le plus connu de John Ford et un des plus connus, tout simplement. 
La famille d'Aaron Edwards est decimée par une bande de Commanches qui attaquent son ranch et enlèvent ses deux fillettes. Ethan, le frère d'Aaron, découvre le drame et se lance sur les traces des ravisseurs avec deux autres compagnons.
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. . Sinon tu nous relèves de bon petits points pour ce film, et on peut dire que ça donne vraiment bien dans la réconciliation pour toi .. 
Náin a écrit :et bien ce "jeu d'ombre" en réalité c'est une porte. La porte de la maison certes mais aussi l'écran de la salle de cinéma (car on parle bien de cinéma, on est sur autre chose que du streaming) qui s'ouvre sur l'Ouest, sur la Monument Valley, décors préféré de Ford que le réalisateur a installé comme lieu iconique et indissociable de l'imaginaire western. C'est pas juste sur la Monument Valley que s'ouvre cette porte, mais sur l'imaginaire du western, sur la légendaire Ouest, en somme. Nous spectateurs nous sommes à l'intérieur de la salle, à l'intérieur de la maison, on est encore en dehors de cette ouest jusqu'à ce que le réal nous invite à y entrer. Et tandis que le premier personnage est d'abord dans la salle avec nous avant d'en sortir, il en est un autre qui n'aura jamais le droit de nous rejoindre et qui restera enfermé dans cet imaginaire, ce film, cette ouest sauvage,c 'est le perso de john Wayne. Il est là, il sauve la fille, mène l'action, mais il reste un personnage dans tous les sens du terme, il n'a pas le droit de s'échapper du film. Car il est un personnage, il est indissociable du décors dans lequel il vit et évolue, le décors de l'Ouest, la légendaire Ouest. C'est un personnage imaginaire, une légende qui ne peut s'en échapper. Lorsqu'il arrive il fait partie du décors, il fait partie du film. Et quand celui-ci se termine, il n'entre pas dans la maison, la porte se ferme sur lui, il ne peut pas y entrer car il est une légende de l'Ouest à jamais imaginaire. C'est lui le prisonnier du désert en fin de compte.
Voilà, Ford a en deux plan placé le Western comme imaginaire fabuleux, incontournable, merveilleux et légendaire.
Et que dire de cette réplique de Wayne lorsqu'il récupère enfin la fille, que chaque spectateur craignait qu'il ne l'assassine plutôt que de la voir indienne, et que toute sa mentalité, ses discours et ses positions s'effacent dans un élan d'émotion, en revoyant ce visage.
Tom bombadill a écrit :
grâce a toi je viens d'apprendre que ma mère est une fan des westerns Américains et elle ma conseiller de regarder "Le train sifflera trois fois" tu pense que je devrais le rajouter sur ma liste ?
. . En tout cas on a une recherche qui met un sacré bout de temps, ça fait passer quelques sales hivers comme ça avant de mettre la main sur la bonne tribu de Commanches. On peut dire que c'est simple mais tout en efficacité, en tout cas ça prend un bon temps à bien poser tout ceci, et qu'on ait de quoi bien voir pour le dur au cœur tendre qui face à la question de l'embrigadement à tendance à se montrer bien radical , mais finit par prendre une atténuation au final et puis au moins elle est pas complètement à la masse comme d'autres victimes 
. On a de la mission de sauvetage effectuée en bonne et due forme avec ça, enfin ça n'aura pas été sans pertes avec la vengeance au cœur et aussi sans peine je dirais avec une attente qui se sera bien fait longue pour une jeune femme. On a de quoi admirer une belle lutte pour elle . Enfin voila, ça aura été un bon plaisir que de découvrir cette réalisation de John Ford avec ce grand pilier du western qu'est John Wayne .. 
. Merci bien le type.... 
Scarabéaware a écrit :Tiens merci pour les anecdotes, évidemment ils auront adouci par rapport au livre. Par contre ouille pour la tentative de viol, heureusement que y avait Olive Carey pour veiller au grain, sinon on aurait eu de la sale affaire là
Tiens, y a t-il un sujet sur cette émission "La Dernière Séance" 
Tiens, y a t-il un sujet sur les différents formats (Cinémascope, etc. ) ? Et l'image (l'aspect, le grain) de la B.A. en bonus est différente que celle du film 
SeliCat a écrit :Tiens, y a t-il un sujet sur les différents formats (Cinémascope, etc. ) ?
viewtopic.php?f=846&t=11829&p=869501&hilit=formats+cin%C3%A9ma#p869501 ZORRO a écrit :Scarabéaware a écrit :Tiens merci pour les anecdotes, évidemment ils auront adouci par rapport au livre. Par contre ouille pour la tentative de viol, heureusement que y avait Olive Carey pour veiller au grain, sinon on aurait eu de la sale affaire là
Ward Bond avait pour habitude de dire "qu'il ne comprendrait jamais les hommes qui se marient" (lassitude dans le couple, ennui, que faire quand la dame ne veut pas le soir ?). Il le dira même au second divorce de John WAYNE en témoignant pour lui ("moi je suis un vieux garçon et j'ai bien l'intention de le rester...").
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