Godzilla (de Gareth Edwards)
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Re: Godzilla (2014)
Voilà, les notes sérieuses arrivent.
"La responsabilité d'un auteur est-elle de raconter des histoires moralement justes ? De faire plaisir aux fans ? Rien de tout ça. L'auteur n'a qu'une seule responsabilité : raconter des histoires qui lui ressemblent et auxquelles il croit." Story, Robert McKee
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Re: Godzilla (2014)
Critique du film, et c'est pas bon du tout :
Que vaut le "Godzilla" 2014 ?
A priori, si ce reboot de "Godzilla" réalisé par Gareth Edwards s'autorise à sortir dans les salles françaises le jour de l'ouverture du Festival de Cannes 2014 (genre Godzilla versus Thierry Frémaux), c'est qu'il a, a priori, les moyens de son ambition. Enlevez la star (incroyable Godzilla) et le film ne ressemble à... pas grand-chose. Douche froide.
L'été dernier, Warner sortait Pacific Rim, de Guillermo Del Toro, un blockbuster sous influence des kaiju eiga, ces films de monstres géants nippons comme Godzilla, produits dans les années 50 par différents studios comme Toho, Daiei, Toei, Nikkatsu, Shochiku. L'idée consistait à montrer des monstres géants affrontant des robots géants dans un film tenant à la fois du fantastique et de la science-fiction. Et le résultat respectait ainsi les fantasmes d'un enfant de sept ans, en se mettant totalement à son niveau.
Cette année, Warner renoue avec le genre dans un reboot de Godzilla, plus de quinze ans après la version avec Jean Reno et Matthew Broderick que Roland Emmerich avait réalisée en 1998. Ce Godzilla 2014 soutenu par Legendary Pictures réunit Aaron Taylor-Johnson (Kick-Ass), Elizabeth Olsen (Martha Marcy May Marlene), Juliette Binoche, Ken Watanabe ou encore Bryan Cranston. L'intrigue n'est pas plus complexe que celle des films originels, à savoir l'irruption d'un monstre radioactif ravageant une mégalopole. C'est d'ailleurs le scénariste de The Dark Knight, David Goyer, qui a signé le script - Max Borenstein, Dave Callaham et Frank Darabont ayant successivement travaillé dessus.
Le réalisateur aux commandes n'est autre que Gareth Edwards. Son nom ne dit sans doute pas grand-chose. Pourtant, on lui doit un film hypnotique et beau: Monsters (4,2 millions de dollars au box-office avec seulement 500,000 dollars de budget). Un film d'autant plus étrange qu'il trompait sur la marchandise : en apparence, un énième film de monstres. En réalité, une histoire d'amour au romantisme fou.
On y croyait pourtant...
Autant le dire tout de suite : carburant au premier degré, respectant les codes tout en occultant le discours (dénoncer les essais nucléaires), ce Godzilla 2014 ne donne malheureusement pas la possibilité au réalisateur Gareth Edwards de développer toute la sensibilité perçue dans Monsters.
Sur le papier, le concept était séduisant : retrouver ce que l'on a aimé chez Gareth Edwards, cette science du hors-champ (montrer moins pour suggérer plus) et cette appétence pour la mélancolie contemplative (respecter les états d'âme et les errances mentales des personnages face à une catastrophe, une menace) dans le cadre d'une superproduction a fortiori déceptive (découvrir autre chose que ce que nous avions fantasmé, en mieux). C'est le Godzilla plein de spleen que l'on aurait aimé voir - et que la bande-annonce nous a d'ailleurs vendu, mais ce n'est pas le Godzilla qui est à l'écran.
Un divertissement spectaculaire, hyper-calibré, qu'il faut aller voir pour le «plaisir de l'instant».
Le premier quart d'heure, un flashback, fait illusion, renvoyant à l'économie de Gareth Edwards. Les scènes sont montées de manière à ce que le spectateur soit instantanément pris dans l'action, dans le vif du sujet. C'est clairement l'ambition. Ainsi, le cinéaste dépeint une famille (le père absent, le fils triste, la mère compatissante) brusquement frappée par la tragédie. Sans la révéler, la situation est déchirante parce qu'elle implique un sacrifice et l'on est surpris que Edwards l'expédie pour éviter de paraître trop démonstratif. C'est cruel mais c'est comme ça. Seulement, il semble avoir appliqué cette sécheresse à toutes les scènes qui vont suivre et, au final, son blockbuster manque de cœur.
Certes, on compte de belles références cinéphiles (Faust de Murnau, 2001 l'Odyssée de l'espace de Kubrick via la musique de György Ligeti) et on ne peut pas discuter les qualités de fabrication : le monstre est fantastique (et les surprises qui l'accompagnent aussi), certaines visions/effets se révèlent magiques et le climax brûle les yeux.
Mais pourquoi donc, en sortant de la salle, ce divertissement tient selon nous de la grosse déception ? Tout simplement parce que, si l'on excepte cette gestion des effets illustratifs, Godzilla 2014 échoue sur tout le reste : exposition laborieuse, scénario archi-conventionnel, bande-son hypertrophiée, dialogues sentencieux et explicites...
Enfin, au-delà du grand n'importe quoi scénaristique, il y a ce surmoi Spielberg assez problématique : l'amour de l'extraordinaire dans l'ordinaire, le chaos du monde et l'éclatement de la cellule familiale vécus par un enfant... On se souvient que dans The Impossible, Juan Antonio Bayona clamait ce même amour pour le cinéma du réalisateur de Jurassic Park mais l'expérience qu'il proposait était autrement plus immersive. Ici, à l'exception d'une séquence subjective et mémorable de saut en parachute tout en fumées rouges dans une mégapole en cendre, rien ou presque ne vibre. Les personnages, peu soutenus par leurs interprètes, n'existent pas et nous privent du plaisir de vibrer avec et pour eux. On se demande même si ce n'est pas fait exprès pour mettre en valeur la star Godzilla, elle, effectivement, géniale à chaque plan.
http://lci.tf1.fr/cinema/news/que-vaut- ... 18555.html
Que vaut le "Godzilla" 2014 ?
A priori, si ce reboot de "Godzilla" réalisé par Gareth Edwards s'autorise à sortir dans les salles françaises le jour de l'ouverture du Festival de Cannes 2014 (genre Godzilla versus Thierry Frémaux), c'est qu'il a, a priori, les moyens de son ambition. Enlevez la star (incroyable Godzilla) et le film ne ressemble à... pas grand-chose. Douche froide.
L'été dernier, Warner sortait Pacific Rim, de Guillermo Del Toro, un blockbuster sous influence des kaiju eiga, ces films de monstres géants nippons comme Godzilla, produits dans les années 50 par différents studios comme Toho, Daiei, Toei, Nikkatsu, Shochiku. L'idée consistait à montrer des monstres géants affrontant des robots géants dans un film tenant à la fois du fantastique et de la science-fiction. Et le résultat respectait ainsi les fantasmes d'un enfant de sept ans, en se mettant totalement à son niveau.
Cette année, Warner renoue avec le genre dans un reboot de Godzilla, plus de quinze ans après la version avec Jean Reno et Matthew Broderick que Roland Emmerich avait réalisée en 1998. Ce Godzilla 2014 soutenu par Legendary Pictures réunit Aaron Taylor-Johnson (Kick-Ass), Elizabeth Olsen (Martha Marcy May Marlene), Juliette Binoche, Ken Watanabe ou encore Bryan Cranston. L'intrigue n'est pas plus complexe que celle des films originels, à savoir l'irruption d'un monstre radioactif ravageant une mégalopole. C'est d'ailleurs le scénariste de The Dark Knight, David Goyer, qui a signé le script - Max Borenstein, Dave Callaham et Frank Darabont ayant successivement travaillé dessus.
Le réalisateur aux commandes n'est autre que Gareth Edwards. Son nom ne dit sans doute pas grand-chose. Pourtant, on lui doit un film hypnotique et beau: Monsters (4,2 millions de dollars au box-office avec seulement 500,000 dollars de budget). Un film d'autant plus étrange qu'il trompait sur la marchandise : en apparence, un énième film de monstres. En réalité, une histoire d'amour au romantisme fou.
On y croyait pourtant...
Autant le dire tout de suite : carburant au premier degré, respectant les codes tout en occultant le discours (dénoncer les essais nucléaires), ce Godzilla 2014 ne donne malheureusement pas la possibilité au réalisateur Gareth Edwards de développer toute la sensibilité perçue dans Monsters.
Sur le papier, le concept était séduisant : retrouver ce que l'on a aimé chez Gareth Edwards, cette science du hors-champ (montrer moins pour suggérer plus) et cette appétence pour la mélancolie contemplative (respecter les états d'âme et les errances mentales des personnages face à une catastrophe, une menace) dans le cadre d'une superproduction a fortiori déceptive (découvrir autre chose que ce que nous avions fantasmé, en mieux). C'est le Godzilla plein de spleen que l'on aurait aimé voir - et que la bande-annonce nous a d'ailleurs vendu, mais ce n'est pas le Godzilla qui est à l'écran.
Un divertissement spectaculaire, hyper-calibré, qu'il faut aller voir pour le «plaisir de l'instant».
Le premier quart d'heure, un flashback, fait illusion, renvoyant à l'économie de Gareth Edwards. Les scènes sont montées de manière à ce que le spectateur soit instantanément pris dans l'action, dans le vif du sujet. C'est clairement l'ambition. Ainsi, le cinéaste dépeint une famille (le père absent, le fils triste, la mère compatissante) brusquement frappée par la tragédie. Sans la révéler, la situation est déchirante parce qu'elle implique un sacrifice et l'on est surpris que Edwards l'expédie pour éviter de paraître trop démonstratif. C'est cruel mais c'est comme ça. Seulement, il semble avoir appliqué cette sécheresse à toutes les scènes qui vont suivre et, au final, son blockbuster manque de cœur.
Certes, on compte de belles références cinéphiles (Faust de Murnau, 2001 l'Odyssée de l'espace de Kubrick via la musique de György Ligeti) et on ne peut pas discuter les qualités de fabrication : le monstre est fantastique (et les surprises qui l'accompagnent aussi), certaines visions/effets se révèlent magiques et le climax brûle les yeux.
Mais pourquoi donc, en sortant de la salle, ce divertissement tient selon nous de la grosse déception ? Tout simplement parce que, si l'on excepte cette gestion des effets illustratifs, Godzilla 2014 échoue sur tout le reste : exposition laborieuse, scénario archi-conventionnel, bande-son hypertrophiée, dialogues sentencieux et explicites...
Enfin, au-delà du grand n'importe quoi scénaristique, il y a ce surmoi Spielberg assez problématique : l'amour de l'extraordinaire dans l'ordinaire, le chaos du monde et l'éclatement de la cellule familiale vécus par un enfant... On se souvient que dans The Impossible, Juan Antonio Bayona clamait ce même amour pour le cinéma du réalisateur de Jurassic Park mais l'expérience qu'il proposait était autrement plus immersive. Ici, à l'exception d'une séquence subjective et mémorable de saut en parachute tout en fumées rouges dans une mégapole en cendre, rien ou presque ne vibre. Les personnages, peu soutenus par leurs interprètes, n'existent pas et nous privent du plaisir de vibrer avec et pour eux. On se demande même si ce n'est pas fait exprès pour mettre en valeur la star Godzilla, elle, effectivement, géniale à chaque plan.
http://lci.tf1.fr/cinema/news/que-vaut- ... 18555.html
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Re: Godzilla (2014)
bizarre il est bien vu aux usa et la presse belge le défonce mais bon ça c'est un groupe d'aigris qui ne supporte plus du tout l'action dans un film
Re: Godzilla (2014)
Pas d accord avec cette crique Gouzzie ecrabouille tout bien au contraire ^^
Garçon.
"N'avez-vous donc point d'espoir ?" dit Finrod.
"Qu'est-ce que l'espoir ?" dit-elle. "Une attente du bien, qui, bien qu'incertaine, se fonde sur ce qui est connu ? Alors nous n'en avons pas."
"C'est là une chose que les Hommes appellent 'espoir'... "Amdir l'appelons-nous, 'expectation'. Mais il y a autre chose de plus profond. Estel l'appelons-nous.
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Re: Godzilla (2014)
itikar a écrit :Pas d accord avec cette crique Gouzzie ecrabouille tout bien au contraire ^^
Tu as été le voir?
Re: Godzilla (2014)
Oui hier soir et j ai bien aime
A part la jolie blonde qui fait deco ^^
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Garçon.
"N'avez-vous donc point d'espoir ?" dit Finrod.
"Qu'est-ce que l'espoir ?" dit-elle. "Une attente du bien, qui, bien qu'incertaine, se fonde sur ce qui est connu ? Alors nous n'en avons pas."
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Re: Godzilla (2014)
Fenrir a écrit :bizarre il est bien vu aux usa et la presse belge le défonce mais bon ça c'est un groupe d'aigris qui ne supporte plus du tout l'action dans un film
Après c'est une critique faite par le même type qui a adoré Pacific Rim.
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Re: Godzilla (2014)
Supernova a écrit :Fenrir a écrit :bizarre il est bien vu aux usa et la presse belge le défonce mais bon ça c'est un groupe d'aigris qui ne supporte plus du tout l'action dans un film
Après c'est une critique faite par le même type qui a adoré Pacific Rim.
lol bon bah cette personne, on peut pas y faire confiance
Re: Godzilla (2014)
Putain je peut enfin posté sur ce forum c'est pas trop tôt.
Je suis un fan inconditionnel du gros lézard japonais. Si le tyrannosaure est le rois des monstres,Godzilla en est le dieux.
Depuis le lycée je possède - je ne dirait pas comment - l'intégralité des films de Godzilla sortis par les Japonais.
Les 28 films en versions originale non sous titré.Et ayant appris avec enthousiasme qu'un nouveaux film était prévus j'ai donc décidé de me les repasser tous dans l'ordre de leur sortis cinématographique .
Une semaine plongé dans le noir a les regardé,a ne faire quasiment que sa.C'était mon premier marathon sur cette saga.
Et hier je suis allé voir ce nouveaux remake célébrant les soixante ans de création du lézard atomique.
Au niveaux du visuel et des effets spéciaux le film est génial ,merveilleusement bien mit en valeur par des Fx de qualité.
Mais je suis asser négatif vis a vis de lui.C'est au mieux un pétard mouillé sinon un foutage de gueule.
Je suis un fan inconditionnel du gros lézard japonais. Si le tyrannosaure est le rois des monstres,Godzilla en est le dieux.
Depuis le lycée je possède - je ne dirait pas comment - l'intégralité des films de Godzilla sortis par les Japonais.
Les 28 films en versions originale non sous titré.Et ayant appris avec enthousiasme qu'un nouveaux film était prévus j'ai donc décidé de me les repasser tous dans l'ordre de leur sortis cinématographique .
Une semaine plongé dans le noir a les regardé,a ne faire quasiment que sa.C'était mon premier marathon sur cette saga.
Et hier je suis allé voir ce nouveaux remake célébrant les soixante ans de création du lézard atomique.
Au niveaux du visuel et des effets spéciaux le film est génial ,merveilleusement bien mit en valeur par des Fx de qualité.
Mais je suis asser négatif vis a vis de lui.C'est au mieux un pétard mouillé sinon un foutage de gueule.
"Si tia l'poireau entre les jambes tu dois aimé les femmes, sinon c'est qu'tié pas normal"
Andréas A. 11 ans.
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Re: Godzilla (2014)
Le film prend un coup de massue
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Re: Godzilla (2014)
Je vais aller le voir mardi.
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Re: Godzilla (2014)
Fenrir a écrit :Le film prend un coup de massue
c'est à dire?
Re: Godzilla (2014)
monio a écrit :Mais je suis asser négatif vis a vis de lui.C'est au mieux un pétard mouillé sinon un foutage de gueule.
En quoi ?
De mon côté j ai au contraire apprécié qu ils ne tombent pas dans le piège de faire un film ou godzilla casse tout comme un énième succédané de Rampage.
Pour être honnête la fin est un peu du n'importe kawak c est vrai mais jusque la c était très bien.
Garçon.
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"N'avez-vous donc point d'espoir ?" dit Finrod.
"Qu'est-ce que l'espoir ?" dit-elle. "Une attente du bien, qui, bien qu'incertaine, se fonde sur ce qui est connu ? Alors nous n'en avons pas."
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Re: Godzilla (2014)
Le film est sorti vendredi aux USA, et petite surprise, il a fait plus de 38 millions de dollars pour son premier jour. Je dis surprise, car c'est par exemple plus que le dernier Captain America qui a fait 36 millions.
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Re: Godzilla (2014)
A GODZILLA Sequel Is In The Works!
After opening to $103M internationally — the biggest opening of 2014 so far — and grossing $93M domestic stateside this weekend, it should come as no surprise that Legendary Pictures and Warner Bros.‘ are already developing a sequel to the monster hit. It was confirmed to Deadline this morning that a Godzilla sequel is underway. The beast is currently stomping across international markets to take No. 1 spots in most territories.
Read more at http://www.comicbookmovie.com/fansites/ ... T2piU7O.99
After opening to $103M internationally — the biggest opening of 2014 so far — and grossing $93M domestic stateside this weekend, it should come as no surprise that Legendary Pictures and Warner Bros.‘ are already developing a sequel to the monster hit. It was confirmed to Deadline this morning that a Godzilla sequel is underway. The beast is currently stomping across international markets to take No. 1 spots in most territories.
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Re: Godzilla (2014)
Oui, gros succès commercial pour ce film, au final il fait un poil moins bien que Captain America.
US : $93,205,000 47.5%
+ Etranger : $103,000,000 52.5%
= Total : $196,205,000
US : $93,205,000 47.5%
+ Etranger : $103,000,000 52.5%
= Total : $196,205,000
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Re: Godzilla (2014)
Vraiment surprenant ce film, cette vision de Godzilla comme une "divinité". Ce film réussit là où Pacific Rim a échoué : nous en mettre plein la vue sans trop nous montrer (ce qu'à fait Pacific Rim) tout en gardant un sérieux permettant d'installer une ambience apocalyptique où l'humanité semble être sans prise face à Godzilla et aux Mothras (ce qu'à raté Pacific Rim).
La bande-annonce était très prometteuse, et chose rare, le film en était très fidèle. Rajouter à celà une direction artistique quasi-irréprochable (on pourrait toutefois noter quelques scènes de nuit un peu trop obscur), et l'on obtient un blockbuster d'une qualité assez rarement vu dans le genre.
La bande-annonce était très prometteuse, et chose rare, le film en était très fidèle. Rajouter à celà une direction artistique quasi-irréprochable (on pourrait toutefois noter quelques scènes de nuit un peu trop obscur), et l'on obtient un blockbuster d'une qualité assez rarement vu dans le genre.
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Re: Godzilla (2014)
ça donne envie
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Re: Godzilla (2014)
C'est plutôt un bon point je trouve. Marre de "l'obscurité à la PJ" !on pourrait toutefois noter quelques scènes de nuit un peu trop obscur
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Re: Godzilla (2014)
C'est comment l'obscurité chez PJ, du genre aussi clair que le jour ?
J'avoue avoir fait cette critique uniquement pour casser encore plus Pacific Rim, que Satan me pardonne.
SauronGorthaur a écrit :ça donne envie
J'avoue avoir fait cette critique uniquement pour casser encore plus Pacific Rim, que Satan me pardonne.
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Re: Godzilla (2014)
Presque .C'est comment l'obscurité chez PJ, du genre aussi clair que le jour ?
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Re: Godzilla (2014)
Le thème principal du film, par le français Alexandre Desplat :
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Re: Godzilla (2014)
Une belle réussite du film, et pour une fois je ne vais pas encenser une actrice mais un acteur, c'est Aaron Taylor-Johnson, plus connu pour avoir interprété Kick-Ass au cinéma et qui sera également prochainement Quicksilver dans Avenger : Age of Ultron.
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Re: Godzilla (2014)
l'actrice du film jouera Scarlet Witch sa soeur dans le prochain Avengers d'ailleurs inceste LOL?
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Re: Godzilla (2014)
Oh punaise ouai Elizabeth Olsen je l'ai même pas reconnu dans ce film.
Oué ils sont inséparables ces deux^^
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"La responsabilité d'un auteur est-elle de raconter des histoires moralement justes ? De faire plaisir aux fans ? Rien de tout ça. L'auteur n'a qu'une seule responsabilité : raconter des histoires qui lui ressemblent et auxquelles il croit." Story, Robert McKee
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Zelphalya
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Re: Godzilla (2014)
Je me suis ennuyée tout du long.
J'ai eu l'impression de voir un Pacific Rim mais en moins bien car on voit rien à cause de la brume et on ne peut même pas se consoler en rigolant un peu.
Les personnages ne servent à rien, ils m'ont saoulé.
Je ne veux pas trop en dire au risque de spoiler.
Ce film va beaucoup diviser je pense, j'ai entendu beaucoup de commentaires négatifs à la fin de la séance.
J'ai bien aimé Pacific Rim parce que je l'ai pas pris au sérieux, je voulais juste des belles images, c'était assez divertissant, mais là non c'était juste long...
J'ai eu l'impression de voir un Pacific Rim mais en moins bien car on voit rien à cause de la brume et on ne peut même pas se consoler en rigolant un peu.
Les personnages ne servent à rien, ils m'ont saoulé.
Je ne veux pas trop en dire au risque de spoiler.
Ce film va beaucoup diviser je pense, j'ai entendu beaucoup de commentaires négatifs à la fin de la séance.
J'ai bien aimé Pacific Rim parce que je l'ai pas pris au sérieux, je voulais juste des belles images, c'était assez divertissant, mais là non c'était juste long...
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Somewhere
- Tol Galen
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Re: Godzilla (2014)
Ah moi c'est le contraire, c'est Pacific Rim qui m'a gonflé.
Comme beaucoup ici...
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Godzilla 2 (renommé : Godzilla : King of Monsters)
Legendary confirme Gareth Edwards pour Godzilla 2
Son film Godzilla cartonne en salles, une suite est déjà annoncée, et on le propulse réalisateur du premier spin-off consacré à Star Wars. Mais cette dernière information tombée cette nuit laissait planer un doute quant à son implication dans Godzilla 2 (titre non défini).
Suite à l'annonce, Legendary Pictures, société co-productrice de Godzilla a rapidement réagi via son big boss Thomas Tull :
"Le talent de Gareth fait de lui l'un des réalisateurs les plus créatifs et visionnaires de sa génération. L'idée a toujours été qu'il fasse un autre film avant de nous lancer sur un second Godzilla, mais nous n'avions aucune idée qu'il se retrouverait sur un Star Wars ! Nous avons un plan génial à venir pour les fans de Godzilla, et j'ai vraiment hâte de voir l'emprunte de Gareth apposée sur l'univers Star Wars."
Au passage, Thomas Tull confirme donc que l'on devra attendre que Gareth Edwards ait bouclé son Star Wars pour le voir reprendre la caméra sur l'univers du roi des kaijus. On peut désormais s'attendre à une sortie en 2017, voire 2018.
http://www.syfantasy.fr/18738-Legendary ... Godzilla_2
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Somewhere
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Re: Godzilla 2
Mmmmh, autant j'ai trouvé son remake de Godzilla vraiment excellent, autant je ne trouve pas que ce film ai besoin d'une suite.
Mouai, mouai, mouai...
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tintaglia
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Re: Godzilla 2
Je ne suis pas certaine d'avoir vu Godzilla moi...
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