phoenlx a écrit :oui , mais j'imagine que la série va évoluer et que l'éxécuteur va un peu évoluer dans ses méthodes et lectures des situations parceque sinon
Je te laisse voir .
phoenlx a écrit :oui , mais j'imagine que la série va évoluer et que l'éxécuteur va un peu évoluer dans ses méthodes et lectures des situations parceque sinon
scarabéaware a écrit :En tout cas c'est effectivement une vidéo intéressante, avec un débit moins rapide ce serait peut être encore mieux mais c'est bien,
scarabéaware a écrit :il brasse bien à propos de Psycho-Pass en évoquant Makishima entre autre, la dessus c'est très bien, par contre il parle du Japon avec le fait que personne ne vole, il pourrait aussi préciser que là c'est une question d'éducation en même temps, parce que c'est un peu biaiser le propos que de surtout parler de leur système de surveillance.
scarabéaware a écrit :D'ailleurs je savais pas encore qu'il y avait une si bonne surveillance. La dessus on aurait plutôt de quoi penser au système chinois avec les histoires de notation du citoyen qui se retrouve récompensé selon l'exemplarité de son attitude et au contraire se fait afficher publiquement s'il est une ordure. J'aime bien le principe, on peut reprocher des choses à la Chine mais ça c'est un système qui me plait bien, surtout quand on peut avoir la gratuité des transports en conséquence par exemple .
Enfin bref, pour en rester sur Psycho-pass effectivement on peut dire que ça apporte de la nuance par rapport à d'autres dystopie où l'objectif principal quand à les présenter et d'y mettre fin parce que c'est présenté comme très mal, là on évoque quand même beaucoup plus le confort, après au spectateur de se faire sa propre idée
phoenlx a écrit :scarabéaware a écrit :il brasse bien à propos de Psycho-Pass en évoquant Makishima entre autre, la dessus c'est très bien, par contre il parle du Japon avec le fait que personne ne vole, il pourrait aussi préciser que là c'est une question d'éducation en même temps, parce que c'est un peu biaiser le propos que de surtout parler de leur système de surveillance.
oui c'est un ensemble de facteurs je pense. Ensuite je pense qu'il faut malgré tout le relativiser, tous les quartiers de Tokyo ne semblent pas sûrs, certains sont mal famés je crois ? Mais j'imagine qu'ils sont loin de ce qu'on connait nous dans certains coins
phoenlx a écrit :
même si c'est éthiquement limite, je ne vais pas te contredire surtout quand on voit les dérives dans certains de nos pays, parfois je me dis que quand même la répression ne marche pas, que reste t'il comme leviers ? l'action inverse à savoir la récompense des bonnes actions plutôt que la punition des mauvaises. Sur beaucoup d'individus, c'est ce qui marche.
Mais on conçoit assez bien les dérives d'un tel système, comme le montre d'ailleursavec Bryde Callas Howard .. ce genre de logiques de notation des bons comportements, ça peut partir loin, et entrainer d'autres sacrées dérives.
Pour cette œuvre, Conrad s'est inspiré d'un voyage qu'il avait fait au Congo en 1890. Au cœur des ténèbres (1902) raconte comment Kurtz, un collecteur d’ivoire par métier, doublé d’un philanthrope par vocation, devient chef de bande et chasseur de têtes : isolé dans ce lieu primordial qu’est la jungle africaine, le « civilisé » (Kurtz), sans défense spirituelle, découvre avec horreur le visage insoupçonné et abominable de l’humanité, ses instincts « oubliés et brutaux », tente de résister, mais capitule.
Scarabéaware a écrit :Bon ben moi du coup y a l'électrochoc tellement fort qu'il me fait aller dans le sens inverse de vous deux . Ah pis le libre arbitre, tout un concept. C'est sur que le système Sybil forme une déresponsabilisation qu'on peut pointer du doigt mais justement autant il y a de ça, autant ça fait parti de ce qui peut s'améliorer en remettant du poids sur les épaules de chacun pour éviter une lobotomie en matière de réactivité. Qui plus est chacun est responsable de sa teinte et il a la responsabilité de faire en sorte qu'elle ne sorte pas des clous pour le bien de la société, mais aussi il y a faire en sorte que celle d'autrui ne sorte pas des clous et là justement y a le coup du harcèlement où les harceleurs devraient être également considérés comme coupables. Bon pis tuer c'est quand même être responsable. De fait Sybil c'est de l'outil bon pour un assainissement sociétal qui peut assurer "paix et félicité" (référence à Demolition Man ahah) mais qui toutefois ne devrait pas empêcher que chacun ait une épée de Damoclès au dessus de sa tête. Bon pis quand même, on aura beau dire, en tuant, malgré tout, l'assassin est fautif de son acte, il en est responsable même si Sybil est là pour la neutralisation rapide.
Enfin vala, dans tous les cas il est clair que Makishima à un certain charisme, il a une idéologie qui frappe et puis faut reconnaître ses qualités. Là dessus je dis pas et il donne bien matière à réflexion.
Bon pis dans mon cas, en me sentant finalement plus proche de Charles vi Britannia que de Lelouch et de Palpatine ainsi que Light, faut il s'étonner que je me sente plus proche du système Sybil . Après en matière de personnage j'irai sur Kogami
Allez, sur ce je continue tout à l'heure
Né le 21 avril 1864 et mort le 14 juin 1920, Max Weber est un économiste et sociologue allemand originellement formé en droit.
Considéré comme l'un des fondateurs de la sociologie, ses interrogations portent sur les changements opérés sur la société avec l'entrée dans la modernité. On lui doit notamment des analyses complexes du capitalisme industriel, de la bureaucratie et du processus de rationalisation en Occident.
Contrairement à Émile Durkheim, considéré lui aussi comme un père de la sociologie, Weber a peu enseigné et n'a pas fait école de son vivant. Et à la différence de Karl Marx, il aborde le capitalisme non pas « de l'extérieur » (en analysant ses composantes économiques) mais « de l'intérieur », en passant au crible les motivations de ses promoteurs et en recourant pour cela à une méthode qu'il qualifie de « compréhensive ». Selon lui, avant de devenir un système économique, le capitalisme est une éthique. C'est pourquoi, estime-t-il, pour analyser ce système, il importe d'étudier d'abord cette éthique, qu'il appelle « l'esprit du capitalisme ».
Dans son ouvrage L'Éthique protestante et l'Esprit du capitalisme, Weber y analyse l'incidence des facteurs religieux dans le processus de rationalisation, plus précisément les effets de la réforme protestante sur l'activité économique capitaliste. L'ouvrage est désormais une référence majeure dans le monde de la sociologie.
L'œuvre de Weber est guidée par une recherche sur la rationalité et plus spécifiquement sur le processus de rationalisation de l'action pratique, considérée comme caractéristique fondamentale de la modernité. Weber postule que l'Occident est marqué par l'extension d'un type particulier de rationalité - la rationalité en finalité - à l'ensemble des actions sociales. Et il voit dans ce processus une cause majeure du déploiement du capitalisme et de ses principales composantes, l'industrialisation et la bureaucratie. L'originalité de son approche est de postuler que le protestantisme a contribué de façon majeure et décisive à la rationalisation du monde :« Ce qui importe donc, en premier lieu, c'est de reconnaître et d'expliquer dans sa genèse la particularité du rationalisme occidental […]. L'apparition du rationalisme économique […] dépend de la capacité et de la disposition des hommes à adopter des formes déterminées d'une conduite de vie caractérisée par un rationalisme pratique. Là où une telle conduite de vie a rencontré des entraves d'ordre psychique, le développement d'une conduite de vie rationnelle dans le domaine économique a rencontré, lui aussi, de fortes résistances intérieures. Or, parmi les éléments les plus importants qui ont façonné la conduite de vie, on trouve toujours, dans le passé, les puissances magiques et religieuses ainsi que les idées éthiques de devoir qui sont ancrées dans la croyance en ces puissances. »
Weber s'intéresse aussi aux autres religions du monde, faisant ressortir dans une série d'études comparatives (Confucianisme et taoïsme, Hindouisme et bouddhisme, Le Judaïsme antique) la spécificité du processus de rationalisation qui caractérise le monde occidental et, surtout, l'influence du protestantisme sur celui-ci. Et il étend sa réflexion de la rationalité à d'autres objets d'étude, notamment la domination, l'État, le droit et la sociologie de la musique.
En marge de son travail de recherche, Weber s'est engagé dans l'action politique, contribuant notamment à la rédaction de la Constitution de Weimar pour la république de même nom en 1919.
Après sa mort, son épouse, née Marianne Schnitger, également sociologue et connue pour ses positions féministes, a fait publier ses derniers manuscrits. Son œuvre n'a été traduite en France qu'à partir de 1959. Elle connaît aujourd'hui une réputation internationale.
Réception de son oeuvre :
La réception de l'œuvre de Max Weber n'a été que progressive, particulièrement en France. Sa stature ne s'impose, en Allemagne, qu'une dizaine d'années après sa mort, de même qu'aux États-Unis, notamment grâce au sociologue Talcott Parsons qui s'inspire de Weber dans sa théorisation de l'action sociale et qui traduit L'Éthique protestante et l'Esprit du capitalisme en anglais.
En France, la domination de l'école durkheimienne avant la première guerre mondiale, puis, après guerre, la prégnance de la pensée marxiste, permettent d'expliquer la lenteur de la réception d'une œuvre qui était, pour une large part, en opposition avec ces deux courants de pensée. C'est essentiellement à Raymond Aron que l'on doit (en majeure partie grâce à son ouvrage La sociologie allemande contemporaine paru en 1935) la découverte, en France, de Max Weber. Depuis, l'œuvre n'a cessé d'exercer son influence sur l'ensemble de la sociologie française : ainsi, des figures aussi opposées que celle de Raymond Boudon et de Pierre Bourdieu s'en réclament. Les traductions françaises, longtemps lacunaires et de mauvaise qualité, ont connu, depuis une quinzaine d'années, un fort développement, notamment sous l'impulsion du traducteur Jean-Pierre Grossein qui a proposé, en 2003, une nouvelle traduction de L'Éthique protestante et l'esprit du capitalisme. On peut voir, dans cette activité éditoriale, l'importance toujours croissante et l'actualité jamais démentie d'une pensée sociologique de premier plan.
plus de détails : https://fr.wikipedia.org/wiki/Max_Weber
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