Les dernières rumeurs émanant du site TV Line parlent d'une Carrie (Claire Danes) très différente et travaillant sous couverture à Beyrouth pour un job surveillé par la CIA. Quand à Nicholas Brody (Damian Lewis), il rencontrera une magnifique femme du Moyent-Orient qui lui imposera un ultimatum.
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Homeland (série TV)
Re: Homeland
Selon Gideon Raff, la série aura une connection encore plus nette avec la fiction dont elle s'inspire : "Il y aura un léger saut dans le temps. Nous commencons le tournage de la saison 2 de Homeland dans trois semaines en Israël avec l'équipe de tournage d'Hatufim. Il y aura des choses qui se passent dans la saison 2 de Hatufim que nous retrouverons dans la saison 2 de Homeland. La nouvelle année de Homeland va en quelque sorte
Les dernières rumeurs émanant du site TV Line parlent d'une Carrie (Claire Danes) très différente et travaillant sous couverture à Beyrouth pour un job surveillé par la CIA. Quand à Nicholas Brody (Damian Lewis), il rencontrera une magnifique femme du Moyent-Orient qui lui imposera un ultimatum.
Les dernières rumeurs émanant du site TV Line parlent d'une Carrie (Claire Danes) très différente et travaillant sous couverture à Beyrouth pour un job surveillé par la CIA. Quand à Nicholas Brody (Damian Lewis), il rencontrera une magnifique femme du Moyent-Orient qui lui imposera un ultimatum.
"L'art serait inutile si le monde était parfait."
Tarkovski
"La culture n'est pas un luxe, c'est une nécessité."
Gao Xinjiang
Tarkovski
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Re: Homeland
Affiche saison 2
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Re: Homeland
Diffusion du premier épisode en France le jeudi 13 septembre à 20h 40 sur Canal plus
Modifié en dernier par Duramou le mar. août 21, 2012 10:49 pm, modifié 1 fois.
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Re: Homeland
Son regard azur et son sourire franc lui donnent l'air d'un GI de légende, de ceux à qui tout réussit. Il s'appelle Brody (Damian Lewis) et il revient au pays après un voyage au bout de l'enfer - envoyé en Irak et capturé, il est resté otage pendant huit ans. Le jour, on le porte en triomphe, les caméras le guettent, les enfants l'adulent ; la nuit, il sanglote dans son lit, torturé par d'indicibles cauchemars.
Elle s'appelle Carrie (Claire Danes), elle est agente de la CIA, elle a la maigreur nerveuse et le regard hanté. Personne, pourtant, ne soupçonne qu'elle est bipolaire : si sa hiérarchie le découvrait, elle serait renvoyée. Carrie a une conviction, qui vire à l'obsession : Brody, l'idole de tout un pays, le symbole d'une Amérique qui résiste aux terroristes, a été "retourné", elle en est sûre. Pour survivre à sa détention, il est devenu islamiste. Revenu parmi les siens, il prépare benoîtement un attentat de grande ampleur. L'hypothèse ne manque pas d'attrait. Seulement voilà : quand Carrie ne prend pas ses médicaments, elle sombre dans le délire, la paranoïa. Ses soupçons sont-ils fondés ou le fruit de son esprit malade ? Brody est-il un dangereux terroriste ou un vétéran irréprochable ?
Accro
Pour avoir la réponse, il n'y a guère qu'une solution : regarder Homeland, la série-événement de la rentrée (sur Canal+ tous les jeudis soir dès septembre). Et disons-le d'emblée : commencer Homeland, c'est devenir accro. Impossible de se contenter de tremper le pied dans ce marécage de faux-semblants, il faut y plonger tout entier. "Carrie et Brody sont les deux facettes d'une même médaille, explique le producteur exécutif Howard Gordon. À travers eux se pose la question : quelles sont les conséquences de la guerre contre le terrorisme ? Jusqu'où un pays est-il prêt à aller pour se défendre ? Quelles peurs, quels secrets cultive-t-il en son sein ?" Déjà vu, pensez-vous peut-être, puisque ces problématiques apparaissaient dans 24 heures chrono, une série en partie écrite par le même Howard Gordon et son coscénariste Alex Gansa. Erreur ! Malgré un suspense à couper le souffle, Homeland est très loin des aventures de Jack Bauer, qui tenaient avant tout du thriller gonflé à la testostérone.
"Au départ, on craignait que les gens soient lassés de ce sujet, reconnaît Howard Gordon. Franchement, Alex et moi risquions nous-mêmes l'overdose. Mais Jack Bauer avait fait son apparition juste après le 11 Septembre, comme un shérif contre les méchants, une réponse immédiate à la menace terroriste. Or, Homeland permet d'aborder une période plus complexe. Depuis dix ans, le pays a connu la guerre sur deux fronts - en Irak et en Afghanistan - et la mort de Ben Laden... Il n'y a plus la même ligne de partage bien nette entre le bien et le mal..." D'où ce fameux leitmotiv de l'ennemi de l'intérieur. Brody, avec sa petite famille, son barbecue et son drapeau américain dans le jardin, est un citoyen au-dessus de tout soupçon, autant dire un suspect terrifiant. D'où, aussi, un rythme moins frénétique que celui de 24 heures chrono, qui laisse le temps d'installer un univers ambigu, sans manichéisme.
Transposition
Car la force de Homeland - outre son incroyable efficacité dramatique -, c'est la complexité de ses personnages. Brody le soldat est aussi un homme brisé, incapable - lorsqu'il reprend la vie conjugale - de retrouver une intimité avec sa femme : il se jette sur elle avec la maladresse d'un débutant et la brutalité d'un violeur dans une scène qui va à l'encontre de tous les stéréotypes hollywoodiens autour de la représentation de la sexualité. "Cette scène nous a été suggérée par Hatufim, explique Howard Gordon, et par son traitement de la situation délicate des prisonniers de guerre, qui ne sont plus les mêmes quand ils rentrent chez eux, traumatisés par leurs années de détention". Hatufim, c'est la série israélienne qui a inspiré Homeland, "un drame psychologique avant tout", explique son créateur, Gideon Raff, qui a participé à la délicate transposition dans un contexte américain. "Nous sommes un petit pays, poursuit l'Israélien, nous avons un rapport d'intimité avec nos prisonniers. On voit leurs photos à la télévision, on a l'impression que ce sont nos enfants. Aux États-Unis, quand les soldats en Irak ou en Afghanistan sont tués, ce sont juste des cercueils identiques qui rentrent au pays."
Pétri par la réalité locale, Hatufim est donc le portrait de prisonniers qui se réadaptent à la vie normale, tandis que Homeland repose entièrement sur un mystère digne des meilleurs films d'espionnage. Parce que personne d'autre qu'elle ne le soupçonne, Carrie surveille Brody, tente de gagner sa confiance... Est-elle géniale ou folle ? Difficile de répondre : avec sa beauté sévère et sa souffrance tue, Carrie n'a rien d'une héroïne de télévision classique. Howard Gordon le reconnaît volontiers : "C'était un vrai problème de savoir si le spectateur l'accepterait comme personnage principal. Dans une première version du pilote, quand Carrie interrogeait Brody, elle ratait l'interrogatoire. Le public-test réagissait très mal. En fait, Carrie pouvait avoir tous les défauts du monde, et même un grave problème de santé mentale. Mais elle ne pouvait pas être mauvaise dans son travail. On a modifié la scène. Ça a été une grande leçon."
De fait, Homeland est une leçon. Leçon d'écriture que tous les apprentis scénaristes devraient méditer, et leçon de dramaturgie politique, cet art éminemment américain. Si Howard Gordon n'avait pas trouvé du travail à Hollywood, il se serait installé à Washington. "J'aurais voulu faire de la politique", explique-t-il, nostalgique de ses rêves de jeunesse. Regrets inutiles : il en fait déjà.
Elle s'appelle Carrie (Claire Danes), elle est agente de la CIA, elle a la maigreur nerveuse et le regard hanté. Personne, pourtant, ne soupçonne qu'elle est bipolaire : si sa hiérarchie le découvrait, elle serait renvoyée. Carrie a une conviction, qui vire à l'obsession : Brody, l'idole de tout un pays, le symbole d'une Amérique qui résiste aux terroristes, a été "retourné", elle en est sûre. Pour survivre à sa détention, il est devenu islamiste. Revenu parmi les siens, il prépare benoîtement un attentat de grande ampleur. L'hypothèse ne manque pas d'attrait. Seulement voilà : quand Carrie ne prend pas ses médicaments, elle sombre dans le délire, la paranoïa. Ses soupçons sont-ils fondés ou le fruit de son esprit malade ? Brody est-il un dangereux terroriste ou un vétéran irréprochable ?
Accro
Pour avoir la réponse, il n'y a guère qu'une solution : regarder Homeland, la série-événement de la rentrée (sur Canal+ tous les jeudis soir dès septembre). Et disons-le d'emblée : commencer Homeland, c'est devenir accro. Impossible de se contenter de tremper le pied dans ce marécage de faux-semblants, il faut y plonger tout entier. "Carrie et Brody sont les deux facettes d'une même médaille, explique le producteur exécutif Howard Gordon. À travers eux se pose la question : quelles sont les conséquences de la guerre contre le terrorisme ? Jusqu'où un pays est-il prêt à aller pour se défendre ? Quelles peurs, quels secrets cultive-t-il en son sein ?" Déjà vu, pensez-vous peut-être, puisque ces problématiques apparaissaient dans 24 heures chrono, une série en partie écrite par le même Howard Gordon et son coscénariste Alex Gansa. Erreur ! Malgré un suspense à couper le souffle, Homeland est très loin des aventures de Jack Bauer, qui tenaient avant tout du thriller gonflé à la testostérone.
"Au départ, on craignait que les gens soient lassés de ce sujet, reconnaît Howard Gordon. Franchement, Alex et moi risquions nous-mêmes l'overdose. Mais Jack Bauer avait fait son apparition juste après le 11 Septembre, comme un shérif contre les méchants, une réponse immédiate à la menace terroriste. Or, Homeland permet d'aborder une période plus complexe. Depuis dix ans, le pays a connu la guerre sur deux fronts - en Irak et en Afghanistan - et la mort de Ben Laden... Il n'y a plus la même ligne de partage bien nette entre le bien et le mal..." D'où ce fameux leitmotiv de l'ennemi de l'intérieur. Brody, avec sa petite famille, son barbecue et son drapeau américain dans le jardin, est un citoyen au-dessus de tout soupçon, autant dire un suspect terrifiant. D'où, aussi, un rythme moins frénétique que celui de 24 heures chrono, qui laisse le temps d'installer un univers ambigu, sans manichéisme.
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Car la force de Homeland - outre son incroyable efficacité dramatique -, c'est la complexité de ses personnages. Brody le soldat est aussi un homme brisé, incapable - lorsqu'il reprend la vie conjugale - de retrouver une intimité avec sa femme : il se jette sur elle avec la maladresse d'un débutant et la brutalité d'un violeur dans une scène qui va à l'encontre de tous les stéréotypes hollywoodiens autour de la représentation de la sexualité. "Cette scène nous a été suggérée par Hatufim, explique Howard Gordon, et par son traitement de la situation délicate des prisonniers de guerre, qui ne sont plus les mêmes quand ils rentrent chez eux, traumatisés par leurs années de détention". Hatufim, c'est la série israélienne qui a inspiré Homeland, "un drame psychologique avant tout", explique son créateur, Gideon Raff, qui a participé à la délicate transposition dans un contexte américain. "Nous sommes un petit pays, poursuit l'Israélien, nous avons un rapport d'intimité avec nos prisonniers. On voit leurs photos à la télévision, on a l'impression que ce sont nos enfants. Aux États-Unis, quand les soldats en Irak ou en Afghanistan sont tués, ce sont juste des cercueils identiques qui rentrent au pays."
Pétri par la réalité locale, Hatufim est donc le portrait de prisonniers qui se réadaptent à la vie normale, tandis que Homeland repose entièrement sur un mystère digne des meilleurs films d'espionnage. Parce que personne d'autre qu'elle ne le soupçonne, Carrie surveille Brody, tente de gagner sa confiance... Est-elle géniale ou folle ? Difficile de répondre : avec sa beauté sévère et sa souffrance tue, Carrie n'a rien d'une héroïne de télévision classique. Howard Gordon le reconnaît volontiers : "C'était un vrai problème de savoir si le spectateur l'accepterait comme personnage principal. Dans une première version du pilote, quand Carrie interrogeait Brody, elle ratait l'interrogatoire. Le public-test réagissait très mal. En fait, Carrie pouvait avoir tous les défauts du monde, et même un grave problème de santé mentale. Mais elle ne pouvait pas être mauvaise dans son travail. On a modifié la scène. Ça a été une grande leçon."
De fait, Homeland est une leçon. Leçon d'écriture que tous les apprentis scénaristes devraient méditer, et leçon de dramaturgie politique, cet art éminemment américain. Si Howard Gordon n'avait pas trouvé du travail à Hollywood, il se serait installé à Washington. "J'aurais voulu faire de la politique", explique-t-il, nostalgique de ses rêves de jeunesse. Regrets inutiles : il en fait déjà.
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Re: Homeland
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Re: Homeland
ETonline vient de dévoiler le prologue de la saison 2 de Homeland qui est censée se passer entre la fin de la saison 1 et le début de la prochaine saison. Et quelle surprise de voir Brody et Carrie réunis dans la même pièce.A l’approche du début de la saison 2 de Homeland, ETonline nous dévoile donc la scène prologue de la saison 2 de la série de Showtime, puisqu’elle est censée se trouver entre la fin de la saison 1 et le début de la prochaine saison. Une scène qui nous permet de voir que malgré les évènements de la première saison, Brody (Damian Lewis) semble toujours tenir à Carrie (Claire Danes).Dans ce prologue, nous retrouvons donc Carrie dans sa chambre d’hôpital, trois mois après les évènements du dernier épisode de la saison 1. Elle semble avoir oublié tous ses doutes sur la véritable personnalité de Brody, à cause de sa thérapie de choc. Aura-t-elle retrouvé la mémoire dans le premier épisode de la prochaine saison de Homeland ?
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Re: Homeland
Ben zut ! La vidéo prologue à la saison 2 a disparu.
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Re: Homeland
Duramou a écrit :Diffusion du premier épisode en France le jeudi 13 septembre à 20h 40 sur Canal plus
Il semble qu'il y ait trois épisodes par soirée.
A raison de douze épisodes, cela ne prendra que 4 semaines pour diffuser la première saison.
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Re: Homeland
Sur le coffret DVD de la saison 1 qui sort fin octobre, il y aura plusieurs scènes coupées et une fin alternative.
Alors pour les scènes coupées, ok, mais pour la fin alternative, je dis NON ! Surtout que la saison 2 aura commencée...
J'espère que ce ne sera pas du gros n'importe quoi.
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Re: Homeland
L'épisode pilote de la version israélienne de Homeland. Hatufim.
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Re: Homeland
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Re: Homeland
La fiction diffusée sur Showtime raconte l’histoire du sergent Nicholas Brody, un soldat détenu pendant 8 ans en Irak qui rentre en héros au pays, éveille les soupçons de Carrie Mathison, un agent de la CIA.Un pitch sommes toute assez banal, et pourtant cette série captive et intrigue au fil des épisodes.
On entre dans l’action dès le départ et on comprend de suite l’intrigue principale. Pour autant, Homeland ne nous présente pas un déroulé d’actions comme on peut s’y attendre à la lecture du pitch, ou comme on a pu le voir dans des séries comme Alias ou 24h chrono.
Loin de se réduire au simple avancement de l’enquête, elle nous entraine dans une boucle d’interrogations permanentes, soulevant des doutes à chaque épisode grâce à des révélations et un mélange méthodique d’intrigues.
On se retrouve face aux difficultés des deux personnages : d’un côté le sergent Brody( Damian Lewis - l’inspecteur Charlie Crews dans Life) très largement touchés par ces années de captivité, qui doit assumer ces récentes responsabilités de héros de guerre américains, retrouver sa famille et faire face à son meilleur ami qui manifestement n’a pas que soutenu sa femme (Morena Barracin)…
De l’autre, Carrie Mathison (Claire Danes) l’héroine de la série, qui se retrouve seule à soutenir une théorie au sein de la CIA, et qui au fil des épisodes apparaît de plus en plus fragile et instable, prenant des médicaments ….
On l’aura compris, le jeu d’acteur de ces deux héros est véritablement la force de la série, chacun dans leurs styles ils détonnent et apportent une dimension psychologique attachante et parfois troublante.
Au delà des personnages, Homeland surmonte habilement les stéréotypes des séries à contenance « politique », pas de retournement de situation ou révélations prévisibles, que du soudain et de l’inattendu. Quelque soit la gravité du fait révélé, on reste sur le même ton, la même considération, si bien que le spectateur se créer des doutes aussi vite qu’il les oublie.
La saison 1 impose cette série comme l’une des meilleures du moment, on attend avec impatience la saison 2…
Après les deux récompenses obtenues au Golden Globes (meilleure série dramatique de l’année et meilleure actrice pour Claire Danes), Claire Danes est nominée pour les Emmy Awards…
On entre dans l’action dès le départ et on comprend de suite l’intrigue principale. Pour autant, Homeland ne nous présente pas un déroulé d’actions comme on peut s’y attendre à la lecture du pitch, ou comme on a pu le voir dans des séries comme Alias ou 24h chrono.
Loin de se réduire au simple avancement de l’enquête, elle nous entraine dans une boucle d’interrogations permanentes, soulevant des doutes à chaque épisode grâce à des révélations et un mélange méthodique d’intrigues.
On se retrouve face aux difficultés des deux personnages : d’un côté le sergent Brody( Damian Lewis - l’inspecteur Charlie Crews dans Life) très largement touchés par ces années de captivité, qui doit assumer ces récentes responsabilités de héros de guerre américains, retrouver sa famille et faire face à son meilleur ami qui manifestement n’a pas que soutenu sa femme (Morena Barracin)…
De l’autre, Carrie Mathison (Claire Danes) l’héroine de la série, qui se retrouve seule à soutenir une théorie au sein de la CIA, et qui au fil des épisodes apparaît de plus en plus fragile et instable, prenant des médicaments ….
On l’aura compris, le jeu d’acteur de ces deux héros est véritablement la force de la série, chacun dans leurs styles ils détonnent et apportent une dimension psychologique attachante et parfois troublante.
Au delà des personnages, Homeland surmonte habilement les stéréotypes des séries à contenance « politique », pas de retournement de situation ou révélations prévisibles, que du soudain et de l’inattendu. Quelque soit la gravité du fait révélé, on reste sur le même ton, la même considération, si bien que le spectateur se créer des doutes aussi vite qu’il les oublie.
La saison 1 impose cette série comme l’une des meilleures du moment, on attend avec impatience la saison 2…
Après les deux récompenses obtenues au Golden Globes (meilleure série dramatique de l’année et meilleure actrice pour Claire Danes), Claire Danes est nominée pour les Emmy Awards…
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Re: Homeland
Ma mère a vu le premier épisode de Homeland et elle a été conquise par la série ( elle qui pourtant déteste souvent les séries américaines )
Mais connaissant ses goûts surtout orientés thriller, je me demande si ça pourrait me plaire de même, en tout cas ça commence à m'intriguer
Mais connaissant ses goûts surtout orientés thriller, je me demande si ça pourrait me plaire de même, en tout cas ça commence à m'intriguer
Qu'importe la destination c'est le voyage qui compte
Notre histoire deviendra légende
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Re: Homeland
Tu as lu ce que j'avais écrit sur la série précédemment ?
Tant mieux si ça COMMENCE à t'intriguer et que tu te mets à la regarder. Elle est de grande qualité.
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Re: Homeland
Hier soir, Canal + lançait sa nouvelle série Homeland. Saluée tant par la critique que par le public, cette nouveauté portée par Claire Danes et Damian Lewis (Life) a réalisé un véritable carton d’audience sur la chaîne cryptée, puisqu’elle a passionné pas moins de …
…1,3 million d’abonnés pour 25,8 % de part de marché, annonce fièrement Canal + sur son site Internet.
Il faut dire que la presse était unanime sur la qualité de cette série, lancée à la rentrée dernière aux Etats-Unis. Lors des derniers Golden Globes, Homeland a raflé celui de la meilleure série dramatique et de la meilleure actrice dans une comédie dramatique pour Claire Danes, tandis que Damian Lewis était lui nommé dans la catégorie Meilleur acteur dans une série dramatique. De plus, elle est nommé cette année pour les Emmy Awards dans ces trois mêmes catégories…
Imaginée par deux scénaristes de la série 24, Homeland débute après la libération de Nicholas Brody, un militaire américain, qui a passé plusieurs années aux mains d’Al Qaida. Ce dernier revient aux Etats-Unis et est accueilli en héros par tous…sauf par Carrie Mathison, une agent de la CIA persuadée que Brody travaille désormais pour Al Qaida et qu’il prépare un attentat. Seul problème, elle est désespérément la seule à penser qu’il est un traître…
…1,3 million d’abonnés pour 25,8 % de part de marché, annonce fièrement Canal + sur son site Internet.
Il faut dire que la presse était unanime sur la qualité de cette série, lancée à la rentrée dernière aux Etats-Unis. Lors des derniers Golden Globes, Homeland a raflé celui de la meilleure série dramatique et de la meilleure actrice dans une comédie dramatique pour Claire Danes, tandis que Damian Lewis était lui nommé dans la catégorie Meilleur acteur dans une série dramatique. De plus, elle est nommé cette année pour les Emmy Awards dans ces trois mêmes catégories…
Imaginée par deux scénaristes de la série 24, Homeland débute après la libération de Nicholas Brody, un militaire américain, qui a passé plusieurs années aux mains d’Al Qaida. Ce dernier revient aux Etats-Unis et est accueilli en héros par tous…sauf par Carrie Mathison, une agent de la CIA persuadée que Brody travaille désormais pour Al Qaida et qu’il prépare un attentat. Seul problème, elle est désespérément la seule à penser qu’il est un traître…
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Re: Homeland
J'ai vu les 3 épisodes sur Canal, très très intéressant. Damian Lewis est vraiment impressionnant même Claire Danes s'en sort pas mal, ce qui était loin d'être évident vu les souvenirs que j'avais d'elle dans différents films.
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Jackson Healy: What?
Holland March: Guy without his balls. A Munich.
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Re: Homeland
Sinon contente que la série t'ait convaincu !
Clare Danes, j'était méfiante aussi et je ne comprenais pas les prix d'interprétation qu'elle a reçus mais en visionnant Homeland, il fuat bien reconnaître qu'elle défend bien son personnage.
Tu vas regarder la suite ?
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Re: Homeland
J'adore ta photo de TBBT
Je n'ai pas trouvé de photo de Sheldon Cooper qui lui rende justice. Mais Howard est grand.
Tu vas regarder la suite ?
Œuf curse, oui je suis bilingue.
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Re: Homeland
Sheldon est un être à part
Tu vas voir, en regardant la suite de la série, tu ne vas pas être déçu. Une copine m'a dit que c'était tellement addictif, qu'elle a regardé toute la saison 1 à la suite quasiment.
mie tout
Tu vas voir, en regardant la suite de la série, tu ne vas pas être déçu. Une copine m'a dit que c'était tellement addictif, qu'elle a regardé toute la saison 1 à la suite quasiment.
je suis bilingue.
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Re: Homeland
Sheldon est un être à part
Il te répondra qu'il est trop évolué pour l'espèce humaine.
Quelle évolution
Allez hop finie la digression sur TBBT, sinon on va pas s'en sortir.
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Re: Homeland
Je ne vois pas ta seconde photo
La deuxième saison du thriller politique diffusé sur Showtime aux Etats-Unis a engagé les acteurs Zuleikha Robinson et Rupert Friend pour de nouveaux rôles.
En 2011, "Homeland" a reçu deux Golden Globes : celui de la meilleure série dramatique et celui de la meilleure actrice pour Claire Danes. Des récompenses largement méritées aux vues des qualités artistiques d'une fiction qui n'a pas froid aux yeux. A l'occasion de la deuxième saison diffusée dès le 30 septembre outre-Atlantique, les producteurs de la chaîne Showtime ont engagé deux nouvelles têtes d'affiche pour pimenter les intrigues : Zuleikha Robinson et Rupert Friend.
Tout le monde est en danger
La première incarnera une journaliste du nom de Roya Hammad qui aura un lien avec le terroriste Abu Nazir (Navid Negahban). Le personnage sera également impliqué dans la vie du héros Nicholas Brody (Damian Lewis) puisqu'elle lui imposera un ultimatum. Selon Alex Ganza, le co-créateur de "Homeland", le personnage est une manipulatrice : "Elle manie le mensonge à la perfection et sa couverture de reporter lui donne accès à tout le monde" explique-t-il aux micros Entertainment Weekly. Zuleikha Robinson a été aperçue précédemment dans "Rome", "X-Files : aux frontières du réel" et "Lost".
De son côté, Rupert Friend interprètera l'agent de la CIA Peter Quinn. Alex Ganza précise que l'arrivée de ce nouveau personnage ne créera pas une romance potentielle avec Carrie Mathison (Claire Danes) et que ce nouveau personnage sera en fait un antagoniste pour la jeune femme. Le responsable de "Homeland" prévient également les fans : "Ce que j'ai appris de mon expérience sur "24 heures chrono", c'est qu'il faut se débarrasser des personnages quand leur histoire a fini d'être racontée. C'est une série dans laquelle il y avait de véritables enjeux et les personnages que vous aimiez pouvaient être arrêtés ou tués. Tout le monde savait ce à quoi ils s'exposaient" affirme-t-il.
La série raconte le retour du sergent Nicholas Brody après huit ans de détention à Bagdad. Fait prisonnier durant l'invasion américaine en Irak, il retrouve sa famille aux Etats-Unis et est accueilli en héros. Pourtant, une agent de la CIA, Carrie Mathison, le soupçonne d'être un espion préparant une attaque sur le sol américain.
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Re: Homeland
Bizarre ça passe niquel chez moi, c'était un gif de Sheldon se forçant à être content pour Raj qui est publié dans je ne sais plus quel magazine. Sheldon tapant une tronche pas possible tout le long de l'épisode.
Holland March: Munich.
Jackson Healy: What?
Holland March: Guy without his balls. A Munich.
Jackson Healy: Munich, is a city in Germany, Munich. München.
Holland March: You sure?
Jackson Healy: My dad was stationed there.
Holland March: Right. Hitler only had one ball.
"Avec Mel Gibson, je jouis et je suis dégouté en même temps." Yannick Dahan
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Re: Homeland
je ne vois pas non plus les photos numéro 2 et 3 ( apparemment ils refusent le linking il ya une autre image à la place )
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Re: Homeland
Premier épisode de la saison 2 dispo la semaine prochaine.
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Re: Homeland
Mais comment elle est reçue par les critiques et le public cette série ? au niveau de ses thématiques elle semble un peu engagée non ?
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Re: Homeland
phoenlx a écrit :Mais comment elle est reçue par les critiques et le public cette série ? au niveau de ses thématiques elle semble un peu engagée non ?
Elle est excessivement bien reçue, a obtenu de nombreux prix et à part quelques cons de base qui ne comprennent pas la complexité de l'humain et ne supportent pas le manque de manichéisme (ce qui est une TRES faible majorité), elle est vue comme novatrice, intelligente et très bien jouée. Le scénario est bien écrit et construit, les personnages sont bien rendus.
Nous verrons ce week-end si d'autres prix lui seront attribués.
Elle est engagée dans le sens ou le sujet est brûlant, les américains ne sont pas tout blancs mais c'est ce qui fait que c'est passionnant.
A toi de voir...(ou pas !)
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Re: Homeland
mais justement d'après ce qu'on m'a dit ça pouvait paraître trop pro-américain lol
( moi j'ai pas vu encore à quoi ça ressemble )
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Re: Homeland
Meilleure série
Meilleure actrice
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Re: Homeland
ca en fait des récompenses. Ma mère regarde la série et semble l'adorer moi j'ai toujours pas commencé
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