L'une des raisons de ce projet était de rassembler pour la première fois les milliers de pages de l’anime comics des sagas Dragon ball publié sur une base hebdomadaire dans les pages du Dorothée Magazine de septembre 1989 à janvier 1998, puis sur une base mensuelle dans les pages de D. Mangas de février 1998 à mai 2004.
J'ai le plaisir de partager avec vous ce travail !
Cet ensemble de 4.257 pages compilé en 21 tomes constitue une sorte de concentré de nostalgie pour tous les enfants qui, dans les années 90, ont eu l’occasion d’acheter ou de se faire offrir le Dorothée Magazine. Il parle d’une époque si éloignée de notre temps où les informations concernant nos séries préférées arrivaient du Japon au compte-goutte, de manière très décalée et souvent largement déformée… Ces pages en sont le témoignage.
Je déconseille très fortement au lecteur qui ne connaitrait pas l’œuvre d’Akira Toriyama (même si je ne vois pas ce qu'ils feraient à rôder par ici) de la découvrir dans cet ouvrage qui n’est qu’une pâle copie du manga Dragon ball publié en 42 tomes.
Cette compilation s’adresse à celles et à ceux qui n’ont pas oublié les pages de cette BD qu’ils suivaient de manière plus ou moins anarchique au fil des magazines qui tombaient entre leurs mains ; à celles et à ceux qui souriront face aux innombrables erreurs et maladresses qu’elles renferment, ; à celles et à ceux qui aimeraient bien revoir les épisodes fillers de la série Dragon ball de leur enfance mais qui n’ont plus assez de temps pour ça ; aux fans de Dragon ball curieux de découvrir cet OVNI qui participe à l’histoire de l’introduction du manga en France ; et plus largement à tous les nostalgiques de la période du Club Dorothée.
Avant de vous laisser à votre lecture, permettez-moi quelques détails techniques. J’ai numérisé (400p) l’ensemble des pages issues des Dorothée Magazine et Yugi-Boy s’est chargé de celles issues de D. Mangas (200p). J’ai ensuite recadré celles-ci comme j’ai pu (malgré la mise en page parfois bancale de la BD originale), j’ai effacé les crédits en première page, au rendu souvent inesthétiques, de même que les numéros de page. J’ai enfin retiré un maximum de marges afin de faciliter la lecture sur tablette.
J’espère que vous prendrez plaisir à redécouvrir ce chapitre de l’histoire de notre passion.
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