguiste, Marianne Chaillan, professeur de philosophie, et Anne Besson, professeur en littérature comparée, qui a aussi beaucoup écrit sur Tolkien. D'ailleurs, la dernière émission parle beaucoup du "Seigneur des anneaux".

[phoenlx]

je suis en train d'écouter le premier podcast c'est intéressant. Je ne savais pas que le style des livres évoluait d'un style pour enfants à un style plus adulte à mesure que Harry grandit, c'est plutôt intéressant comme procédé. J'ai hâte d'arriver aux podcasts suivants car dans l'un d'eux on a Anne Besson qui intervient (grande spécialiste de la fantasy auteure de livres sur Tolkien aussi et intervenue dans beaucoup de conférences sur le thème)

Toujours très intéressants à écouter les podcasts de France Culture.

[Aries Phoenix]

Je ne savais pas que le style des livres évoluait d'un style pour enfants à un style plus adulte à mesure que Harry grandit, c'est plutôt intéressant comme procédé.

Mais c'est hyper connu, et ça se voit à mort en plus. Il faut mieux regarder les films Entre La Pierre Philosophale et Les Reliques de la Mort, il y a un monde !
Enfin, si tu n'as pas lu les bouquins je ne te blâme pas, ça se voit plus clairement (beaucoup plus même).

[phoenlx]

Non mais ce que je veux dire et qu'on apprend dans le podcast (moi je n'ai pas lu les livres, juste vu les films) c'est que le STYLE de l'auteure évolue apparemment
pas seulement je dirais ce que ça raconte, l'atmosphère enfantine, mais le style. C'est différent de raconter une histoire avec un style plutôt destiné aux enfants (regarde Tolkien avec le Hobbit par exemple) et aux adultes (typiquement : le seigneur des anneaux pour reprendre l'exemple de Tolkien)
J'avais bien perçu à travers les films que l'histoire s'assombrit de films en films à mesure que Voldemort refait surface, que le destin de Harry se joue etc, mais je ne pensais pas forcément qu'au niveau des bouquins on avait une manière dans l'écriture même, dans les phrases, de décrire les situations, or apparemment si, dans les derniers livres elle a un style beaucoup plus proche de la littérature de fantasy mais pour adultes. Intéressant à savoir

Autrement je viens de terminer le podcast numéro 1, où l'on peut entendre aussi le traducteur (qui nous livre notamment une anecdote sur la traduction par lui de Poudlard ) Ce podcast m'a appris pas mal de choses, notamment (mythe et légende ou réalité ?) la source d'inspiration initiale de Rowling dans un train ; ou encore le fait qu'elle s'identifie un peu à Hermione, etc.

[Lunia]

Il vaut mieux lire les livres que regarder les films. Il manque énormément de choses primordiales dans les films et les livres sont plus aboutis, plus riches et plus intéressants à analyser et à décortiquer.

[Bombur]

À noter qu'elle a repris le « Kathleen » de sa grand mère, son vrai nom, c'est Joanne tout court. Ça faisait sans doute plus autorial d'avoir plusieurs prénoms .

[SauronGorthaur]

À noter qu'elle a repris le « Kathleen » de sa grand mère, son vrai nom, c'est Joanne tout court. Ça faisait sans doute plus autorial d'avoir plusieurs prénoms .

Oui, les exemples ne manquent pas

[Aries Phoenix]

Non mais ce que je veux dire et qu'on apprend dans le podcast (moi je n'ai pas lu les livres, juste vu les films) c'est que le STYLE de l'auteure évolue apparemment
pas seulement je dirais ce que ça raconte, l'atmosphère enfantine, mais le style. C'est différent de raconter une histoire avec un style plutôt destiné aux enfants (regarde Tolkien avec le Hobbit par exemple) et aux adultes (typiquement : le seigneur des anneaux pour reprendre l'exemple de Tolkien)
J'avais bien perçu à travers les films que l'histoire s'assombrit de films en films à mesure que Voldemort refait surface, que le destin de Harry se joue etc, mais je ne pensais pas forcément qu'au niveau des bouquins on avait une manière dans l'écriture même, dans les phrases, de décrire les situations, or apparemment si, dans les derniers livres elle a un style beaucoup plus proche de la littérature de fantasy mais pour adultes. Intéressant à savoir

Oui, bien sûr il faut regarder des podcasts si on s'intéresse de plus près à Harry Potter. En tous cas je confirme, dans les livres, l'écriture change. Alors, progression de Rowling ou simple désir de s'adapter au public (son fils en première ligne) ? Un peu des deux je pense. Mais quand tu rergardes le volume des bouquins, c'est assez net aussi. La Pierre Philosophale fait 150 pages, Les Reliques de la Mort 800 Et le style est déjà beaucoup plus agréable, avec des anecdotes non-reprises dans les films comme Harry qui renie un peu Hagrid resté un grand enfant. C'est un peu cruel mais ça s'inscrit dans la logique de la progression vers la maturité.

[Lunia]

À noter qu'elle a repris le « Kathleen » de sa grand mère, son vrai nom, c'est Joanne tout court. Ça faisait sans doute plus autorial d'avoir plusieurs prénoms .

Non ^^ En fait, à cette époque, son agent littéraire pensait qu'en voyant que c'était une femme qui avait écrit ce livre, les petits garçons ne voudraient pas lire "Harry Potter", du coup il a demandé à Joanne de choisir des initiales et elle a pris celui de sa grand-mère, pour faire J.K.Rowling.
Voilà pour l'anecdote.

[Bombur]

Euh bah, ça ne me contredit pas ...

[Lunia]

Polémique, polémique sur la transphobie de JK Rowling....

Le Monde

Les fans de « Harry Potter » secoués par les propos jugés transphobes de J. K. Rowling

De nombreuses communautés qui font vivre l’univers du sorcier ont condamné les récentes publications en ligne de l’autrice de leur saga fétiche.
Comment être fan d’un univers dont la créatrice tient des propos contraires aux valeurs de son œuvre ? La question agite les communautés de fans de Harry Potter ces derniers jours, alors que J. K. Rowling est critiquée pour ses prises de positions transphobes.

L’autrice de la saga, vendue à 500 millions d’exemplaires dans le monde, a commenté samedi 6 juin un éditorial du site Devex.com, qui appelait à « créer un monde post-Covid-19 plus égal pour les personnes qui ont leurs règles ». « Je suis sûre qu’il y avait un mot pour ces personnes. Aidez-moi. Wumben ? Wimpund ? Woomud ? », a réagi alors Rowling sur Twitter, faisant mine d’avoir oublié le mot women (« femmes »).

Sur les réseaux sociaux, on a alors rappelé à l’autrice que des hommes trans ou des personnes non binaires (dont l’identité de genre ne correspond pas à « homme » ou à « femme ») peuvent également avoir leurs règles, et l’accusent de transphobie. J. K. Rowling a répondu par une série de Tweet dans lesquels elle utilise le terme « sexe » et non « genre », et conditionne le genre d’une personne à ses organes génitaux.

Le 10 juin, elle s’est ensuite expliquée plus longuement, directement sur son blog. Elle y évoque les accusations qui sont portées contre elle, et répond notamment au terme de « TERF » qui lui est parfois donné : un acronyme pour trans-exclusionary radical feminist, qui désigne des personnes qui estiment que les luttes trans invisibilisent les luttes pour les droits des femmes. Ces idées sont très présentes dans le débat féministe britannique, expliquait Vox en décembre 2019. Mais la dénomination empêche toute possibilité d’avancer sereinement des arguments, répond J. K. Rowling dans son long texte.

Contrepoints

J.K Rowling et le courroux des « tolérants » : les dessous de la cancel culture

OPINION : l’hystérie collective autour des déclarations de J.K Rowling sur Twitter témoigne de la difficulté de débattre autour de la notion de transgenre, et du pouvoir destructeur de la cancel culture sur les individus qui en sont la cible.

Le 6 juin 2020, J.K Rowling, auteur de la fameuse saga Harry Potter, a secoué les utilisateurs de Twitter. Une partie de ses fans s’est détournée d’elle, d’autres l’insultent, d’autres encore demandent à ce qu’elle perde son statut « d’auteur de l’œuvre », et même Daniel Radcliffe se désolidarise de celle qui a lancé sa carrière au cinéma. Même si un épisode similaire lui était arrivé en décembre dernier, la violence des adeptes de Twitter s’est fortement accrue.

Mais qu’a donc pu bien dire J.K Rowling pour que celle qui a écrit l’un des plus grands succès littéraires du monde ne se prenne une telle déferlante de haine ?
Scandale : seules les femmes ont des menstruations

C’est très simple : oser dire que seules les femmes avaient des menstruations, en réponse à une tribune du journal Devex.com appelant à « créer un monde post-Covid plus égalitaire pour les personnes ayant leurs règles. »

Les Don Quichotte de la lutte sociétale : faut-il en rire ou en pleurer ?

La France importe toujours les idées des campus américains, avec environ cinq à dix ans de retard.

Cela se voit notamment avec le contexte actuel de « luttes contre l’État raciste » menées par le collectif Adama, ou encore la montée en puissance des syndicats étudiants faisant régner la terreur dans les facultés.

Il n’est donc pas étonnant de voir la propagation des idéologies dérivées de la théorie du genre : tout n’est que construction sociale, la biologie n’existe plus, et les deux sexes homme/femme sont des « constructions du patriarcat » pour « opprimer les non-mâles blancs cis ». Ainsi, il est tout à fait légitime de parler de « pénis de femme », de « règles d’homme », et de militer pour que tout le monde considère cela comme vrai.

Rejeter ces idéologies équivaut à être transphobe, car c’est « nier l’existence des trans ». Rappeler la biologie basique équivaut donc, selon eux, à appeler au massacre des individus se considérant comme trans. La demi-mesure n’est pas vraiment une qualité chez nos militants du Camp du Bien.

Ce chantage à la transphobie peut souvent se révéler dangereux pour l’intégrité de certaines personnes. On se souvient de l’affaire Jessica Yaniv, qui sous couvert de transphobie, a contraint des instituts de beauté féminins à fermer car on lui a refusé une épilation du maillot (sachant que Yaniv n’a pas été opéré et donc conserve ses attributs masculins). Yaniv s’est aussi imposé dans les vestiaires de jeunes filles, et fantasme sur le fait d’insérer des tampons périodiques dans les parties génitales de ces adolescentes.

Messieurs, retenez donc bien ceci : si vous voulez forcer une femme à toucher votre pénis, attaquez-la en justice pour transphobie.

C’est précisément ce phénomène qui divise actuellement les militants LGBT : certaines des lesbiennes du mouvement cherchent à « se débarrasser du T », car elles considèrent que les femmes trans invisibilisent les vraies femmes lesbiennes, voire parfois les forcent à coucher avec leur « pénis de femme », car ne pas le faire est transphobe. Ce qui leur a valu le joli surnom de « TERF » (Trans-Exclusive Radical Feminist), et qui équivaut à se faire bannir du Camp du Bien.
Dérives et harcèlement : les dessous de la cancel culture

Une fois qu’un individu a été catégorisé comme « néo-nazi de turbodroite » par les SJW, il convient de lui retirer tout « pouvoir de nuisance ». Autrement dit, de le boycotter, l’insulter, le rabaisser, et de faire en sorte que tout ce qu’il a accompli de bon dans sa vie disparaisse à cause d’une simple parole.

Cette pratique de plus en plus courante concerne surtout ceux qui cherchent à jouer dans la même catégorie que ces SJW et à se placer publiquement comme allié de ces luttes.

Pour rester sur l’exemple de J.K Rowling, elle avait régulièrement mis à jour son œuvre, bien après la publication du septième tome en 2007, pour confirmer qu’Albus Dumbledore était gay et Hermione Granger était noire. D’où le fait que ceux qui la voyaient comme un modèle de vertu vivent mal ses propos de « TERF ».

Le danger pour les aspirants progressistes est donc de tomber sur plus progressiste que soi, et finir relégué au même niveau que les méchants. J.K Rowling est donc victime de ce pugilat, de la part de ceux qui l’ont érigée en véritable déesse s’élevant contre le mal, et pilier de leur vie.

De quoi inquiéter pour la liberté d’expression, compte tenu du pouvoir de nuisance de cette minorité (beaucoup trop) bruyante, ayant un véritable pouvoir de vie ou de mort sur les œuvres qui sortent, et qui n’hésite pas à censurer celles qui lui déplaisent.
La cancel culture, preuve de l’infantilisation de la société

On observe notamment que certains LGBT rejettent tellement J.K Rowling qu’ils veulent délégitimiser tout son travail, et le livre qu’ils aiment. Certains vont jusqu’à vouloir faire couvrir leurs tatouages liés à l’univers de Harry Potter, et d’autres font même du chantage au suicide.

Outre la menace qu’il représente envers la notion de liberté d’expression, ce phénomène de cancel culture illustre également à quel point les individus sont aujourd’hui infantilisés, donnant à la société un aspect de gigantesque cour de récréation.

Les polémiques de transphobie envers J.K Rowling tiennent en effet du caprice d’enfant gâté : l’auteur d’une œuvre que l’on aime refuse de nier la biologie basique du corps humain, privons-le du droit de s’exprimer, car il fait mal à nos petits sentiments personnels. Le niveau maternelle du « t’es même plus mon copain d’abord » n’est pas loin.

Or, le fait que ce phénomène soit de plus en plus prenant, d’autant plus avec l’effet de domino découlant de cette vague de harcèlement, à savoir les répercussions sur le travail de la personne, et même parfois sa propre famille, est inquiétant.

Personne, pas même les plus zélés défenseurs de cette nouvelle morale, n’est à l’abri des dérives de ces individus, qui ont pour la plupart une capacité d’accepter la contradiction équivalente à celle d’un enfant en bas-âge.

Cela ne serait pas grave s’ils n’avaient pas un tel pouvoir de nuisance. Or on observe une montée en puissance de ces idées au sein des élites : lois anti-haine, criminalisation des pensées divergentes (considérées comme « déviantes » par ce nouveau clergé), condamnation morale et excommunication des fachos, il faut considérer ces adeptes du Camp du Bien avec la même méfiance que l’on considère les institutions étatiques, en ce qu’ils sont aussi liberticides les uns que les autres : ils sont les idiots utiles d’un système qui ne demande qu’à se renforcer, pour mieux nous écraser.

[SauronGorthaur]

Polémique, polémique sur la transphobie de JK Rowling....

Le Monde

Les fans de « Harry Potter » secoués par les propos jugés transphobes de J. K. Rowling

De nombreuses communautés qui font vivre l’univers du sorcier ont condamné les récentes publications en ligne de l’autrice de leur saga fétiche.
Comment être fan d’un univers dont la créatrice tient des propos contraires aux valeurs de son œuvre ? La question agite les communautés de fans de Harry Potter ces derniers jours, alors que J. K. Rowling est critiquée pour ses prises de positions transphobes.

L’autrice de la saga, vendue à 500 millions d’exemplaires dans le monde, a commenté samedi 6 juin un éditorial du site Devex.com, qui appelait à « créer un monde post-Covid-19 plus égal pour les personnes qui ont leurs règles ». « Je suis sûre qu’il y avait un mot pour ces personnes. Aidez-moi. Wumben ? Wimpund ? Woomud ? », a réagi alors Rowling sur Twitter, faisant mine d’avoir oublié le mot women (« femmes »).

Sur les réseaux sociaux, on a alors rappelé à l’autrice que des hommes trans ou des personnes non binaires (dont l’identité de genre ne correspond pas à « homme » ou à « femme ») peuvent également avoir leurs règles, et l’accusent de transphobie. J. K. Rowling a répondu par une série de Tweet dans lesquels elle utilise le terme « sexe » et non « genre », et conditionne le genre d’une personne à ses organes génitaux.

Le 10 juin, elle s’est ensuite expliquée plus longuement, directement sur son blog. Elle y évoque les accusations qui sont portées contre elle, et répond notamment au terme de « TERF » qui lui est parfois donné : un acronyme pour trans-exclusionary radical feminist, qui désigne des personnes qui estiment que les luttes trans invisibilisent les luttes pour les droits des femmes. Ces idées sont très présentes dans le débat féministe britannique, expliquait Vox en décembre 2019. Mais la dénomination empêche toute possibilité d’avancer sereinement des arguments, répond J. K. Rowling dans son long texte.

Contrepoints

J.K Rowling et le courroux des « tolérants » : les dessous de la cancel culture

OPINION : l’hystérie collective autour des déclarations de J.K Rowling sur Twitter témoigne de la difficulté de débattre autour de la notion de transgenre, et du pouvoir destructeur de la cancel culture sur les individus qui en sont la cible.

Le 6 juin 2020, J.K Rowling, auteur de la fameuse saga Harry Potter, a secoué les utilisateurs de Twitter. Une partie de ses fans s’est détournée d’elle, d’autres l’insultent, d’autres encore demandent à ce qu’elle perde son statut « d’auteur de l’œuvre », et même Daniel Radcliffe se désolidarise de celle qui a lancé sa carrière au cinéma. Même si un épisode similaire lui était arrivé en décembre dernier, la violence des adeptes de Twitter s’est fortement accrue.

Mais qu’a donc pu bien dire J.K Rowling pour que celle qui a écrit l’un des plus grands succès littéraires du monde ne se prenne une telle déferlante de haine ?
Scandale : seules les femmes ont des menstruations

C’est très simple : oser dire que seules les femmes avaient des menstruations, en réponse à une tribune du journal Devex.com appelant à « créer un monde post-Covid plus égalitaire pour les personnes ayant leurs règles. »

Les Don Quichotte de la lutte sociétale : faut-il en rire ou en pleurer ?

La France importe toujours les idées des campus américains, avec environ cinq à dix ans de retard.

Cela se voit notamment avec le contexte actuel de « luttes contre l’État raciste » menées par le collectif Adama, ou encore la montée en puissance des syndicats étudiants faisant régner la terreur dans les facultés.

Il n’est donc pas étonnant de voir la propagation des idéologies dérivées de la théorie du genre : tout n’est que construction sociale, la biologie n’existe plus, et les deux sexes homme/femme sont des « constructions du patriarcat » pour « opprimer les non-mâles blancs cis ». Ainsi, il est tout à fait légitime de parler de « pénis de femme », de « règles d’homme », et de militer pour que tout le monde considère cela comme vrai.

Rejeter ces idéologies équivaut à être transphobe, car c’est « nier l’existence des trans ». Rappeler la biologie basique équivaut donc, selon eux, à appeler au massacre des individus se considérant comme trans. La demi-mesure n’est pas vraiment une qualité chez nos militants du Camp du Bien.

Ce chantage à la transphobie peut souvent se révéler dangereux pour l’intégrité de certaines personnes. On se souvient de l’affaire Jessica Yaniv, qui sous couvert de transphobie, a contraint des instituts de beauté féminins à fermer car on lui a refusé une épilation du maillot (sachant que Yaniv n’a pas été opéré et donc conserve ses attributs masculins). Yaniv s’est aussi imposé dans les vestiaires de jeunes filles, et fantasme sur le fait d’insérer des tampons périodiques dans les parties génitales de ces adolescentes.

Messieurs, retenez donc bien ceci : si vous voulez forcer une femme à toucher votre pénis, attaquez-la en justice pour transphobie.

C’est précisément ce phénomène qui divise actuellement les militants LGBT : certaines des lesbiennes du mouvement cherchent à « se débarrasser du T », car elles considèrent que les femmes trans invisibilisent les vraies femmes lesbiennes, voire parfois les forcent à coucher avec leur « pénis de femme », car ne pas le faire est transphobe. Ce qui leur a valu le joli surnom de « TERF » (Trans-Exclusive Radical Feminist), et qui équivaut à se faire bannir du Camp du Bien.
Dérives et harcèlement : les dessous de la cancel culture

Une fois qu’un individu a été catégorisé comme « néo-nazi de turbodroite » par les SJW, il convient de lui retirer tout « pouvoir de nuisance ». Autrement dit, de le boycotter, l’insulter, le rabaisser, et de faire en sorte que tout ce qu’il a accompli de bon dans sa vie disparaisse à cause d’une simple parole.

Cette pratique de plus en plus courante concerne surtout ceux qui cherchent à jouer dans la même catégorie que ces SJW et à se placer publiquement comme allié de ces luttes.

Pour rester sur l’exemple de J.K Rowling, elle avait régulièrement mis à jour son œuvre, bien après la publication du septième tome en 2007, pour confirmer qu’Albus Dumbledore était gay et Hermione Granger était noire. D’où le fait que ceux qui la voyaient comme un modèle de vertu vivent mal ses propos de « TERF ».

Le danger pour les aspirants progressistes est donc de tomber sur plus progressiste que soi, et finir relégué au même niveau que les méchants. J.K Rowling est donc victime de ce pugilat, de la part de ceux qui l’ont érigée en véritable déesse s’élevant contre le mal, et pilier de leur vie.

De quoi inquiéter pour la liberté d’expression, compte tenu du pouvoir de nuisance de cette minorité (beaucoup trop) bruyante, ayant un véritable pouvoir de vie ou de mort sur les œuvres qui sortent, et qui n’hésite pas à censurer celles qui lui déplaisent.
La cancel culture, preuve de l’infantilisation de la société

On observe notamment que certains LGBT rejettent tellement J.K Rowling qu’ils veulent délégitimiser tout son travail, et le livre qu’ils aiment. Certains vont jusqu’à vouloir faire couvrir leurs tatouages liés à l’univers de Harry Potter, et d’autres font même du chantage au suicide.

Outre la menace qu’il représente envers la notion de liberté d’expression, ce phénomène de cancel culture illustre également à quel point les individus sont aujourd’hui infantilisés, donnant à la société un aspect de gigantesque cour de récréation.

Les polémiques de transphobie envers J.K Rowling tiennent en effet du caprice d’enfant gâté : l’auteur d’une œuvre que l’on aime refuse de nier la biologie basique du corps humain, privons-le du droit de s’exprimer, car il fait mal à nos petits sentiments personnels. Le niveau maternelle du « t’es même plus mon copain d’abord » n’est pas loin.

Or, le fait que ce phénomène soit de plus en plus prenant, d’autant plus avec l’effet de domino découlant de cette vague de harcèlement, à savoir les répercussions sur le travail de la personne, et même parfois sa propre famille, est inquiétant.

Personne, pas même les plus zélés défenseurs de cette nouvelle morale, n’est à l’abri des dérives de ces individus, qui ont pour la plupart une capacité d’accepter la contradiction équivalente à celle d’un enfant en bas-âge.

Cela ne serait pas grave s’ils n’avaient pas un tel pouvoir de nuisance. Or on observe une montée en puissance de ces idées au sein des élites : lois anti-haine, criminalisation des pensées divergentes (considérées comme « déviantes » par ce nouveau clergé), condamnation morale et excommunication des fachos, il faut considérer ces adeptes du Camp du Bien avec la même méfiance que l’on considère les institutions étatiques, en ce qu’ils sont aussi liberticides les uns que les autres : ils sont les idiots utiles d’un système qui ne demande qu’à se renforcer, pour mieux nous écraser.

Pour une fois je soutiens Rowling dans ce procès déplacé des SJW, et je salue la tribune à laquelle elle a participé en réponse

[phoenlx]

ça devient d'un lassant toutes ces polémiques

[LeAlex]

C'est vraiment pas mon époque toutes ces conneries, dix mille appellations pour catégoriser toutes les pitites variétés d'orientations sexuelles, parce que faudrait surtout oublier personne hein, et chaque jour des célébrités pour s'excuser d'avoir dit ci ou ça... JK Rowling qui ironise sur une formulation maladroite ("personnes" qui menstruent) pour rappeler que oui autrement dit des femmes. Et là PAF la communauté machin qui se sent lésée, parce que forcément, l'occasion est trop belle... Des hommes qui menstruent et des femmes avec des teubs. Ben oui, bien sûr, absolument. D'ailleurs peut-on encore parler d'hommes et de femmes sans choquer d'autres variétés d'êtres humains "non binaires" qui ne se reconnaitraient dans aucun des deux ? Est-ce que les mutants reptiliens humanoïdes qui vivent en secret parmi nous vont finir par se manifester sur les réseaux sociaux ?

[phoenlx]

TU as tout résumé. c'est d'un ridicule sans nom, mais je trouve également assez triste ceux qui après avoir déclenché ces tollé se laissent intimider et s'excusent. c'est ans doute par peur pour leur réputation, mais ça redonne de l'eau au moulin, ça rend encore plus forts les mouvements communautaires victimaires et on n'en sort plus, c'est un jeu de surenchère sans fin.

[Lunia]

Nouveau roman jeunesse de J.K.Rowling :



Il ne me fait pas spécialement envie, c'est surtout un conte pour enfant.

[phoenlx]

dommage que l'article ne soit pas lisible complètement
https://www.lefigaro.fr/lefigaromagazin ... 1665514547

[Cerca Trova]

oui mais merci quand même du partage

[Maedhros]

Je sais pas trop où mettre ça, donc je vais le mettre ici

Harry Potter : JK Rowling remet le feu aux poudres

Les déclarations controversées de JK Rowling à propos de la transidentité partagent les fans de la communauté Harry Potter depuis de nombreuses années. Le 14 mars dernier, la romancière a souhaité s’expliquer sur le sujet

Des propos assumés

Ce mardi 14 mars 2023, la célèbre auteure connue pour avoir écrit les Harry Potter s’est exprimée dans le dernier épisode du podcast “The Witch Trials of JK Rowling” à propos de ces positions sur la transidentité. Comme l’explique The Independent, la romancière a déclaré qu’elle était consciente des réactions négatives qu'elle pourrait provoquer chez les fans de son œuvre en raison de son point de vue sur le genre et des droits des personnes transgenres.

Lorsque j'ai commencé à m'intéresser, puis à être profondément troublée par ce que je considérais comme un mouvement culturel illibéral dans ses méthodes et douteux dans ses idées, je savais pertinemment que si je m'exprimais, de nombreuses personnes qui aiment mes livres seraient profondément énervées contre moi. (...) Je pouvais voir qu'elles croyaient se battre pour les laissés-pour-compte, la différence et l'équité. JK Rowling, podcast The Witch Trials of JK Rowling, propos retranscrits par The Independent

La romancière poursuit en disant qu’elle a longuement hésité à parler de ses convictions au risque de heurter certaines personnes. “Je savais que cela pouvait être très grave et cela l'a été personnellement, ce n'était pas amusant, et j'ai parfois eu peur pour ma sécurité et, surtout, pour celle de ma famille” a-t-elle expliqué. Avant d’ajouter : "le temps nous dira si je me suis trompée. Je peux seulement dire que j'y ai beaucoup réfléchi, profondément, longuement et que j'ai écouté, je le promets, l'autre partie, et que je crois, absolument, que ce mouvement a quelque chose de dangereux et qu'il doit être remis en question".

“Vous êtes devenue le Mal”

Toujours dans l’épisode du podcast, Rowling explique avoir averti son équipe direction à propos de son tweet soutenant Maya Forstater en 2019, car elle savait que cette prise de position allait provoquer “une tempête massive”. “J'ai lu ce que j'allais dire parce que je sentais qu'ils avaient besoin d'être avertis" reconnaît-elle. Du côté des fans de Harry Potter, elle avoue que certains lui en veulent terriblement, comme celui qui a dit qu’elle était devenue "le Mal contre lequel elle avait appris beaucoup de gens à se battre”. Elle assure aussi “qu’une tonne de fans de Potter” lui a envoyé “des messages de remerciement”.

Je me bats contre ce que je considère être un mouvement puissant, insidieux et misogyne, qui s'est imposé dans des secteurs très influents de la société. Je ne considère pas ce mouvement particulier comme bénin ou impuissant, et je crains donc d'être aux côtés des femmes qui se battent pour se faire entendre face aux menaces de perte de leur gagne-pain et aux menaces qui pèsent sur leur sécurité. JK Rowling, podcast The Witch Trials of JK Rowling, propos retranscrits par The Independent

https://www.jeuxvideo.com/news/1723450/ ... oudres.htm