Dragon : L'histoire de Bruce Lee (de Rob Cohen)

[Somewhere]

Dragon : L'histoire de Bruce Lee est un film autobiographique américain, sorti le 7 mai 1993 aux Etats-Unis et le 23 juin 1993 en France. Le film adapte le roman Bruce Lee : The Man Only I Knew de Linda Lee Cadwell, qui fut la femme de Bruce Lee de 1964 à 1973, année de la mort précoce du maître en arts martiaux, et Robert Clouse, réalisateur américain qui révéla Bruce Lee au monde entier avec le film Opération Dragon.

Hong Kong, en 1949. Lee Jun Fan, âgé de neuf ans, et surnommé « Petit Dragon », car né l'année du dragon dans le calendrier chinois, est initié au kung-fu par son père. Son comportement rebelle et querelleur, associé à ses compétences en combat hors-norme, lui vaut d'être recherché par la police à vingt ans suite à une grosse bagarre. Son père le renvoie alors aux États-Unis, son pays de naissance, son père étant une star d'un opéra chinois, et fut en tournée en Californie lors de la naissance de son fils. Lee occupe alors un modeste emploi de plongeur dans un restaurant pour gagner sa vie en Amérique. Il change ensuite de nom pour s'appeler Bruce Lee, afin de faire plus américain, et s'inscrit à l'université. Très populaire, il y enseigne le kung-fu à de jeunes étudiants, dont une jeune Américaine, Linda Cadwell, qu'il épousera par la suite malgré l'opposition de la mère de la jeune femme, dans un pays très marqué par le racisme envers les asiatiques. Il décide ensuite d'ouvrir sa propre école d'arts martiaux à Oakland, mais cela n'est pas au goût de ses aînés, qui n'acceptent pas qu'il livre ses secrets aux non-asiatiques...



Réalisé par Rob Cohen, le rôle principal du film fut à l'origine proposé à Brandon Lee, le fils de Bruce Lee, mais celui-ci refusa. C'est finalement Jason Scott Lee, un acteur hawaïen spécialiste en arts martiaux, qui inteprêtera la légende pour son premier rôle marquant pour le cinéma. Brandon Lee tournera finalement la même année dans The Crow, avec le destin tragique qu'on lui connait... Le film de Rob Cohen lui sera d'ailleurs dédié.



A noter que le deuxième enfant de Bruce Lee, Shannon, joue un petit rôle dans le film. Dragon : L'histoire de Bruce Lee rencontre un beau succès à sa sortie en salle, avec près de 60 millions de dollars de recettes dans le monde.

[Somewhere]

A ceux qui veulent découvrir Bruce Lee avec ce film, ce n'est pas forcément la bonne option, je ne connais pas la vraie histoire de l'acteur, mais des rares commentaires que j'ai vu sur ce film, et de ce que j'en ai vu hier soir, c'est quand même une adaptation très macdonaldisé, avec des romances culculapraline et des rajouts assez invraisemblables. Reste des références assez passionnantes à la carrière cinématographique de l'acteur, on revit ainsi les tournages de certaines séries et films dans lesquels il a joué, comme Le Frelon vert, The Big Boss ou Opération Dragon.

[Náin]

Ah oui du grand artiste cubique

[Scarabéaware]

Oui évidemment vaut mieux certainement voir ses films d'arts martiaux . Et de Rob Cohen moi faudra que je vois son Coeur de Dragon qu'il aura fait 3 ans après passant d'un dragon à un autre .

[Somewhere]

Et de Rob Cohen moi faudra que je vois son Coeur de Dragon qu'il aura fait 3 ans après passant d'un dragon à un autre .

Il a fait La Tombe de l'Empereur Dragon aussi, il doit aimer les dragons.

[Náin]

Et de Rob Cohen moi faudra que je vois son Coeur de Dragon qu'il aura fait 3 ans après passant d'un dragon à un autre .

c'est son seul bon film alors effectivement...

[itikar]

Dragon est un de mes films préférés, et ce, ok même si c'est évidemment romancé ... Il y a une très bonne mise en scène, et les acteurs s'en tirent bien je trouve.
Quand je l'ai vu ado, la jolie fiancée m'avait pas mal marqué aussi, ça a du aider à le faire grimper dans mon palmarès certes

[Somewhere]

et les acteurs s'en tirent bien je trouve.

En VO alors, parcque la VF bon dieu, quelle misère, que de caricatures, de clichés dans les dialogues et les façons de parler, on se serait cru dans une sitcom AB Productions...

[itikar]

Elles ont étonnement pas si mal vieilli je trouve d autant que le surjeu mal joué fait partie intégrale de l expérience de ces séries et elles ne peuvent donc être comparés qu avec elles mêmes

Le leur critiquer reviendrait à reprocher à Scary Movie de ne pas faire aussi peur que Scream